Justice Justesse

.............55 Préceptes et témoignages de quelques sages...............56 Solon et l’harmonie ...................................................57 Thalès, savoir et sagesse ...........................................59 Hésiode, travail et justice ..........................................62 Entre sagesse et philosophie ...........................................66 Démocrite, l’allégresse du cœur...............................66 Les sagesses ...........................................

permettent de connaître le droit cunéiforme. On les a regroupées en « coutumiers ». Compilations de droit où l’on retrouve à la  fois des références aux grands textes législatifs mais aussi références à des règles coutumières & à des décisions de justice. 2 sources : praticiens eux-mêmes qui ont besoin de documents de travail /autorités publiques.  Autre source : des extraits de jugements.  Correspondances officielles, importantes sources de droit administratif. Les rois n’utilisent pas forcément

est l’inexistence d’un droit qui régit tous les pays (seul le droit suisse est neutre). Cependant, l’arbitrage apparaît comme la seule solution à ce problème L’arbitrage est une technique, un mode de règlement de litiges par rapport au recours à la justice étatique. En effet, en l’utilisant, on s’adresse opportunément non pas à des magistrats de carrière siégeant dans les tribunaux appartenant à l’appareil judiciaire de l’Etat, mais plutôt à des personnes de droit privé qui sont appelées à départager

cas de non-respect). Si l’obligation n’est pas tenue, on peut aller vers les tribunaux. Elle peut être exécutée de force par la force publique. À la différence, les obligations qui ne sont pas de droits (morales, politiques, religieuses). Pas de justice ou force publique en cas de non-respect. C’est aussi un lien entre deux ou plusieurs personnes. On distingue l’obligation des autres rapports juridiques, dont le rapport entre une personne et une chose, pas d’obligation dans ce cas. Un lien entre

malgré l’intervention de don Sanche, un gentilhomme de la Cour, amoureux de Chimène. Il annonce que les Maures menacent la ville . La rencontre a lieu : on vient d’apprendre au Roi que Rodrigue a tué le Comte quand vient Chimène pour demander justice, tandis que don Diègue défend son fils et réclame pour lui-même le châtiment . Il faut préciser que dans la scène 2 de cet acte nous trouvons une réplique fameuse du Cid, qui est la clé de voûte de toute la pièce : Je suis jeune, il est

Voltaire…), - valeurs : souveraineté de la raison et de l’expérience, nécessité d’aborder tous les problèmes avec l’esprit critique, foi dans les progrès de la civilisation, respect de la liberté individuelle, idéal de tolérance religieuse, de paix, de justice sociale, - l’Encyclopédie (où l’esprit des Lumières y apparaît entièrement) est dirigée par Diderot et d’Alembert. 1750-1760 marque un tournant décisif : retour à la sensibilité, à la spiritualité, au sentiment religieux, au mysticisme, aux sciences

relations de pouvoir entre ces trois organisations ne sont pas du même rapport: -féodales: Rapport de personne à personne (pas à tout le monde) - Relations personnelles. Chacune de ces organisations a développé ses tribunaux(éclésiastiques,...), sa justice, des forces militaires (pas vraiment vrai pour l'Eglise), son propre système de collecte d'argent (taxes seigneuriales : 8ème deunier/dime eclésiastique/taxation collective et le Roi qui tente de mettre en place des Impôts) Impots Roi : •

faire que tous les avocats inscrits dans un Barreau français, qu’ils soient français, ressortissants d’un état membre de l’Union Européenne, ou étrangers, obéissent aux mêmes règles, quel que soit leur barreau de rattachement. Le Ministère de la Justice, conscient de la nécessité qu’il y avait lieu de faire que le Conseil National des Barreaux puisse remplir sa mission avec efficacité, a donc proposé au Parlement, après avis du Conseil d’Etat, de reconnaître au Conseil National des Barreaux le

théorie générale du contrat. Aristote opère une distinction, au sein de la justice particulière (propre aux relations entre les individus), entre justice distributive et justice corrective ou commutative. Justice distributive : Justice intervenant dans l’échange de biens communs, selon laquelle dans une société d’individus, il faut répartir à chacun selon ses mérites dans l’augmentation du bien commun. Cette justice est spécialement mise à l’œuvre dans le droit pénal, ainsi plus l’acte est considéré

sur le monde et en partageant un point de vue qui part d'un contexte qui n'est pas le sien. Ceci dit, ce livre se propose de dire l'Islam comme vision du monde, comme volonté, comme rigueur morale, comme intention de combat pour l'homme, pour la justice et pour la paix. Les éléments d'une théorie de l'Etat sont disséminés tout au long de cinq chapitres consacrés, après une mise en train introductive, aux principes, au modèle., à la loi et à la mutation psychologique et éthique de la personne individuelle