Kant Les Deux Ignorances

Nietzsche gardera l'idée du désir, de la volonté qui fait vivre mais, plus tard, il se détachera de Schopenhauer en affirmant que l'homme doit affirmer ses désirs sans nier la volonté, l'instinct, la vie. Nietzsche lit aussi Lange (un kantien) puis Kant dont il retiendra la critique de la métaphysique dont les prétentions scientifiques lui semblent définitivement dépassées. La théologie lui apparaît aussi comme une illusion grossière. Il ne se détache pas de la philologie mais il veut lui donner une

d’abord le pain, ensuite la satiété ; d’abord A, ensuite B) à la pensée d’une relation nécessaire de cause à effet (connexion). Il y a un ajout qui ne peut avoir sa source que dans le fait que l’esprit, habitué à joindre, par une expérience répétée, deux idées de choses, pense les choses elles-mêmes comme liées. L’idée du pain est jointe dans l’esprit à l’idée de satiété, et du coup nous considérons le pain lui-même et la satiété elle-même comme nécessairement liés. C’est toute la possibilité de l’objectivité

octobre 2006* Dans un célèbre passage du livre VII de La République, Socrate, ayant comparé les hommes aux prisonniers d’une obscure caverne, demande « comment ils réagiraient si on les délivrait de leurs chaînes, si on les guérissait de leur ignorance et si les choses se passaient comme suit : qu’on détache un de ces prisonniers, qu’on le force à se dresser soudain, à tourner le cou, à marcher, à lever les yeux vers la lumière » … L’interprétation scolaire de l’allégorie se borne ici à invoquer

HUMAINES ET ARTS THÈSE Pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L’UNIVERSITÉ DE POITIERS Discipline : Philosophie Présentée et soutenue publiquement par Laurent Boutot Le 5 Décembre 2009 Idéal et normativité dans la philosophie pratique de Kant Directeur de thèse : M. le Professeur Bernard Mabille JURY M. le Professeur Andrea Bellantone (Université de Messine) M. le Professeur Jean-François Kervégan (Université Paris I) M. le Professeur Bernard Mabille (Université de Poitiers)

| | | |Emmanuel KANT (1785) | |

me distingue de mes semblables, ce qui fait que je suis unique. Car l'avenir symbolise tout ce qui est possible, tout ce qui n'est pas encore et si l'homme a la possibilité de se projeter dans l'avenir, il y découvre une énigme, un mystère, une ignorance qui consiste à ne pas savoir de quoi demain sera fait. Cela peut nous donner de l'énergie car si on ne sait ci On vous interroge sur la nécessité qu'il y aurait à donner du sens au passé pour construire son avenir. Vous notez d'abord que la question

général : Ce cours vise à introduire les étudiants en sciences politiques dans la riche pensée des hommes qui veulent comprendre leur vie en communauté. Après une approche introductive sur la société, nous entrerons dans une réflexion sur l’Etat en deux temps : une approche simplifiée de ce concept puis, dans un second temps, nous parcourrons les « grands auteurs » de la philosophie politique en dégageant pour chacun d’entre eux les clés de lecture de la vie politique contemporaine. Objectifs

devient-on athée ? Il existe différentes sortes d’athéisme : 4 remarques préliminaires : 1) Il ne faut pas se fier à la manière dont les gens se présentent ! 2) Il faut faire la différence entre athéisme et agnosticisme (voir étymologie de ces deux mots) Athée  SANS Dieu Agnostique  ne CONNAIT pas Dieu (il ne nie pas l’existence de quelque chose mais pour lui Dieu est inconnaissable) 3) Parfois, on traite d’athée celui qui ne croit pas comme nous ! (Socrate a été condamné pour son athéisme

indifférentes). Ces principes institutionnels sont les trois suivants (deux groupes : d’abord les fins, ensuite les moyens) : il y a des savoirs qui sont transmissibles et qui doivent l’être, il y a des spécialistes chargés de les transmettre, il y a une institution reconnue qui a pour tâche de mettre en présence les spécialistes et ceux à qui doivent être transmis ces savoirs . À la rigueur, les premiers sont des vrais principes et les deux suivants sont plutôt des conséquences chargées de rendre réels

Critiquer : juger en bien comme en mal et classer les objets par catégories. On donne une valeur (prédicat) faut connaître les critères de jugements : - acte impulsif avec une inconnaissance et ne sait pas définir. Jugement infondé > préjugé (ignorance aveugle). = opinion. Un jugement critique est en fonction de la raison. On peut avoir conscience de ses limites. Etree conscient de la non maîtrise des critère et du fait qu’on ne sait pas ou trop peu. Opinion droite : mesure de ce qu’on sait