Juron

des pouvoirs Le 20 juin 1789, lors de la réunion des Etats généraux, les trois ordres, le tiers états, la noblesse et la clergé, prêtent serment de ne pas se séparer tant qu’il n’y aura pas de constitution en France, « Nous jurons de ne jamais nous séparer, jusqu’à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides et de nous réunir partout où les circonstances l’exigeront ». Il constitue ensemble une Assemblée Constituante. Leur vœu sera

admirablc (gradation ternaire) , si bien toumés » - Cpdt ses appréciations sont d'une grande banalité (car il repond aux normes de l'usage. Philinte s'exprime dès la fin du premier quatrain afin d'empêcher intervention d'Alceste ! Ctl la fureur d'Aleesta jurons, type exclamatif : d'abod il s'efforce & se domirer et parle bas puis le vers 339 aünonte f irrépamble , alrx vers 341, 342 Alceste prend une precar4tion qratqire , il utilise ensuite un subterfugç-{ il évoque un autre cas) . Dans un premier temps

réplique de Mère Ubu ajoute un second mot grossier qui accentue la vulgarité du précédent. Cette vulgarité est présente aussi dans le lexique : fiole , cul (repris), dur à la détente. D'autres jurons émaillent le passage: Ventrebleu , et l'expression de par ma chandelle verte, constante chez Ubu. Ces deux jurons frappent par leur archaïsme. Le terme Ventrebleu et la construction de par font référence au langage du XVI e siècle. 2. Le mélange des genres : on remarque aussi la présence d'archaïsmes

Contextes sociohistoriquesSpeak White Une poésie engagée... qui rejoint l’universel «Speak White» est une insulte lancée généralement par les anglophones posssesseurs et dominants - économiquement parlant, aux francophones d’abord, et ensuite à tout autre «race», comme si le fait d’être blanc impliquait de parler en anglais, attestant ainsi d’une supériorité quasi «raciale», bien que le mot ne soit pas adéquat (voir note ci-bas**) On est en plein esprit colonialiste, impérialiste. Ce poème

chair» (Journal, 83). 42 Les jurons, comme les jeux de mots, font également ressortir l’étrangeté d’une langue et permettent de s’entendre parler. Cela est surtout le cas de l’étranger, qui est frappé, dans le discours interdit, par «sa gratuité même» (Dire, 33). Il est évidemment facile de détacher les jurons du langage courant et de les voir comme des phénomènes en soi, presque comme des objets; et c’est précisément pour cette raison que Nancy Huston avait choisi les jurons comme matière de sa thèse

aussi la violence de la passion d’Hermonie. Parmi les violences Physique au théâtre, l’œuvre « Phèdre » est un exemple concretoù Phèdre entraine à la mort d’Hyppolyte puis elle-même. Dans un match, la contrainte morale se fait par l’expression des jurons qui entraîne une impétuosité physique comme lors de la coupe du monde 2006 où Matterazzi fait preuve de violence verbale et Zinédine Zidane enchaîne par un coup de tête. D’autre part cette idée de comparaison de théâtre et de match se voit par leur

vocabulaire technique : « bâbord », « tribord », « aviron », … - Traitement du temps : c’est un scène en temps réel avec un déroulement chronologique. Les dialogues sont vivants et permettent de restituer une ambiance par souci de réalisme. Le juron « zut » qui ouvre le roman peut apparaître comme une provocation. 2- Une scène de pêche chez des petits bourgeois. - Un début dynamique « in medias res » (=démarrer au lieu de quelque chose). Le lecteur est plongé directement dans l’action

comédiens développaient chacun de leurs personnages et le maintenaient tout au long de la pièce. On pouvait entendre les acteurs parlés en joual, comme nos ancêtres le faisaient au Québec autrefois. Par exemple, lorsque sœur Saint-Georges lâchait des jurons, on sentait l’ambiance du Québec. Leurs voix étaient portantes et le débit était parfait. J’ai été totalement impressionnée et contente de la performance de chacun des acteurs. En outre, le décor était simple, efficace et très intéressant. De

s'enfuir, ce sont les hommes qui ne la permettent pas d'oublier son passé douloureux. Ils l'insultent et la blessent avec des mots désagréables. Peut-être quelques-uns de ces hommes ont jadis été ses clients, cela n’empêche pas qu'ils « crachent de juron et d'ordure » Au contraire de tous ces sarcasmes, il y a un homme qui aime Sarah malgré toutes ses imperfections. Ce ne sont pas sa beauté et sa jeunesse qui l'attirent – il y a longtemps qu'elles sont passées. L'auteur ne parle pas ouvertement

manque de respect envers les églises et leurs représentation séculaires, ils se font tatillon dans tout ce qui est «apparence » du respect de l’ordre établi et se préoccupent peu du fond : sur scène, pas de crucifix ou d’ecclésiastique en tenue, les jurons « Nom de Dieu » ou du même genre sont définitivement supprimés des textes. Cette censure, relativement permissive par faiblesse et incompréhension souvent, dans le domaine politique et social, idéologiquement indifférente, donc tolérante, dans le