Juste La Fin Du Monde Monologue

en deux : en haut vivent les nobles, alors que le bas est l'endroit réservé aux domestiques. La cuisinière, Marie-Jeanne, vient d'être assassinée et le commissaire est chargé de l'enquête. Vont alors se jouer des scènes sensées s’être déroulées juste avant le meurtre afin que le spectateur puisse découvrir le coupable. Au deuxième acte, les personnages se révoltent contre l'auteur qui ne sait pas, selon eux, leur donner un rôle convenable. 1 5 10 L’AUTEUR : Ils1 ne sont pas dans les coulisses

poète entend ainsi lire, décrire au plus juste, au plus vrai, la réalité d’une agonie. Il apprend ce que la mort dit sur la condition humaine et tente, par la poésie, de faire de cette leçon un chant. « Qu’il se tienne dans l’ombre de la chambre… » (p.9) Un quatrain liminaire Présentation : Bien qu’il ne soit pas nommément identifié, ce « il », que tout le recueil va évoquer, n’est pas un simple anonyme. C’est un mort dont le poète va rappeler « la fin »(v.3). C’est, par une allusion au « plomb

modeste appartement à Londres. Au centre de la scène, se dressait un lit à baldaquin fait avec des rideaux de douche. Au fond une cheminée, et plus près une table à l’envers et un modeste lavabo. Vers la droite, la scène était presque vide, il y avait juste une petite chaise. Les lumières utilisées accentuaient la scène et représentait un autre niveau de dialogue. Dès que l’honorable Docteur Jekyll buvait sa potion et se transformait en Mr Hyde, le délinquant, toute la scène se transformait avec le

souhait de Charles Quint, il se traite et parle de la manière dont devaient se faire les conquêtes dans le Nouveau Monde, suspendues par lui, pour qu'elles se fassent avec justice et en sécurité de conscience .La question était de savoir si les Espagnols pouvaient coloniser le Nouveau Monde et dominer les Indiens par droit de conquête, avec la justification morale pouvant permettre de mettre fin à des modes de vie observés dans les civilisations précolombiennes, notamment la pratique institutionnelle du

1'avoir, et vous me tiendrez compte du surplus [= vous me remettrez la différence : 10 000 écu moins mille écus de mise en gage du diamant, moins le bénéfice qu’empoche le prêteur qui escompte le billet, II, 1, p.115]. FRONTIN - Cela est trop juste, Madame, et vous n'avez rien craindre de notre probité. (p.112) Vu le portrait que Marine a tracé des deux « fourbes » (p.95), la réponse de Frontin est clairement ironique : le spectateur comprend que leur probité est aussi douteuse que « l’équité »

demander si la poésie ne peut pas tout à la fois divertir et enrichir le lecteur par rapport à son quotidien. La poésie de nos jours est encore une façon de s’évader quand elle nous permet d’entrer dans un monde étant différent du nôtre puisque le poète nous montre une vision du monde qui lui est propre. C’est le cas dans le «  récit poétique ». Le récit l’Obscurité  de Philippe Jaccottet, poète suisse, publié en 1961 est un texte écrit en prose et appartenant aux récits poétique qui nous enlève

par des romans et des nouvelles dont les plus connus sont : une vie (1883), boule de suif (1880) le Horla (1887) et Bel-Ami en 1885. Nous étudions ce dernier qui est en quelque sorte l’histoire de sa vie. Nous nous focalisons sur un extrait de la fin du roman, lors du mariage de Bel-Ami. Cet événement a été choisi par l’auteur comme dénouement de l’intrigue pour marquer le triomphe final du héro. Il s’agit d’un mariage essentiellement mondain assimilable à un sacre. Ainsi, nous allons tout d’abord

Toranius tué par l’empereur Auguste. Dans cette scène, elle exprime son désir de vengeance. Elle veut que Cinna, celui qu’elle aime tue Auguste. Toutefois, elle est déchirée entre son désir de revanche et la peur que Cinna ne meurt dans la bataille. A la fin de sa tirade, elle tente de rejeter son amour pour Cinna, préférant tuer Auguste, peu importe le prix. Scène 2 : Emilie et Fulvie, raison contre passion. Emilie confie à Fulvie qu’elle souhaite que Cinna tue Auguste. Cependant, Fulvie n’est pas

linéaire 1Lecture linéaire 1 Prologue Intro: En 1988, le comédien, dramaturge et metteur en scène Jean-Luc Lagarce apprend qu’il est atteint du sida et envisage brutalement sa mort prochaine. Dans cet état de crise personnelle, il rédige « Juste la fin du monde » en 1990 ; il mourra 5 ans plus tard. Aussi est-il difficile de s’abstraire des enjeux autobiographique de la pièce, même si l’absence d’explication de la maladie dans l’œuvre ouvre une dimension universelle aux propos qu’elle développe

relativisant ce dualisme. Lady Macduff, dans la scène 3 de l’acte IV de Hamlet, dit à son meurtrier, peu avant qu’il ne l’assassine, p.112 de l’édition GF : « Où fuirais-je ? / Je n’ai fait aucun mal. Je me souviens soudain / Que je me trouve en ce bas monde : où faire mal/ Est louable souvent, faire bien, quelquefois / Dangereuse folie (...) » La littérature, axée sur la confusion des valeurs morales, s’oppose en ce sens à la métaphysique, fondée sur cette distinction entre le Bien et le Mal. Les Sœurs