Kant Mal Radical

irréductibles ;  y a-t-il des limites à l'effort de décentrement. Si ce déplacement est possible comment s’opère-t- il ?  - par sympathie, compassion émotive (la pitié chez Rousseau) ; - par effort intellectuel d'universalisation ( l'impératif catégorique de Kant) ;  - par analogie, par assimilation des informations, immersion culturelle dans le milieu de l'autre (thèse anthropologique  et phénoménologique). Quelle est la clé de la compréhension de l'autre en tant qu’autre ? *A-t-on le droit de se mettre

Plan – résumé : «  l’Esprit des Lumières » - Tzvetan Todorov. 1. LE PROJET Les Lumières (ils sont des empiristes et des rationalistes) époque de : Récapitulation D’aboutissement Synthèse Mais pas d’innovation radicale, les grandes idées des Lumières ne trouvent pas leur origine au XVIIIème siècle. Les idées viennent de l’Antiquité, ont été reprises à la Renaissance et se sont épanouies à l’âge classique. Nous sommes alors à une époque de débats plutôt que de consensus où l’on privilégie

tour l’« activité mentale »... et à la réponse spontanée : « l’activité mentale est l’activité de la pensée ». La définition est circulaire ! Elle transformait simplement un substantif (« pensée ») en adjectif (« mental »). Nul n’a mieux résumé que Kant les conditions d’une bonne définition : « Les exigences essentielles et universelles requises pour la perfection d’une définition en général peuvent être traitées sous les quatre moments principaux de la quantité, de la qualité, de la relation et de

de l’indifférence à autrui). Dans cet état de nature, les hommes ne connaissent ni le bien, ni le mal ; ils vivent avec leur famille et n’ont pas besoin des autres pour survivre. Une suite de catastrophes va les amener à entre en société (lier des relations nécessaires avec autrui), ce qui provoque le développement de la propriété privée -> inégalités + raison morale (connaissance du bien et du mal). En conséquence, il y a bien l’idée d’une nature humaine dans le sens où une certaine idée, définition

1717-1783. 1713-1781. 1709-1751. 17l5-1771. 1723-1789. Henri Bergson (1915), “ La philosophie française ” 9 est incontestablement celle de Jean-Jacques Rousseau 1. La réforme qu’il opéra dans le domaine de la pensée pratique fut aussi radicale que l’avait été celle de Descartes dans le domaine de la spéculation pure. Lui aussi remit tout en question ; il voulut remodeler la société, la morale, l’éducation, la vie entière de l’homme sur des principes « naturels ». Ceux mêmes qui ne se sont

portugaise né à Amsterdam, ou sa famille a émigré (car les juifs sont particulièrement mal vu au Portugal). Ses oeuvres le veront exclu de la communautée juive. En effet, pour Spinoza, Dieu est la Nature, et par conséquent Dieu est donc une entité rationnelle. Spinoza était également mathématicien. Spinoza défini le désir comme ce sans quoi l'Homme ne serait pas ce qu'il est. Il a donc une positivité radicale. Il faut donc chercher ce qu'est le désir pour Spinoza. Or, la notion de désir est à comprendre

28.01 _ La philosophie morale s'adresse à la conscience des individus, et a comme problématique d'orienter cette conscience vers des idées de biens et de justice, ou comme l'appelle Kant, vers l'autonomie du jugement. Mais comment s'exerce cette orientation vers le bien ou la justice ? _ Dans l’œuvre de Kant Qu'est ce que s'orienter vers la pensée ?, l'acquisition de l' autonomie du jugement est symbolisée par le courant des lumières. Les lumières, c' est un courant qui traverse l'Europe au 18ème

d'Holbach, une mystification du cerveau qui ne se connaît pas encore lui-même. Mais la notion d'âme permet de penser la liberté. On ne s'étonnera donc pas que d'Holbach, parce qu'il refuse cette notion d'âme, considère que le libre arbitre, comme choix radical, est une « stupidité qui déshonore la philosophie ». Être libre, c'est seulement rechercher son utilité mais les lois de la nature et de la matière sont des lois nécessaires. L'homme est soumis à la légalité naturelle. L'homme est un et l'homme moral

constitue en elle-même une forme de violence dans la mesure où elle consiste en la destruction d'un pouvoir antérieur, en la négation de la légitimité du pouvoir précédent. La révolution, en ce qu'elle se présente comme seul moyen de changement radical de pouvoir, est l’exemple même de la violence politique. Et même lorsqu'il s'agit d'établir un pouvoir plus juste, plus égalitaire, plus respectueux des libertés, même quand il s'agit de mettre fin à un pouvoir tyrannique et répressif, l'accession

la fin de la morale, or l’homme est un être de désir. (Le désir est la recherche d’un objet que l’on imagine être source de satisfaction, il est accompagné de souffrance et à peine assouvi il renaît, il est illimité et condamné à l’insatisfaction radicale.) Les désirs font de l’homme un être misérable car ils sont insatiables et illimités, par conséquent pour être heureux, il doit apprendre à les gérer. I) Comment gérer les désirs pour être heureux ? (Désir : manque et mouvement vers l’objet)