Kant Mal Radical

de son amant Eros en plein jour et le perd, Pandore qui ouvre la boite des maux de l’humanité et les libère à cause de sa curiosité ; Enfin Adam et Eve qui sont déchus du paradis pour avoir mangé le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Que cache le besoin de vérité ? Est-ce toujours un bien de la connaître ? Pque : La vérité puise t’elle son essence dans une unicité objective ou dans une pluralité subjective, Pour autant n’ y a-t-il pas des critères permettant de reconnaître la

un autre. Le savoir qui rend sachant de soi est subjectif, comme le montre le cas du malade qui vit sa maladie de l’intérieur, s’en fait une certaine représentation et lui donne un certain sens ; il est immédiat, pratique et intuitif, puisque le mal est présent au malade de manière directe ou par son ressenti empirique même du fait d’une réduction de son champ d’action. A contrario, le savoir qui rend savant sur soi ou l’autre est objectif, comme l’indique l’exemple du malade dont la maladie

c'est à dire de ceux correspondant en fait aux besoins vitaux (boire, manger, dormir dans les conditions les plus "naturelles" possibles). Cette conception mène à un ascétisme où se marque l'intervention d'une volonté bien humaine.  B. La critique de Kant  Mais cette morale se distingue de l'animalité par des aspects qui vont au-delà du nécessaire : manger ne suffit pas : il existe partout des règles organisant la cuisine et les "manières de table". La culture ajoute à la nécessité naturelle une nécessité

sens le plus strict et le plus précis, on trouvera qu'en fait, la philosophie ça ne sert à rien, et c'est peut-être ce qui en fait la valeur. Le fait de servir à quelque chose correspond à la valeur instrumentale, que l'on doit comprendre (comme son radical l'indique) comme la caractéristique d'un instrument. La fourchette sert à manger, c'est sa valeur instrumentale en tant que couvert. La science économique sert à manipuler la circulation de l'argent pour en faire croître le volume (pour produire

pas d’aptitude relevant de la conscience réflexive, il possède certainement une conscience immédiate qui fait de lui un être entièrement différent d’un objet mécanique. Bergson rejoignait également voltaire sur ce point dans Evolution créatrice. "Radicale est la différence entre la conscience de l'animal, même le plus intelligent, et la conscience humaine. Car la conscience correspond exactement à la puissance de choix dont l'être vivant dispose ; elle est coextensive à la frange d'action possible

pouvoir acquérir sur moi-même nécessité lucidité et sincérité. Une conscience morale est réflective, capacité qu'à l'homme à juger de ce qui est bien ou mal. Rousseau dit que la conscience morale est un "instinct divin". Si on l'interroge avec franchise elle nous répondra en toute vérité. L'essence de toute conscience humaine c'est la morale. Kant "La conscience est essentiellement morale". La conscience est comme un tribunal intérieur qui nous juge et nous observe. * Comment prétendre à une

est le fondement de toute connaissance vraie. D - Raison et perception : fonction différente  «Toute connaissance commence par les sens, passe de là à l’entendement et s’achève dans la raison au-delà de laquelle il n’y a rien de plus élevé.» (Kant). Ainsi, nos perceptions nous donnent la matière à partir de laquelle la raison va pouvoir exercer son activité pour nous permettre d'atteindre la vérité. Sans cette organisation qu'effectue l'esprit nous serions dans la confusion la plus totale. Nous

pour juger du bien et du mal. Le terme d'histoire désigne deux réalités différentes: 1) la science qui étudie le passé de l'humanité et qui relate et interprète les faits. 2) les événements, les actes, les faits du passé, cad la mémoire des hommes. Le jugement de réalité (ou d'existence) est un jugement porté sur les faits. Il s'oppose au jugement de valeur, qui est une appréciation subjective sur la valeur d'un objet, d'une action. Le jugement synthétique, d'après Kant, correspond au jugement de

beaucoup plus loin que Descartes, aussi bien en mathématique qu’en physique. On doit à Descartes les lois de la réfraction en optique, qu’il redécouvre indépendamment de Snell. Sa conception de l’origine du système solaire sera reprise et étendu par Kant, Laplace et par Carl Friedrich Von Weizsäcker. Einstein fera remarqué que la conception de l’espace dans la physique cartésienne, et son rôle dans celle-ci, étaient cependant en avance sur son temps par rapport à la conception de Newton, car elle anticipait

convergence entre la philosophie et le droit. John Austin « philosophie of positiv law » en 1832. Livre qui pense le droit sans s’arrêter sur la justice. Remarque : Cette apparition d’une vraie philosophie du droit appliquée est nouvelle. Kant a conceptualisé à la fin du 18ème siècle cette distinction absolue entre le droit positif et l’idée de justice. « Principe métaphysique de la doctrine du droit ». Il fait une distinction, contre laquelle réagira Hegel, en considérant que le droit