Jusqu'à mon dernier souffle

rafales de puissances, brûlures et destructions, Syfaria retint son souffle. Un point de lumière, insignifiant dans le chaos, puis exponentielle augmentation. Un temps court, une lumière aveuglant l’ensemble de l’île et de ses environs. Pierres, feuilles, corps et armes, tous voletaient dans un silence assourdissant. Silence parfait, pause dans le chaos, plus rien ne bougeait, dans le blanc immaculé, plus rien n’existait. Un souffle, un hurlement. Colère divine, explosion de lumière, destruction

-          une partie s’engouffre à l’intérieur de la voile, cet air ralentit et exerce une surpression. -          l’autre partie passe de l’autre côté, au passage cet air accélère et crée une dépression, (phénomène de la feuille de papier sur laquelle on souffle). On a une dépression d’un côté et une poussée de l’autre, ce qui génère une force perpendiculaire à la voile et fait avancer le bateau. * Décomposition de la poussée vélique Si maintenant on

ils se respecteront et s’entraideront jusqu’à leurs dernier souffle. Ce monde serai propre sans pollutions, sans voiture l’homme ne sera plus pressé les seuls moyen de transport serait le vélo ou certain transport en communs comme le tramways ou les bus électriques. L’été tout le monde s’occuperais de la récolte et avant l’hivers les hommes iraient a la chasse pendant que les femmes coudront des pulls de laine. Les enfants suivront des études normales jusqu’à la 3eme ou ils décideront de s’orienter

DOS, FLÉCHISSEZ LÉGÈREMENT LES GENOUX. POUMONS VIDES RELÂCHER DAVANTAGE LE HAUT DU CORPS. PUIS AVEC L'INSPIRATION, LES GENOUX LÉGÈREMENT FLÉCHIS, POSEZ VOS MAINS DESSUS  POUR VENIR DÉROULER VOTRE DOS VERTÈBRES APRÈS VERTÈBRES ÉPAULES ET TÊTE EN  DERNIER. EXPIREZ REPLACEZ LES ÉPAULES BASSES LÉGÈREMENT EN ARRIÈRE. RÉPÉTER LE MOUVEMENT PLUSIEURS FOIS. A LA DERNIÈRE, DÉPOSER LES MAINS SUR LE SOL,  FLÉCHISSEZ LES GENOUX POUR VOUS RETROUVEZ ACCROUPI. PUIS VOUS ALLEZ VOUS ASSOIR  SUR LE BOUT DU TAPIS ET VOUS ALLONGEZ DÉLICATEMENT

jaunissants sur les gazons épars ! Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards ! Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire, J’aime à revoir encor, pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l’obscurité des bois ! Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, A ses regards voilés, je trouve plus d’attraits, C’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire Des lèvres que la mort va fermer pour

travail qu’elle doit fournir toute la journée. Alors que le champ lexical des sentiments est très peu utilisé celui du travail est omniprésent : « travailler dur » l.10, « besognes » l.29, « moisson »l.51. Jean Louis Lacour est seulement veillé «  jusqu’à dix heures » l.123, soit très peu et, « Antoine et Catherine s’en vont tout de même aux champs le matin » l.127-128. Malgré la mort d’un parent proche, la famille Lacour ne peut se permettre de perdre une journée de travail en particulier pendant

Gervaise. Cet extrait constitue la fin du dernier chapitre et alors que Coupeau vient de mourir à l’asile Sainte-Anne, Gervaise sombre progressivement. Comment l’auteur tient Gervaise dans la misère jusqu'à son dernier souffle ? Dans un premier temps, l’auteur s’attarde sur le rejet de la société dont Gervaise fait l’objet puis dans un second temps, il décrit naturellement la déchéance de cette dernière. Zola a le souci de placer Gervaise dans la misère jusqu’à sa mort et de ce fait la met seul face

sa nouvelle locomotive, accompagné de Pécqueux, en conséquence de leur bataille causée par leur maîtresse Philomène. Vient ensuite Séverine, la femme de Roubaud et victime de Grandmorin qui a abusé d'elle, elle devient complice du meurtre de ce dernier. Son mari devenant trop agressif, elle demande à Jacques Lantier, son amant, de le tuer. Bien qu'elle ne soit pas spécialement belle, elle sait utiliser ses charmes au profit des hommes qui ne savent résister à sa fragilité. Son époux, Roubaud

faire et le laisser me tuer. Je me jette sur lui pour lui saisir le poignet. Je sens ses muscles se contracter au moment où il appuie sur la détente   et   j’esquive   juste   à   temps.   La   balle   frappe   le   mur   derrière   moi.   Le   souffle coupé, je lui donne un coup de pied dans les côtes et lui tords le poignet de toutes mes forces. Il lâche son pistolet. Je   ne   peux   pas   gagner   contre   Tobias.   C’est   perdu   d’avance. Mais je dois détruire l’ordinateur.  Je  plonge

pays dont ils n’étaient pas originaires mais qu’ils avaient adopté car il symbolisait pour eux la patrie des droits de l’homme ainsi que la liberté. b) en décrivant l’amour que les condamnés éprouvent pour la France et qu’ils expriment jusqu’à leur dernier souffle : le poème s’achève ainsi « Vingt et trois/ qui criaient/ la Fran/ce en s’abattant » (3/3/2/4) Les partisans continuent à lutter, même s’il ne leur reste que quelques minutes à vivre. Ils en profitent pour dire combien, contrairement à