Kant Les Deux Ignorances

célébrité grâce à l’enthousiasme de la jeunesse qui est avide de nouveauté et de liberté. Or cette jeunesse était jusque-là sous l’influence soit des catholiques, soit des marxistes. Sartre l’entraîne dans un vent de révolte que doivent combattre les deux autres courants : d’où leur violente critique. Cette vogue (= mode) soudaine de l’existentialisme est liée à l’idée nouvelle que l’homme est condamné à une liberté qu’il s’acharne à fuir par mille stratégies. Cette philosophie de la liberté est développée

semble le faire implicitement. L'amalgame de Réel et Raison (qui semblent indissolublement liés) et le choix des textes (presque tous concernent les sciences) semblent en effet présupposer que le Réel est épistémologique2. Par conséquent, proposons ces deux définitions : - la Réalité désignerait l'existence vraie (banalement vraie, selon l'opinion courante ou sans recours à une vérification très poussée), - le Réel désignerait l'essence vraie, ou plutôt les phénomènes vrais scientifiquement (la vérité

dans l’illusion reste un vrai plaisir ≠ plaisir illusoire Choisir plaisir illusoire plutôt que réalité dure qui apporte plus de souffrance 2. La lucidité et le courage de la vérité a. Une première critique de l’illusion Soulagement dans ignorance délibérée mais réalité suit son cours + causes de souffrance toujours là (prendre un médoc = masquer souffrance) > mise à l’abri provisoire (maladie tjrs là) + on ne fait rien pour combattre réalité qui progresse Manière d’améliorer notre sort

parle aussi bien de l’histoire du Petit chaperon Rouge (récit imaginaire, fictif) que de l’histoire de la France ou de la seconde guerre mondiale (histoire réelle, objective). A cela s’ajoute une autre ambiguïté : le terme d’histoire possède deux significations principales. L’histoire de la France, par exemple, ne renvoie pas seulement à l’ensemble des événements passés qui ont affecté le sol et le peuple de France, mais aussi à la discipline, la science qui étudie ce passé. Il y a donc d’une

"découpage en phrases" du type : "Dans une 1ère partie qui va de... à ..., l'auteur dit que..., puis dans une seconde partie qui va de... à ..., il dit que... etc." Dites simplement (par ex.) : "D'abord l'auteur dit que..., ce qu'il justifie par deux argument : le premier affirme que..., et le second que.... L'auteur en déduit que...". Il faut qu'à la lecture de l'introduction on comprenne de quoi parle texte : il est donc essentiel d'indiquer le contenu des idées, et non pas s'adonner à un

Mystique rhénane. Il est un théologien, philosophe et spirituel dominicain qui a occupé des rôles importants dans la vallée du Rhin: il est par exemple vicaire général auprès du maître de l'ordre de 1313 à 1323. Par ailleurs il a enseigné à Paris à deux périodes, de 1302 à 1303 et de 1311 à 13131. On peut noter que maître Eckhart, par l'écriture des sermons, est une figure représentative de l'enseignement parisien à la fin du moyen-âge2. Le sermon universitaire, prononcé dans le cadre de l'eucharistie

Buridan ». Le paradoxe de l’âne de Buridan est la légende selon laquelle un âne est mort de faim et de soif entre son picotin d'avoine et son seau d'eau, faute de choisir par quoi commencer. L’âne meurt de faim et de soif parce qu’il hésite entre ses deux désirs. Dans cette situation, aucun motif ne pèse plus que l’autre dans le choix et l’action et l’âne ne parvient donc pas à se décider. Descartes a interprété cet exemple comme illustrateur de la liberté d’indifférence Mais pour lui, cette indifférence

poursuit (de la ligne 5 à la ligne 10) toujours avec une hypothèse, en imaginant que nous sommes dans l'incapacité, dans l'impossibilité d'expliquer les miracles par « des causes naturelles », autrement dit, rationnellement. Spinoza distingue alors deux explications qui sont les suivantes : soit le miracle possède des causes naturelles, des choses rationnelles mais qu'il est impossible pour l'homme, pour la compréhension humaine de comprendre ou d'expliquer, même par des recherches scientifiques ;

monde, à s'interroger sur la véracité de ce mythe des origines et va peut-être dépasser ce stade de mythe en le confrontant aux sciences. Il s'agit de prévenir le retour du mal et résoudre l'énigme de l'implantation du mal. « L’innocence est ignorance […] Dans cet état il y a calme et repos; mais en même temps il y a autre chose qui n’est cependant pas trouble et lutte; car il n’y a rien contre quoi lutter. Mais qu’est-ce alors? Rien. Mais l’effet de ce rien? Il enfante l’angoisse » « Chez tous

Kant - Critique de la raison pure« Que l’on prenne un acte volontaire, par exemple un mensonge de nature maligne par lequel un homme a introduit un certain désordre dans la société ; qu’on recherche d’abord les causes déterminantes d’où il est sorti et que l’on juge ensuite comment il lui peut être imputé avec toutes ses conséquences. Sous le premier point de vue, on pénètre le caractère empirique de cet homme jusque dans ses sources, que l’on recherche dans la mauvaise