Kant S Orienter Dans La Pensée

L'explication de texte en voies générales - L'introduction expose brièvement l'objet, le problème, et la thèse du texte. Il s'agit d'abord de saisir ce texte dans son ensemble et de manière synthétique. - L'analyse du texte consiste à « déplier » la pensée à l'œuvre dans l'extrait proposé. Il faut commencer par mettre au jour sa structure. Puis expliciter la thèse en suivant l'ordre du texte. À présent, l'approche est analytique. - Enfin, il faut opérer un libre examen de la thèse proposée. « S'expliquer

est un Dieu pour l’homme (L’amour. La concorde. Le commerce) 11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16

vivons dans un monde d'idées reçues, véhiculées par les on-dit et traversées par les modes. Mais si nous sentons tous que notre pensée nous appartient en propre, nous savons aussi que nous sommes plus ou moins influençables : avoir des pensées vraiment à nous n’est pas si facile. Alors comment faire pour penser réellement par nous-mêmes ? En ne nous souciant pas de la pensée des autres c’est-à-dire en nous rendant sourds à ce qu’ils pensent ? Penser par soi-même consisterait dans ce cas à s’enfermer

humains, et pour redonner à l'amitié un sens pleinement positif, qu'Aristote élabore sa démonstration. Autrement dit, ne peut-on pas être heureux dans la solitude ? I : Une aspiration humaine A/ Le désir est spontanément orienté vers le bonheur, de même que l'esprit est orienté vers la vérité. 1 Par définition, le désir est désir de ce qui nous rend heureux. 2 Lors même que l'homme, en agissant, fait son propre malheur, il ne peut agir ainsi que parce qu'il croit tendre au bonheur. (Saint Augustin)

Le contractualisme est un courant moderne de philosophie politique qui pense l'origine de la société et de l'État comme un contrat originaire entre les hommes, par lequel ceux-ci acceptent une limitation de leur liberté en échange de lois garantissant la perpétuation du corps social. Le contrat social présuppose un état de nature avec lequel il rompt, état préexistant à toute société organisée. Cet état de nature ne correspond nullement à une réalité historique qui aurait précédé l'instauration

sociale. La vie sociale va amener à discipliner les pulsions de plaisir et d’agressivité mais elles agissent toujours sur les conduites humaines. (Ex : Le MCI va permettre la valorisation du plaisir.) Reconnaître que l’être humain est orienté dans ses conduites orienté par sa conscience. C’est parallèle à la question du sens c’est-à-dire que l’animal social n’a pas besoin pour apprendre son rôle de recevoir ni même de se donner des justifications et des explications contrairement à l’homme. Donc l’être

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres comme Kant condamnent la recherche du bonheur (comme s'opposant à la morale) ou comme Nietzsche la critiquent comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. La morale cartésienne met la science au service du bonheur

intérieurs pour mieux se connaître. Il débouche parfois sur un journal intime dont la relecture favorise la perception de sa personnalité. On voit bien l'importance de la conscience pour accéder a soi même. Grâce a la conscience, la personne est digne. Kant distingue la dignité du prix. Le prix d'une chose est toujours relatif au but que l'on se donne. Ainsi le prix d'un objet dépend de lui même, pour faire des projets. L'homme est ainsi source de toute valeur, il est une fin en soi c'est a dire une valeur

en est de même pour le théâtre, mais on peut aussi analyser un texte pour y déceler les pensées de l’auteur afin de les élargir avec les siennes. Le metteur en scène a donc le choix d’être soit le traducteur du texte en une représentation, soit d’en être l’interprète et nous pousser à trouver notre propre interprétation. On peut donc se demander de quelle manière les choix du metteur en scène peuvent orienter la réflexion des spectateurs. On étudiera les différentes orientations que peuvent prendre

9. Soit superficiellement « lécher » « effleurer » 10. Soit en profondeur « coup de scalpel » Il précise qu’il ne les traite jamais en entier et donne un argument pour étayer cette idée « je ne vois le tout de rien ». Il ridiculise ce qui pense le contraire. L’attitude d’esprit que défend Montaigne est nommée par 2 mots précis à la ligne 22 : « Le doute et l’incertitude ». Cette attitude d’esprit en philosophie se nomme le scepticisme qui entraine le penseur a se méfier des idées reçus