Kant Pense T On Bien Quand On Pense Seul

; Rousseau, la pitié II) Le conflit : - la méchanceté ; Hobbes et Jankélévitch - De la justification : Boltanski et Thévenot III) La domination - Bourdieu : la violence symbolique - Kant : l’insociable sociabilité IV) Autrui est nécessaire à la construction de soi : la reconnaissance de l’autre Tandis que les groupes d’animaux hiérarchisent les individus des troupeaux par une espèce de loi de la domination du plus

impératif que ce soit au niveau individuel ou politique. L’individu doit chercher la vérité parce que sinon il ne peut pas connaître le bien, Henri Bergson note que de la vertu même Socrate fait une science, et identifie la pratique du bien avec la connaissance que l’on possède. Socrate affirme lui-même affirme que ‘’ celui qui sait ce qui est bien fera aussi du bien ‘’. PLATON : La sophistique comme la rhétorique est une flatterie. En revanche, le dialogue implique ‘’donner ses raisons et

enfin que la morale est une question d’interprétation Tout d’abord, la loi morale vise la cohésion sociale, Kant aurait proposé sa vison avec les maximes qui sont un principe pratique subjectif quand la condition est considérée par le sujet comme la valable seulement pour sa volonté. La maxime est le principe subjectif de l’action que le sujet se donne lui-même comme règle. D’après Kant seules des actions dont la maxime sera conforme à ce principe seront moraux. Il n’y a pas ici de fin instrumentale

dans la pensé de l'individu. Il a une réalité concrète car il se retrouve dans la pratique culturelle de chaque peuple, il y aurait donc interaction entre l'individu et l'esprit de son peuple. On peut voir un exemple avec la notion de liberté; chez les grecs, liberté est synonyme de non esclave. Aristote dans sa philosophie que la nature prévoit tout, montre qu'un esclave est plus costaud et stupide alors qu'un citoyen n'est pas costaud mais à une certaine forme d'intelligence (il voit quand même des

Introduction « Je te crois », dit-on à quelqu'un dont on pense que les propos sont vrais ou dont les arguments nous ont convaincu. On peut aussi croire qu'il faut tourner à droite au carrefour lorsqu'on n'a plus une connaissance exacte du chemin, on peut enfin croire en l'existence de Dieu ou en l'immortalité de l'âme. Même si c'est à chaque fois à des degrés divers, la croyance fait donc toujours intervenir les éléments de la conviction et de la confiance : croire, c'est tenir pour vrai, de façon

L'immédiateté de ce sentiment lui donne t-il pour autant un fondement ? La liberté comme libre décret de la volonté n'est-elle pas une illusion liée à la conjonction de la conscience de nos actes et de l'ignorance des contraintes qui s'exercent sur nous quand nous choisissons ? La liberté est-elle plus grande lorsqu'apparemment rien ne nous pousse à choisir ? Avons-nous plus d'indépendance de la volonté dans la résistance à ce que notre entendement nous impose ou au contraire dans l'acceptation de ce qui

interrogés, il y a une hypothèse. Einstein : aucun chemin conduit de l’hypothèse à l'observation des faits *Kant « critique de la raison pur » : le savant n'est pas face à la nature comme l'élève face au professeur. Si l’hypothèse est vrai on va produire un fait. Inertie : un objet persévère dans son état de mouvement ou de repos d’après Newton et Galilée. C'est une expérience de pensée scientifique. Elle ne se contente pas d'enregistrer les observations car elle n'est pas vrai. *Claude Bernard

nécessairement le recours à des moyens exceptionnels ou inavouables. La culture du secret s’impose alors aux institutions publiques. Il existerait donc une logique intrinsèque au pouvoir, qui tend à l’abstraire de toute référence morale, l’enfermant dans le seul but de l’efficacité. Le pouvoir de l’Etat relève alors d’une technocratie qui se donne comme fin en soi. Mais aucune efficacité d’aucun pouvoir n’offre de garantie sur les fins de ce pouvoir : c’est donc l’ambiguïté même de la notion de pouvoir qui

animé par A.Garapon. « Le Juste » ouvrages écrit par Ricœur. Double qualité de cette approche : - une attitude modeste face à la complexité et au mystère des choses et donc du droit. - Curiosité, capacité d’étonnement, une capacité qui exprime bien le mot grec « thaumazein » Ce que dit Aristote « c’est l’émerveillement qui poussa des hommes à philosopher, ils s’étonnèrent d’abord des choses auxquels ils se heurtèrent puis ils allèrent plus loin et se posèrent des questions concernant les phases

chose sont elles conditionnées par l’externe. Dans les choses de la logique, il y a une notion d’interne. Dans le cours, il s’agira de comprendre comment une pensée sociologique est elle possible sur le monde. Il ne s’agit pas de décrire la méthode sociologique (enquête, questionnaires, aspect qualitatif…), mais on évoquera quand même la méthodologie pour comprendre quels sont les niveaux de la réalité sociale. Les valeurs : Les valeurs déterminent les comportements mais ne sont