Kali Yuga

Marguerite Yourcenar fait quelques corrections au moment de la réédition du recueil en 1963. Kali décapitée Alliant beauté et horreur, Kâli suscite autant le désir amoureux que l'effroi. Si son corps est offert aux hommes sans distinction de caste, des pleurs incessants coulent sur son visage. En elle se conjuguent tous les contraires de la nature. Autrefois déesse céleste à la pureté lunaire, Kâli n'a pas vu venir la jalousie des dieux envieux, qui l'ont décapitée, avant de descendre aux Enfers

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FICHE LECTURE Médée Kali de Laurent Gaudé QUESTION 1 Cette pièce est particulière car en effet Médée parle toute seul (c'est un monologue).Il y a aussi les scènes relatives au sexe et a la morts de ses enfant qui au niveau de la parole sont un peu choquantes QUESTION 2 Méduse la gorgone est un monstre mythologique a corps de femme et a chevelure de serpents, son pouvoir le plus dangereux était que quiconque la regardait dans les yeux était pétrifier en statue a vie. Cette gorgone est spéciale

prenait fin le 21 décembre 2012… Chez les Hindous 2012 annonce aussi la fin d’un cycle… Cette religion divise l’humanité en quatre âges de 5600 ans et chaque âge se termine par d’énormes bouleversements. L’année 2012 c’est la fin de l’âge du Kali Yuga. Le texte religieux ne repose sur aucune base scientifique et ne peut être validé par la recherche. Tous ce qui est sacré ne se discutes pas et cela est le propre des textes religieux, censés être dicté par le ou les dieux ne peut en aucun cas

obscurcissement graduel de la spiritualité primordiale; ces sont ces mêmes périodes que les traditions de l'antiquité occidentale, de leur côté, désignaient comme les âges d'or, d'argent, d'airain et de fer. Nous sommes présentement dans le quatrième âge, le Kali- Yuga ou « âge sombre », et nous y sommes, dit-on, depuis déjà plus de six mille ans, c'est-àdire depuis une époque bien antérieure à toutes celles qui sont connues de l'histoire « classique ». Depuis lors, les vérités qui étaient autrefois accessibles

Le progrès matériel ne l'intéressait pas du tout. Seul le progrès spirituel le concernait et il considérait que notre époque purement matérialiste était caractéristique d'un état que les hindous considèrent comme le dernier âge de l'humanité, le Kali-Yuga, après lequel on repart à zéro, avec un nouvel âge d'or. A près de 6 décennies de sa mort et malgré un changement des mentalités, ainsi qu'une modernisation évidente dans plusieurs domaines, notamment politique, ses réflexions et ses nombreuses

se déroulant sur des durées infiniment plus vastes. L'Inde parle des quatre yuga qui se développent et s'accélèrent dans un sens descendant, par suite de l'éloignement graduel du Principe. L'Antiquité grecque parle de la même façon des Ages d'or, d'argent, d'airain et de fer, que l'on retrouvent dans la Bible (Daniel) : la statue du songe de Nabuchodonosor. Cet ensemble aboutit à un éclatement final (la fin du Kali-yuga), dont "nul ne connaît le jour ni l'heure...", mais dont les signes annonciateurs

l’adversaire, basé sur la révélation que la vérité comporte plusieurs apparences ; l’acceptation des six systèmes de philosophie hindoue et d’un rythme du monde qui connaît des périodes de création, de conservation et de destruction, périodes, ou yuga, se succédant sans fin ; l’acceptation de la croyance dans la renaissance et la préexistence des êtres ; la reconnaissance du fait que les moyens ou les manières d’accéder au salut (moksha) sont multiples ; le fait que, malgré le nombre des divinités

éveillé d’une vie parfaite » est tout à fait étrange, mais très pertinent en un sens : ce n’est que le rêve justement… et non pas la vie éveillée et parfaite ! Que l’on puisse confondre le loisir avec l’âge d’Or des mythologies, comme en Inde avec le Sat-yuga, voilà qui est… confondant ! Si nous en restons à l’acception commune de la notion de loisir, c’est-à-dire le loisir passif, les questions se posent : Comment l’apogée de la conscience humaine pourrait-elle se confondre avec les loisirs marchands

exactement le contraire de ce qu’on attend de lui en société mais aussi il cherchera systématiquement à inverser les valeurs religieuses prônées tant par les brahmanes que par les autres ascètes. Pour eux, en cette période de l’Âge de fer appelée ‘’kali-yuga’’, il est tout à fait justifié de devoir inverser les méthodes sotériologiques. Quoique, les pratiques puissent varier d’une école à l’autre, le fondement va demeurer le même puisque tous s’accordent à considérer le monde comme une illusion « maya »