Justice 18ème

soi que pour le collectif, mais aussi à savoir prendre des risques pour arriver au bout de son idée, même si elle s'avère être un échec. Cette liberté d'entreprendre est un des principes fondamentaux du libéralisme économique, développé à la fin du 18ème siècle par le philosophe et économiste écossais Smith. Seulement, tout le monde n'a pas les moyens, notamment financiers, pour entreprendre et cette liberté rime avec inégalité. Ce qui fera partie au 19ème siècle, des critiques faites par les anarchistes

décisions prises ultérieurement (publication édit royal, interdiction livres (censure)) => les dirigeants ne sont pas touchés. • C'est un mouvement général que personne ne peut arrêter, ni hommes, ni politiques, ni l'Église, ni les ambassadeurs, ni la Justice avec ses lois. Ils déclenchent puis amplifient eux-mêmes le conflit. • Construction : début (contexte actuel présent) lg 3 (chronique historique au temps passé: narrateur expose l'origine du conflit, la suite de conséquences, les tentatives de

échapper au changement et forcément à un moment donné il y aura un groupe d’individu qui pense autrement que la communauté. Tout le monde ne pourra pas être d’accord avec les décisions prises, on va donc crée la justice pour protéger la communauté des individus violents. Avec la justice une communauté d’hommes est capables de gérer un changement et certains actes considérer hier comme sanctionnable peuvent tout à fait être aujourd’hui acceptable. L’histoire a été possible à partir du moment où l’on

Introduction Voltaire, philosophe des lumières du 18ème siècle, a rédigé en 1756, un conte « les voyages de Scarmentado » dans lequel, il dénonce l’intolérance, le fanatisme et l’injustice des Hommes. Dans l’extrait qui nous est ici proposé, le jeune voyageur Scarmentado est en Espagne et découvre les horreurs de l’Inquisition. Dans notre analyse, nous verrons comment Voltaire utilise un ton ironique (1eère partie) pour critiquer les Hommes et leur aveuglement (2ème partie). 1ère partie L’ironie

dénonciateur ton et thèmes des moralistes et poète du 18ème. Tutoiement (18) abolition distinction hiérarchique changement de statu « va je te le pardonne » noblesse des sentiments « les hommes ,,,rien » généralisation aphorisme (profondeur déjà annoncéé (9et10) l 20 24 sage ne s'insurge pas brutalement contre son maitre mais tente de l'éducation = pedagogue( didactique) balencement de la phrase répétition de termes abstraits juste 21-23 justice 24 = dénonce arbitraire du pouvoir fondé sur la force

pas diffuser l’affaire Crise car vérité, Justice et les droits individuels sont remis en cause Affaire publique : 1898 : Lettre de Zola (au journal L’aurore) demande une révision du procès adressé à F.Faure (président de la république). Peuple divisé en 2 camps : Dreyfusards Antidreyfusards - Défenseurs de la république - Antirépublicains - Intellectuels - Nationalistes - Anti radicaux - Monarchistes - Catholiques > pour la justice, vérité, les droits > contre un nouveau

Le mariage de Figaro, 3ème extrait Intro : Beaumarchais est un auteur du 18ème siècle.Il occupe plusieurs fonctions, celles de marchand d’armes ,de fondateur de la société des auteurs dramatiques, qui a fait voter les droits d’auteur, et bien sur celui d’écrivain. Il est en faveur du drame bourgeois , qui a été definit par Diderot dans les entretiens du fils naturel.Dans une Espagne passionnelle et exotique, au château d’Aguas Frescas, se situe la trilogie de Beaumarchais avec Le barbier de

de la cité Un citoyen sellons Aristote (faire une biographie de 5 a 10 ligne pour tout les auteurs du chapitre) est une personne qui participe au pouvoir judiciaire et a la magistrature (voir schéma) le seul fait de résider et de témoigner en justice ne fait pas d’un homme un citoyen en effet un métèque étranger libre possède ses droit sans être citoyen. Un citoyen ce définie aussi par sa participation a la guerre. Ainsi les enfants de citoyen et les personnes trop âgées sont des citoyens imparfaits

PARTIE I chapitre I : la révolution des lumières Introduction C'est donc dans le courant du 18émeS qu'une nouvelle conception de l'homme de la société se développe.Les philosophes des lumières sont des hommes de lettre du 18éme,il veulent faire triompher la lumière sur les ténèbres de l'arbitraire de la monarchie absolue.Ces philosophes sont issu de groupes sociaux différent.On retrouve parmi ceux des bourgeois,des nobles,des artistes,des scientifiques... Ils appartiennent à une élite

au 18ème siècle) : la justice est un attribut de la royauté. C’est un devoir pour le roi mais aussi une prérogative qui est liée à l’exercice de l’autorité politique. Il existe une certaine confusion à cette époque entre religion, morale et droit. Donc le crime était considéré comme un péché, une faute et une infraction. Au moyen âge les sanctions étaient particulièrement violentes. Le criminel devait expier sa faute à travers ce châtiment. 2- Le siècle des lumières (seconde moitié du 18ème siècle)