Kanoun

facteurs qui semblent avoir favorisé l’adoption des électroménagers en Tunisie. La vie en appartement souvent exigu et mal insonorisé ne peut supporter l’utilisation de nombre d’ustensiles de cuisine tels que le tamis, le mortier et le pilon, le kanoun, la tabouna… et ne permet pas de garder des aliments au frais, d’aérer, voire de rafraichir l’habitat. En effet, les maisons traditionnelles sont des constructions écologiques : elles sont conçues pour permettre une aération naturelle du logement

intérêt, mais qu'il n'a pu le faire admettre dans la pratique [361] ; les marabouts de la Kabylie ne veulent pas reconnaître dans leurs jugements les obligations d'origine usuraire ; dans quelques villages il y a même des peines édictées par les Kanouns (recueils de coutumes) contre les usuriers ; mais tous les Berbères s'arrangent par se soustraire aux règles du Coran et ils savent dissimuler les contrats usuraires sous des formes licites ; enfin les marabouts eux-mêmes ne se gênent pas pour prêter

publiques doivent tolérer beaucoup plus de critiques et les sanctions ne doivent jamais être sévères au point d’entraver l’exercice du droit à la liberté d’expression y compris par les autres ». Imad Abdelhamid AnNajar. 1996. An-Nakd Al-Mobah fi Al-Kanoun Al-Mokaran (La Critique Permise Dans le Droit Comparatif). Le Caire : Ed. An-Nahda Al-Arabiya, Maroc b Loi n° 00-77 relative au Code de la presse et de la publication, art. 44 à 46 0 2 2 158 Atteinte à la vie privée par l’organisation de campagnes

d’un nouvel accord, Djem a été, en 1489, amené à Rome pour être confié à la garde du pape Innocent VIII. Mais, pour le reste, l’organisation de l’Empire ottoman est de beaucoup supérieure à celle des États voisins. Dans une série d’ordonnances (kanoun), Mohammed II l’a d’étapes en étapes réglementée par le détail. Le sultan, chef de l’État, en même temps que chef de l’Église musulmane, réunit entre ses mains tous les pouvoirs, militaire, législatif et administratif, judiciaire et financier ; il

HADDOUCH OUHAJJOU OMAR-BOUHOUT SBAI ET BARIAH AHMED NABIH AHMED-MEZIANE BELKACEM-EL QUACHANI ABDERRAHMAN HERITIERS DE FEU KHAMAL MOHAMED ET AABROUZ AHMED-LAHCEN-FATIMA-AICHA ET HALIMA TAHSSITI ALI-AZDAD MEZZIANEHERITIERS DE FEU KAZOUT MOHAMED ET DE FEUE KANOUNE FATIMA-KARROUMI MOHAMED-TANNAZ MOHAMED-ASSOUILE ABDELAZIZ LAKARJAL ABDESLAM-ESSAFIA MOHAMEDBERRABAH MOHAMED-FARES OUMOUHHAMIRI AHMED-EL MADANI ABDELAH BOUAALAM AALIAT-DANI EL MAATIERRACHIDI AHMED-AACHYOU ALI-EL AACHKOUR EL HASSAN 4810 02/11/1994

(641) 181 était spécial à certaines tribus qui exerçaient une sorte de suprématie sur les autres. Il est probable que chaque groupe de la nation possédait, à défaut de lois fixes, des coutumes dont le souvenir s’est perpétué en Algérie dans les Kanouns de nos Kabyles(1). Au septième siècle, n’ayant pas encore profité de la civilisation arabe, les Berbères étaient, en maints endroits, fort sauvages, mais leurs qualités ne devaient pas tarder à se développer et c’est avec raison qu’Ibn-Khaldoun a pu