Kaldor

économique sera quant à elle orientée vers l’action contracyclique (empêcher la surchauffe de l’économie en période de forte croissance et empêcher le glissement de celle-ci dans la récession). On retient les objectifs du carré magique de Nickolas Kaldor : la croissance, le plein-emploi, la stablité des prix, l’équilibre extérieur. • o Croissance : augmentation du PIB doit améliorer le bien-être collectif. Objectif est compatible avec le plein emploi mais entre en contradiction avec les objectifs

siècle, il faut protéger les industries naissantes qui ne font pas encore d’économies d’échelle et qui ne peuvent pas encore affronter la concurrence (d’où un protectionnisme « éducateur » limité dans le temps et à certains produits) mondiale. Kaldor pense pour sa part qu’il faut protéger les industries vieillissantes afin de préserver l’emploi. On considère aussi que, pour des raisons de sûreté nationale, il faut protéger les industries de l’armement et du nucléaire. Enfin, le protectionnisme

monétaires. En effet, quelle que soit la définition de la masse monétaire retenue par les autorités centrales, les agents tenteront de lui substituer des actifs plus ou moins liquides pour contourner le resserrement du crédit. Ainsi selon Nicholas Kaldor, « il n'y a pas de démarcation claire au sein de l'ensemble de la liquidité entre ce qui est de la monnaie et ce qui ne l'est pas. Quelle que soit la définition que l'on choisisse pour la monnaie, elle sera entourée par une myriade d'instruments plus

avons de la pollution. B) La croissance, un objectif de politique économique 1) Pendant les trente glorieuses : un objectif prioritaire Il est courant de définir les principaux objectifs de la politique économique par le carré magique de Kaldor (1908-1986 économiste américain), qui résume la situation conjoncturelle d’un pays à partir de quatre indicateurs : * la croissance économique mesurée par le taux de croissance du PIB * l’équilibre de la balance des paiement mesuré par son

biens et du marché de l’emploi et l’on constate un effet de report. Selon Malinvaud, il est possible de dépasser l’opposition chômage classique et chômage keynésien. 3) L’école post-keynésienne : Michael Kalecki et Joan Robinson ainsi que Nicholas Kaldor, les principaux représentants de cette école, acceptent l’analyse keynésienne et plus particulièrement le principe de la demande effective tel qu’il a été présenté par Keynes dans la théorie générale. Selon les postkeynésiens, ce qui importerait

introduisent la notion de marge, c’est la théorie marginaliste, selon eux l’homme est rationnelle est son calcul lui permet toujours d’atteindre l’équilibre. 3- Le courant keynésien John Maynard Keynes (1883-1946), Joan Robinson (1903-1983), Nicolas Kaldor (1908-1986). Keynes est connu pour avoir dit « à long terme on sera tous mort » donc vaut mieux étudier le moment présent, et à court terme les prix sont fixes. Il reprend la théorie smithienne et va essayer de la critiquer et il dit que supposons

post-Keynésienne. Nicolai Kaldor, Mickael Kalecky et Johan Robinson tiennent à une vision qu’il juge très proche de l’analyse Keynésienne. Ils refusent tout schéma en termes d’équilibre et insistent sur le rôle des partages des revenus dans la croissance. Selon Kaldor, c’est la croissance économique et à travers elle, la croissance des salaires et des profits qui explique la période fast des 30 Glorieuses par un mécanisme appelé le compromis salarial fordiste. Théorie du Five Dollars Day. Kaldor va mettre en

de droit. La neutralité prétendue de la règle de Kaldor-Hicks, affirmée par l’École de Chicago37, n’est pertinente – selon Calabresi- que si nous ne savons effectivement pas qui est gagnant et qui est perdant lors de la création d’une règle de droit. Cependant, lorsque l’on abandonne l’analyse théorique pour s’immerger dans le monde réel, dans lequel les cocontractants ne sont pas A et B mais des classes d’individus bien précis, le critère de Kaldor-Hicks cesse d’être une règle neutre de maximisation

Par ailleurs en adoptant un système à changes fixes, un pays peut importer la crédibilité de ses partenaires en matière de lutte contre l'inflation. C'est le cas du SME à l'égard du Mark. La critique keynésienne de la pensée monétariste : Selon Kaldor, la politique d'inspiration monétariste se heurte à la difficulté de définition de la masse monétaire et selon Stanley Fisher l'analyse monétariste raisonne dans le cadre de prix parfaitement flexibles. Conclusion : Dans l’économie actuelle, il

économiques structurelles sur le moyen ou long terme. Les objectifs qu’une politique économique cherche à atteindre sont la croissance économique, favoriser l’emploi, garantir la stabilité des prix et l’équilibre des comptes extérieurs (carré magique de Kaldor). Le taux d'intérêt a été un instrument essentiel des politiques économiques de type keynésiennes et monétaire des Etats, spécialement en Europe jusqu'à  la fin des années 1970. Les taux d'intérêt étaient manipulés par les autorités publiques de