Juron

contexte, prend la forme de données objectives (type chiffres et dates), absence d’indice de jugement, purement objectif. Expressive : le msg est centré sur l’émetteur, vocabulaire du jugement et du sentiment pronom de la 1ere personne (je, nous), jurons, onomatopées. Conative : le msg est centré sur le destinataire, qd on met le destinataire en valeur, emploie du tu, vous, Poétique : centré sur le msg, jeux de mots de sens de sons, informel Phatique : le msg chercher a créer ou maintenir

l’autre main, et en écoutant le propagande orale qui diffuse des messages à longueur de journée. On voit ici que le soldat doit toujours être respectueux envers Hitler, et même envers une simple photographie de lui. Lorsque Donald semble lancer un juron, il est menacé de mort. Pour ridiculiser plus encore cette situation, le héros en vient même à faire le salut avec sa queue.   Le film nous montre également l’hypocrisie hitlérienne et la stupidité des soldats qui le suivent avec l’épisode des

fonction de premier ordre (inhérent à tout langage): DESTINATEUR : locuteur → fonction expressive Centrée sur le locuteur en tant que celui qui transmet le message et ses sentiments à l'égard de celui-ci. Appel au interjections, onomatopées, aux jurons et autres formes exclamatives. L'intonation est importante (comme d'autres éléments non linguistiques de l'aspect du locuteur). DESTINATAIRE : allocutaire → fonction conative Centrée sur le destinataire, quelqu'un dont on attend une réaction

mécène. Cela leur a valu un grand prestige, un théâtre,… Mais le jour où le roi leur a préféré un autre auteur, Molière et sa troupe sont devenu des indésirables. Type de comiques Exemples Jeux de mots, défauts de prononciations, Comique de mots jurons, … Provenant de l’ensemble des jeux de scène Comique de gestes qui provoquent le rire. Comique reposant sur la psychologie du Comique de caractère personnage, leurs défauts, manies,… Enchainement des évènements (rencontre Comique de situation

la Sorbonne (« réclama ses chausses et ses saucisses », chap. XX, p. 79). • Comique de ……………………………………… (les paroles prononcées provoquent le rire) : les étymologies fantaisistes de Beauce (chap. XVI) et Paris (chap. XVII), sur l’énumération des jurons parisiens (chap. XVII) mais le discours de Janotus relève également de cette forme de comique. • Comique de ………………………………… : Gargantua pisse sur Paris du haut de Notre-Dame (chap. XVII). • Comique de ……………………………………… (c’est une forme de mécanique

qui règne dans la chambre nuptiale (verbes au passé simple). Son hésitation va se transformer en une « colère tumultueuse », la violence de cette colère est accentuée par l’utilisation d’un juron : « nom de Dieu ». Il met en balance son épouse et ses compagnons, rend sa femme responsable de cette situation pour pouvoir par la suite disparaître retrouver ses amis. En lisant cet extrait, on peut se demander s’ils s’aiment vraiment

procédé (« que j'exposasse l'embonpoint de mes plumes à l'inclémence de la saison pluvieuse » l. 25-26 pour « que je sois mouillé par la pluie »).   Scène 6 et 7 : comique renforcé par le contraste avec le registre familier des autres personnages (ex : jurons « dame » dans les deux scènes, l. 5 et 23, « par ma foi » l. 16, mots nouveaux comme « filofie » l. 6, qui trahit le manque d'éducation de Marotte). 2eme partie : Les deux Précieuses font preuve de mépris envers Marotte, de même que Mascarille

UBU : — En avant, messieurs des Finances, faites votre devoir. (Une lutte s'engage, la maison est détruite et le vieux Stanislas s'enfuit seul à travers la plaine. Ubu reste à ramasser la finance.) 1. Ancienne capitale de Pologne. 2. Un des jurons ubuesques les plus violents. On peut y voir une composante sexuelle (dans le préfixe corne) et une composante digestive (gidouille) qui symbolisent les « appétits inférieurs » du personnage. 3. Nom authentique d'un roi de Pologne dont la fille (Marie)

à la fuite d’Agnès avec Horace. On relève dans ses répliques toutes les caractéristiques du registre polémique, à commencer par un lexique péjoratif, notamment les nombreuses insultes envers Agnès (« friponne », « coquine », « impertinente »), les jurons (« Tudieu ! « , « diantre ! », « Peste ! »), et jusqu’à une comparaison animale qui fait d’elle l’image du démon : « petit serpent que j’ai réchauffé dans mon sein ».  Cela est renforcé par la modalité exclamative, avec les interjections, telles le

détache de la mer, je ne comprends pas comment, je ne sais plus quoi penser, mais je n’appréhende pas la mort comme les autres, je trouve justement que c’est un cadeau pour quitter ce navire. Les marins lancent des harpons dans le vide, mais aussi des jurons. Nous sommes maintenant complètement au dessus de la mer, le bateau bouge de plus en plus, nous survolons les vagues. Le capitaine nous a ordonné de rester dans le compartiment où les tonneaux de vin régissent. Mince,  les tonneaux bougent, c’est