Kant Séparation Du Droit Et De La Morale

Sous l’influence de Descartes et plus tard de Newton La pensée scientifique : on s’appuie sur l’expérience, les faits, les preuves. On compare les témoignages et les croyances Se libérer de la théologie et de l’autorité pour penser Emmanuel Kant : Qu’est-ce-que les Lumières 1784 Citation : « aie le courage de te servir de ton entendement » Les domaines d’investigation de la raison : Religion/Croyances Fontenelle : Histoire des oracles 1686 S’en prend à l’obscurantisme d’une pensée

 La justice et le droit (la politique) Si la morale nous dit ce que nous devons faire (le devoir), le droit définit ce qu'il nous est permis de faire. La justice est souvent considérée comme la principale vertu morale : la justice est la source des autres vertus et la condition de leur exercice harmonieux car elle renferme tout ce que l'on doit à soi-même et aux autres. Pour autant droit et justice coïncident-ils exactement ? Il y a bien des cas où la réponse est négative : que penser

 II)            La loi nécessaire à la liberté.  1)   La loi, même imparfaite, même parfois injuste, permet la paix qui est « souverain bien » (Pascal).  Selon Hegel « Le droit est le royaume de la liberté réalisée ». Sans droit la liberté reste un concept vide. La loi garantit les libertés élémentaires de l’homme : les droits de l’homme fondés sur le droit à une liberté « inaliénable ».   2)   La loi permet le Contrat social  (Rousseau) par lequel chacun accepte « l’aliénation totale de chacun à tous ». Cette « liberté

raisonnement - une physique, qui rend compte de l’ordre de l’univers - une éthique, qui délivre les règles de la vie. Le stoïcisme est donc sur le plan moral, une sorte de fatalisme. Mais aussi il est une sorte de volontarisme. Le stoïcisme renvoie à l’idée d’un effort réalisé sur soi, d’une maîtrise de soi, même dans la souffrance. L’idée morale du stoïcisme est la distinction entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. * Le réalisme est né en Grèce, principalement avec Platon

donner sa parole, …) L’engagement • S’engager, c’est faire une promesse, contracter une obligation, se lier par une convention, … avec comme objectif de faire une action, de soutenir une cause en se mobilisant pour celle-ci, … • Les philosophies morales du devoir (déontologiques) attachent une importance capitale à l’engagement et au respect de la parole donnée ! La personne humaine Origine du terme • Personne vient de persona, qui désignait initialement (dans le théâtre romain) le masque

absolument singulier et absolument universel II] Etre une personne. Les trois dimensions du Je. -Dimension psychologique, c'est l'unité de la conscience à travers toutes les transformations qui peuvent lui advenir. C'est la dignité -Dimension morale, contrairement aux animaux et aux choses. C'est la conscience. -Dimension psychique par le fait de penser je. C'est la pensée Moi et les autres. L'autre est différent de moi en tout (il est autonome, résistant) mais il est aussi identique

1986. ULYSSE GRAMOPHONE. Deux mots pour Joyce, 1987. DE L'ESPRIT. Heidegger et la question, 1987. PSYCHÉ. Inventions de l'autre, 1987. MÉMOIRES. Pour Paul de Man, 1988. LIMITED INC., 1990. L'ARCHÉOLOGIE DU FRIVOLE, nouvelle édition, 1990. DU DROIT À LA PHILOSOPHIE, 1990. D O N N E R LE TEMPS. 1. La fausse monnaie, 1991. P O I N T S DE SUSPENSION. Entretiens, 1992. PASSIONS, 1993. SAUF LE N O M , 1993. K H Ô R A , 1993. SPECTRES DE MARX, 1993. POLITIQUES DE L'AMITIÉ, 1994. F O R C E DE LOI,

philosophie des Lumières Révolution dans les sciences et programme de la philosophie des Lumières Évolution de la réflexion scientifique Fragment du frontispice de l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert : on y voit la Vérité rayonnante de lumière ; à droite, la Raison et la Philosophie lui arrachent son voile (peint par Charles Nicolas Cochin et gravé par Benoît-Louis Prévost en 1772. Le mouvement des Lumières a été, en grande partie, un prolongement des découvertes de Copernic au XVIe siècle, peu diffusées

sentiments et des émotions, par exemple, la crainte et la vénération envers l’absolument Autre, qu'il éprouve sa misère et sa faiblesse. • Enfin, les religions, quelles qu’elles soient, comprennent des règles de vie. Elles possèdent des codes de morale, définissant des valeurs ( le bien / le mal ) et posant des interdits. Ces règles ont, d’ailleurs, une valeur absolue et imposent des pratiques cultuelles (cérémonies, prières, sacrifices, rites de passage…) régissant les mœurs ou relations des hommes

L'art cherchera donc à s'élever : d'abord, la beauté réside dans la forme de l'œuvre, non dans sa matière. Mais en plus, les données du monde sensible sont délaissées pour se rapprocher des réalités supérieures. Tout est perturbé : mouvements et séparation des corps, chronologies, proportions, etc. Plotin fonde ainsi l'esthétique d'œuvres dépouillées et peu réalistes, qu'on pourrait qualifier de "symbolistes". Voir les 2 œuvres : l'« Ève d'Autun » et « Le vieux Lamech tue Caïn à la chasse ». 14/