Kant Juge Intérieur

gentil, ils n’ont pas de mérites, ils sont soumis à des lois qui sont comparables à des lois de l’apesanteur… L’animal agit selon son instinct, par instinct l’animal sera immédiatement agir de manière adéquate Texte n° 2 et Texte n°3 : Lévi-Strauss et Kant Texte 3 : l’homme doit inventer la manière dont il souhaite mener sa vie «  il faut qu’il se fasse à lui-même son plan de conduite.. » Synthèse : L’homme est un être de culture se qui se distingue de la nature : être qui pense qui a des valeurs

de soi c’est : - le point de départ de toute connaissance (Rabelais : «Science sans conscience n’est que ruine de l’âme»). - le support de toute identité (personnalité psychique est continue au cours de la vie) - le guide de tout jugement moral (ex: Kant «loi morale» dictée par la conscience qui est définit comme «instinct divin») ==> Un sujet sans conscience de soi est dans sans connaissance, identité et jugement moral. Objections : - La conscience ne donne aucun objet de connaissance, il faut entrer

et si la nature institue des inégalités effectives qui génèrent des conflits, il s’agit de contrôler celles-ci et de les maîtriser en vue de la paix civile, qui est condition du bonheur. Par quels moyens procède cette maîtrise ? Par un mouvement intérieur, nous dit le Socrate du Gorgias, par un tri qu’opère le sujet entre le bien et l’agréable ¾ en d’autres termes : par une éthique. Comparons cette réponse avec les préoccupations du livre I de La République : si la question de Calliclès y est reprise

aux XVIème siècles avec Copernic Galilée et Newton. Les grandes découvertes scientifiques modernes attestent la créativité de la raison sur le plan théoriques et pratiques .L’esprit n’est plus une structure déterminée d’avance comme chez Descartes et Kant. La psychologie des sciences atteste aujourd’hui que la pensée scientifiques est une construction rationnelle et objective de la réalité qui dépasse de loin l’objectivité sensible des choses. B- Méthodes de Connaissance: 1) Les sciences mathématiques

renouvelle sans cesse. Rien n'est, dit Héraclite, tout se fait; ce qu'on appelle l'ordre de la nature est une révolution constante, une décomposition et une recomposition perpétuelle. Le feu est le principe élémentaire, l'instrument de ce mouvement intérieur qui crée, détruit et reproduit toutes choses. Or, si tout est dans un flux et un reflux continuel, comme le veut Héraclite, il suit que rien n'existe en soi et d'une existence substantielle; et que toute chose, c'est-à-dire tout phénomène, n'est

quelle raison aurions-nous de consentir à ce qui nous l’apprendrait, si nous ne savions qu’il fût vrai, c’est-à-dire, si nous ne connaissions la vérité. » Lettre à Mersenne, 16 octobre 1639. Le même cercle vicieux (ou « diallèle ») est souligné par Kant : « La vieille et célèbre question, par laquelle on se figurait pousser dans leurs retranchements les logiciens et on cherchait à les amener, ou à devoir se laisser surprendre dans un pitoyable diallèle, ou bien à devoir avouer leur ignorance, et par

entre moi et l'autre, mais bien au contraire : il faut encore chercher à comprendre en quoi cette méfiance, que peut générer le regard de l'autre sur moi, instaure une relation de méfiance de soi à soi même. Car c'est bien encore la crainte d'être jugé, d'être étiqueté et catalogué qui est ici mise à la question à travers le problème de la légitimité d'une telle crainte. En quoi est-il nécessaire de craindre le regard d'autrui ? Pour tenter de répondre à cette question, nous verrons dans une première

spécifique, formel et technique. Approcher la musique contemporaine sous l'horizon d'un formalisme permet de montrer comment le discours musical se concentre sur son contenu, et comment cette concentration sur le sonore est perçue depuis son mouvement intérieur, dans ses « formes », dans son « esprit ». On verra alors la volonté d'une exploration approfondie du matériau musical et la découverte d'un nouveau monde sonore. Ainsi, en mettant en exécution le formalisme appliqué à la musique de notre temps,

philanthrope : celui qui aime les hommes), qui recherche la sagesse Mais qu’est-ce que la sagesse ? Le sage est quelqu’un qui possède un savoir, la vérité (parfois mystique). Il témoigne d’une paix avec lui-même, il dégage de la quiétude, un calme intérieur. Il témoigne aussi de vertus morales (compassion, patience, honnêteté, etc.) qui font de lui un modèle pour les enfants. Donc 3 grands pôles : vérité, bonheur, vertu, correspondant aux différentes grandes questions que se pose l’homme au sujet de

moyen pour apprendre a se connaître,c’est de chercher a comprendre autrui »andré Gide Rapports avec autrui « le devoir et le bonheur consistent également a vivre pour autrui » « Il (l’homme)abuse a coup sur de saliberté a l’égard de ses semblables »Kant « l’homme est non seulement un animal social,mais un animal qui ne peut s’individualiser que dans la société »Marx Le sujet La conscience ***/** 1. Conscience morale, conscience psychologique [pic]  Le terme "conscience" peut sembler simple