Kaldor

depuis toujours. Ces politiques sont menées de façon continue à mesure que le fonctionnement de l’économie laisse apparaitre des déséquilibres. Elles sont initiées généralement pour atteindre des objectifs qui peuvent être regroupés, selon Nicolas Kaldor, en 4 ensembles : croissance économique, emploi, stabilité des prix et équilibre extérieur. Mais selon les circonstances économiques, ces objectifs peuvent être conflictuels, compatibles ou indépendants et les priorités varient d’un pays à l’autre

pas la capacité de s’autoréguler. R. Musgrave (1959) distingue trois grandes fonctions de l’État : - Allocation des ressources (production de services non marchands par les APU) - Régulation : stabilisation de la conjoncture (carré magique de Kaldor) et réglementations - Redistribution : PO et transferts pour assurer une meilleure justice sociale Ces 3 fonctions distinctes sur le plan conceptuel, peuvent s’entrecroiser dans la réalité : Ex : redistribution indirecte lorsque l’État exerce sa

conjoncturelle se définit comme étant la prise en compte des quatre objectifs de politique économique : la croissance du PIB, l’emploi, la stabilité des prix, l’équilibre des échanges extérieurs. Ces objectifs se retrouvent synthétisés dans le carré de Kaldor (1966) (Vous en avez une illustration dans le document 9 page 370). Il représente les grands équilibres. L’Etat se doit d’intervenir quand un des quatre objectifs est en difficulté. Il ne doit pas attendre l’équilibre de la régulation du marché mais

variations sur le niveau de la production des entreprises, et par suite du PIB. Un choc affecte soit la demande, soit l’offre. Les chocs peuvent être positifs lorsqu’ils permettent la réalisation des grands équilibres économiques (cf. carré magique de N. Kaldor) ou négatifs lorsqu’ils ont pour conséquence une dégradation de l’activité économique et du niveau de l’emploi. Les chocs peuvent être symétriques ou asymétriques. On appelle choc symétrique un évènement exogène ayant un impact similaire sur la

différentes variables économiques afin d’atteindre la situation optimale décrite par le carré d’or : l’équilibre commercial, le plein emploi, la stabilité des prix et la croissance. Ces objectifs sont représentés à travers le « carré magique » de Kaldor qui fait ressortir deux relations inverses entre ces phénomènes. Ce carré est dit « magique » car on ne peut atteindre tout les objectifs en même temps, il faut donc arbitrer par exemple entre l’inflation et le chômage, relation mise en évidence notamment

variations sur le niveau de la production des entreprises, et par suite du PIB. Un choc affecte soit la demande, soit loffre. Les chocs peuvent tre positifs lorsquils permettent la ralisation des grands quilibres conomiques (cf. carr magique de N. Kaldor) ou ngatifs lorsquils ont pour consquence une dgradation de lactivit conomique et du niveau de lemploi. Les chocs peuvent tre symtriques ou asymtriques. On appelle choc symtrique un vnement exogne ayant un impact similaire sur la demande agrge et/ou

économique ? Pour répondre à cette question nous pouvons y associé cette réponse : une politique économique est destinée à une amélioration de la performance macroéconomique nationale. Ceci peut être modélisé facilement par le travail de Nicholas KALDOR, économiste post Keynésien, donnant lieu à la notion de « carré magique » qui présente les quatre grands objectifs d’une politique économique. Ces quatre thèmes sont la stimulation de la croissance, la limitation chômage, la maîtrise de l’inflation

salaire mais pas la fixation de la quantité échangée au volume de la demande de travail. Ce rationnement provoque du chômage. 4. La théorie postkeynésienne Les postkeynésiens sont ceux qui, dans la continuité de ces illustres représentant tels Kaldor, Joan Robinson ou Michel Kalecki, ont en commun d’accepter l’analyse Keynésienne et plus particulièrement le principe de la demande effective tel qu’elle a été présentée par Keynes. Selon eux, l’analyse keynésienne est souvent détournée et de nombreux

ne sera pas proportionnelle: rendement décroissant. Surtout depuis le 20eme => rendement sera + que proportionnel que chacun des facteurs : rendement croissant. Valras => décroissant => concurrence. Rendement croissant généralisé (KALDOR VERDOORN), aussi croissance endogène (BOYER , LUCAS, BARRO.) LES COUTS DE PRODUCTION =total des couts fixes et des couts variables _Couts fixes en escalier _Couts variables : frais matières premières , salaires. -Croissant : augm. Nbre

fer qu'il fut amener a formuler une théorie de la valeur fondée sur le degré final d'utilité d'un bien ainsi que de la répartition des revenus. Il vit dans ces position un moyen de prouver la supériorité du libéralisme sur le socialisme. | Kaldor | | Économiste brittanique (1908-1986). s'inspirant des travaux de Keynes et de la pensée économique de Larx, il a élaboré une théorie de la répartition du revenu nationales qu'il lie a une analyse de la croissance économique (relation entre