Justice Sociale

Dossier 6 – Stratification sociale et inégalités Stratification ou structure sociale : organisation de la société en groupes sociaux relativement stables, ce sont presque toujours les mêmes individus qui en font partie. Ces groupes son homogènes par leurs revenus, mode de vie, valeurs, statut juridique … Cependant chaque groupe est distinct des autres et tous sont hiérarchisés. La stratification sociale désigne en fait les différentes formes de différenciation sociale que l’on rencontre dans la

rationnement. L’efficacité sociale c'est-à-dire l’efficacité pour la société tout entière une mesure de l’efficacité sociale est la capacité à accroitre le volume de ressources disponibles, autre critère, la justice qui est assez difficile a apprécier, il y a deux concepts majeurs, la justice distributive chacun reçoit ce a quoi il a droit indépendamment a son activité, la justice commutative chacun reçoit en proportion de ce qu’il a donné. L’égalitarisme correspond à une justice distributive. Il n’y a

recrutement dans le cadre de la libération conditionnelle devrait obéir à des "conditions précises". L'entreprise et le détenu doivent tirer un intérêt mutuel. Le patronat n'est pas contre l'emploi des personnes ayant séjourné en prison, c'est le milieu social de l'entreprise qui rejette souvent le nouveau recruté. Ce réflexe de rejet repose sur un préjugé dénué de tout fondement. Par ailleurs, le secteur privé s'engage à apporter son "soutien aux programmes de formation au sein des centres pénitentiaires"

de régulation dans les domaines économiques et sociaux. Elle se traduit par un ensemble de mesures ayant pour but de redistribuer les richesses et de prendre en charge différents risques sociaux comme la maladie, l'indigence, la vieillesse, l'emploi, la famille... L'Etat-Providence est fondé sur la solidarité entre les différentes classes sociales et la recherche de la justice sociale. François Dubet, dans son ouvrage annonce que la justice sociale peut s'obtenir de deux façons différentes: -soit

Idéal démocratique et inégalités Programme On rappellera que les sociétés démocratiques sont caractérisées par une tension entre l’existence des inégalités et des conflits, d’une part et l’exigence de cohésion sociale d’autre part. Notions essentielles : Inégalités, égalité, égalité des chances équité, principe de différence, universalité, déclassement, discrimination positive, frustration relative, démocratie, liberté Notions complémentaires : Etat Providence, redistribution, liberticide, République

I. Si la contribution de l’école à la réduction des inégalités sociales est toujours effective A. Une dynamique favorable … 1. Une démocratisation en marche depuis le 19ème siècle, socialisation des classes populaires (doc. 2). Entrée des filles à l’école, collège unique… 2. Un constat toujours actuel : l’école réduit les inégalités sociales en s’ouvrant au plus grand nombre (thème de la démocratisation) : quelles soient les CSP, de plus en plus d’élèves entrés en classe de sixième obtiennent

l’injustice sociale. (selon La Bruyère) comment l’auteur s’y prend-il pour dénoncer l’injustice ? I1- Auteur : moraliste .Il observe la société et les mœurs, il vient de la petite bourgeoisie,cultivé, essayiste, performance artistique,verve critique. Œuvre : Les caractères 1688,1696. Esprits fort,libertins. Etudie les valeurs des pauvres,domaine de réflexion (de la mode, des grands,de l’Homme) I2- Ce texte s’apparente à la littérature d’idées, par sa réflexion sur les inégalités sociales qui appartient

synthèse : face au risque de délitement du lien social, existe-t-il une alternative ? Le monde est en crise : crise économique et budgétaire, crise du travail, crise sociale. En proie aux récentes mutations qui font écho à une globalisation des systèmes et à une libéralisation du monde, les instances d’intégration et de socialisation connaissent une nouvelle ampleur qui interagit sensiblement avec l’évolution des rapports sociaux. Mais qu’est-ce que le lien social, si ce n’est une certaine forme de partage

XVIIIème siècle, trois dates sont à retenir : Ø 1795 : Mise en place de la « loi sur les pauvres » visant à leur apporter un complément de salaire. Ø 1796 : Thomas Robert Malthus écrit un essai non publié qui prend position en faveur de la justice sociale et qui propose de développer le système d’assistance publique aux pauvres. Ø 1798 : T.R Malthus écrit et publie son essai sur le principe de la population qui remet en question ses idées concernant l’aide aux pauvres et prône la restriction

participant à des dispositifs centrés sur l’accompagnement social. Pourtant, la question de la pauvreté ne se posait alors qu’en terme de lutte des classes ou de charité (voir les luttes sociales, Emmaüs et l’ Abbé PIERRE,…). C’est la massification et la visibilité des exclus, ainsi que les problèmes liés à des « quartiers de la relégation » qui vont alimenter cette nouvelle approche de la question sociale. En effet, la question sociale n’est rien d’autre, si j’ose dire, que celle du « vivre ensemble