Justice 18ème

questionnant tous sur l'idée du droit de tuer, ce qui entraîne la cohérence de ce corpus. Ainsi les auteurs Victor Hugo, Henri de Montherlant, Jean Anouilh, Albert Camus et André Franquin analysent les conceptions de la vie et de l'homme au 17ème et 18ème siècles. Tout d'abord les cinq documents du corpus évoquent le même débat commun. En effet chaque documents met l'accent sur des personnes à la tête d'un territoire exerçant le pouvoir absolue ( Harmodius dans le document A, Le roi Ferrante document

entre règles primaires et secondaires : B/ Les règles permissives, et les règles prohibitives. Section 2 : La distinction de la règle de droit, d'autres règles de vie sociale : I/ Droit et Justice : A/ Les liens complexes entre droit et justice : B/ Le recours à l'équité pour réduire l'écart entre justice et droit : II/ Droit et morale : A/ Le sens du terme morale : B/ Les rapports qui unissent droit et morale : III/ Droit et Religion : A/ L'influence historique des religions sur les systèmes

Le siècle des lumieres Introduction Au 18ème siècle, l’Europe et surtout la France voient l’épanouissement d’idées nouvelles. Ce sont les lumières * Celles ci sont répandues par les philosophes au près d’une minorité cultivé ( les nobles et les grands bourgeois) ; ils se rencontrent dans les cafés, les salons et les académies. * Les idées nouvelles ont bénéficiés d’un cadre favorable qui c’est appuyé sur les exemples de l’Angleterre et de l’Amérique. * En Angleterre il y aura

monarque éclairé. • Ogul : épisode du basilic. Amène à la réflexion sur la superstition et la médecine. • Sétoc : honnête homme, esprit éclairé, négociant, qui a de l’estime pour ces esclaves mari de Almona. Satires de : • La justice : expéditive et arbitraire (chapitre du chien et du cheval) Cupide, mauvaise foi Cruelle (peine infligée à Zadig, supplices) • L’Absolutisme royal : Aspect politique à lieu autour de Moabdar influençable qui se laisse gouverner par ses émotions

esquisse en effet la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. De son imposante œuvre littéraire, on litaujourd'hui essentiellement ses écrits « philosophiques » en prose; contes et romans comme “Candide” quel est est son ouvrage le plus célèbre. Dans l’œuvre “Candide” il y a beaucoup des themes, maisparmi la plus interesante est l’image de la femme. La société du 18ème siècle est une société masculine. A part quelques aristocrates ou grandes bourgeoises

demanda à voir la cour de justice (…) on lui dit que non » grâce à cette phrase on apprend qu’il n’y a pas de cour de justice ni de prison, « une galerie de deux milles pas, toute pleine d’instruments de mathématiques et de physique » dans ce pays la culture domine, il s’agit aussi d’une société urbaine : « marché », « édifices », « grandes places »… Ce monde est donc décrit comme parfait. 3) On peut lire cet extrait comme une critique implicite de la société du 18ème siècle car dans le monde

l'homme au siècle des Lumières Question 1: Pouvez-vous définir le mouvement des Lumières ? C'est un mouvement qui regroupe des philosophes qui ont des esprits éclairés. C'est-à-dire «soucieux d'éclairer leurs contemporains» C'est un mouvement du 18ème siècle. Question 2: En quoi ce mot est-il une métaphore ? Ce mot est une métaphore car les Philosophes sont des penseurs, des messagers, qui veulent «éclairer» et développer le sens critique de leurs contemporains. Ils leur apportent des connaissances

Qu'est ce que l'administration ? Jusqu'au 18ème, on utilise ce terme pour la gestion du patrimoine, ou encore l'administration d'une communauté religieuse ou laïc, ça concernait principalement le domaine privé. Pour l'administration publique on parle de police, termes utilisé par les ordonnances royales. Progressivement apparaissent des traités/codes de police notamment un connu, traité de police de N DELAMARRE 1505. C'est au cours du 18ème que ce terme d'administration change de contenu

que l’essence de la loi n’est plus un acte de justice, c’est devenue un acte de commandement c’est pour cela qu’on oppose la légitimité de la loi par sa légitimité et son origine. Désormais la loi puise sa légitimité dans son origine donc dans le pouvoir. La loi est légitime car elle est édictée par celui qui détient l’imperium. On peut opposer cette conception avec celle d’Aristote car justement on va voir que la loi va avoir pour finalité la justice. Aristote : On partait de l’idée qu’il y avait

rentre dans le royaume de France grâce au traité de Westphalie. Le Roussillon, l’Artois, la région de Perpignan, les Flandres et même le Luxembourg sont récupéré par le traité des Pyrénées en 1659. La France Comté est intégrer au royaume en 1678.Au 18ème, la Lorraine et la Corse (1768) sont récupérer. ➢ Le peuple : le peuple français est nombreux (16 millions au 16ème ; 19 millions au 17ème et 26 à 27 millions en 1789 : c’est le pays le plus peuplé d’Europe à l’époque). Le problème vient