Justice Maçonnique

conséquents, efficaces et utiles à ses membres en respectant les degrés d'implication de chacun. Il faut donc un échange qui bénéficie à l'individu et simultanément au groupe. C'est le principe des obligés. Moyens En effet, les puissants réseaux maçonniques possèdent des membres dans tous les rouages de la société si bien que par l'effet de la cooptation et de l'entraide, ils finissent par capter la République entière pour s'en servir et asservir sa substance. C'est un constat et non une conclusion

d'or. Tous ces nombres représentent l'infini,l'art, la beauté. En fait il m'est difficile de construire une planche symbolique obligatoire pour le maçon en loge ,alors que mon ouvrage devrait se traduire par des actes quotidiens. La vie maçonnique me fera sûrement comprendre, je suis peut être en chemin. Pour moi, l'équerre et le compas sont 2 instruments: ils représentent un symbole binaire, familier. Pourtant en associant le carré à son cercle circonscrit de même centre, ils

conviction que je ne me trompais pas dans ma démarche. En effet, ils m’ont amené à me remettre en question mais je devrais plutôt dire : à me mettre en question. L’exemple le plus frappant fut lorsque l’on m’interrogea sur ma définition des mots Justice et Tolérance. Je dois bien avouer que même si j’en comprenais la signification je ne m’étais jamais intéressé à leurs définitions stricto sensus. J’ai donc recherché, analysé les définitions à ma portée pour me faire ma propre idée de leurs réelles

fardeaux, est-ce une fatalité ? Je choisis pour ma part d’affirmer que le maçon est un constructeur, pas un spectateur, et je choisis de ne pas supporter les misères du monde, et , au contraire, de construire afin que l’amour, la paix et la justice règnent enfin sur notre Terre, dans notre Temple. « Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir » comme l’écrivait notre frère Kipling, doit être le crédo du maçon. Dans supporter, il y a

remplir. Le Devoir est la grande loi de la franc-maçonnerie.  Les Devoirs généraux de l’initié sont : -         Fuir le vice et pratiquer la vérité -         Se taire devant les profanes -         Chercher la vérité -         Vouloir la justice (suivi des lois) -         Aimer ses frères -         Se soumettre à la loi En ce qui concerne les principes, la Grande Loge Unie de CI se réfère aux anciens devoirs, notamment quant au respect des traditions de la franc-maçonnerie et quant à

par notre intelligence et de les acquérir par une bonne éducation, Le mot cardinale vient du latin cardo , « le gond ». C’est autour de ces vertus que pivotent toutes les autres comme autour d’un gond. Les Vertus Cardinales sont : La Prudence, la Justice, La Force et la Tempérance. Bon, commençons par les trois vertus théologales : 1-LA FOI La Foi est une vertu surnaturelle par laquelle, nous croyons tout ce qui a été révélé : par la foi, nous croyons en Dieu. La rédemption possible pour

de très loin dans le passé. Dans l’Antiquité par exemple où Thémis qui, dans la Mythologie Grecque, était déesse de la loi, l’ordre et la justice, portait un bandeau, afin de montrer son impartialité et son ignorance de celui qu’elle jugeait. Mais c’est dans la Franc Maçonnerie que le bandeau représente un des éléments essentiel du symbolisme maçonnique. En effet, c’est bien ce que l’on nomme : « Passage sous le bandeau », qui ne laissera pas indifférent tous ceux qui ont été initiés. Oui

l’initié franc-maçon se dépouille du vieil homme qui était en lui, de même il faut que le papillon se déleste de la chenille toute terrestre en quoi il consistait afin de prendre son envol vers les hauteurs. Souvenons-nous également que le rituel maçonnique demande : « - Pourquoi vous êtes-vous fait recevoir Franc-Maçon ? » A quoi l’on doit répondre : « - Parce que j’étais dans les ténèbres et que j’ai désiré la lumière. » Et certes, le papillon est le plus franc-maçon de tous les Francs-Maçons car

et de sa conception de l'efficacité ses structures de gouvernement et de ses mesures de contrainte. L'autre faisait la part belle à la tolérance, à la démocratie et à la liberté et, avec un peu d'irréalisme, rêvait d'un régime qui fit place à la justice tout en respectant le pluralisme et la diversité. Deux mots cèlèbres résument assez bien cet irréductible partage. Celui de de Saint-Just " Si Brutus ne tue pas les autres, il se tuera lui-même" ; Celui des Girondins au pied de l'échafaud " Plutôt

janvier 1898 : publication dans L’Aurore J’accuse… de Zola. -Division de la France en deux camps : dreyfusards et anti-dreyfusards. -Les dreyfusards : (grosso modo) socialistes et radicaux, qqs républicains modérés. Défendent la vérité, la justice, les droits de l’individu. Mettent en cause : les officiers conservateurs, le cléricalisme. Soutenus par : protestants, francs-maçons, et la Ligue des Droits de l’Homme (1898) -Les antidreyfusards : nationalistes (Barrès, Déroulède), monarchistes