Karl Marx Et David Ricardo

pensées classiques . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.2 L’école classique anglaise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.3 L’école classique française . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 La pensée de Marx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 La position de Marx face aux classiques . . . . . . . . . . . . 2.2.2 La théorie de la valeur-travail et la notion d’exploitation . . . 2.2.3 L’inéluctabilité de la crise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Les néoclassiques

capitaux au sein d’une même zone géographique grâce à une suppression progressive des barrières douanières (droits et taxes) et plus généralement de tout ce qui peut nuire au commerce. Le système repose sur la théorie des avantages comparatifs de David Ricardo, selon cette théorie, elle garantit l’allocation optimale des ressources ainsi si tout le monde se spécialise dans la production du bien où il est le plus productif, nous saurons utilisés de manière la plus optimale possible les différentes ressources

marquées par le grand retour des thèses libérales, ce succès a été renforcé voir même généré par l’effondrement des blocs communistes et la chute du mur de Berlin. KARL MARX (1818-1883) : ses idées sont nées dans une époque de révolution industrielle. A l’ère de la révolution industrielle, la production a augmenté ainsi que la misère. Marx considère alors le capitalisme comme un système fondé sur l’exploitation du travail des uns (prolétaires) au profit de ceux qui possèdent les moyens de productions

marchés (producteurs, consommateurs, investisseurs, employeurs…) Individualisme méthodologique Analyse les processus de choix et décisions de l’individu. ← l’économie comme physique sociale Ecole classique anglaise ; Adam Smith, David Ricardo (père de l’économie politique), T. Robert Malthus Il existe un ordre relativement naturel dont les lois conduisent à une relative harmonie des intérêts particuliers. Ecole neo-classique – Léon Walras : approche plus vaste, plus générale de

doctrine suivis mais des notions vont perdurer : classe, etc. on va quitter la physiocratie pour étudier l’école physique anglaise. L’école classique anglaise : Nom donné par KARL MARX. Adam Smith (1723-1790) « la richesse des nations » / fait la théorie de « la main invisible » Robert MALTHUS (1766-1834) David RICARDO (1772-1823)  John STUART MILL (1806-1873) : réalise la synthèse de la pensé classique anglaise. « principe d’économie politique » Les classiques vont influencer la pensée économique

économiques ayant précédé la Révolution industrielle. • Un chapitre consacré à la Révolution industrielle, en prélude à l’étude de l’économie politique classique à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. • La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. • Puis la crise de 1929 est étudiée en prélude à l’analyse keynésienne et plus généralement la pensée économique dans

des pays de la deuxième vague. Les transformations économiques, politiques et sociales furent telles que certains, comme Max Pietsch[2] et David Landes[3], caractérisent la révolution industrielle plutôt comme une rupture d'avec le passé. D'autres y voient plutôt la convergence d'éléments que le contexte historique a favorisés et généralisés au XIXe siècle. Karl Polanyi[4] expose notamment l'idée d'un siècle marqué par : * un équilibre politique international : absence de grandes guerres entre

La « main invisible » serait une métaphore par laquelle Smith signifierait que les marchés sont autorégulateurs et conduiraient à l'harmonie sociale. ⁃ David Ricardo (1772-1823) : Economiste Anglais. Il est considéré comme l'un des économistes les plus influents de l'école classique. Ricardo est un autodidacte de la pensée économique. Ricardo avance aussi la théorie de « l'avantage comparatif » à savoir que chaque nation a intérêt à se spécialiser dans la production où elle possède l'avantage le

réglementation. Or le point communs à tous les économistes du 19ème siècle, c’est qu’ils ont tous pensé que la rareté allait disparaitre parce qu’ils avaient tous une idée limitée des besoins humains. Chez les classiques, cela s’appelle l’âge d’or. Chez Marx c’est la phase ultime du communiste : à chacun selon ces besoins. Dans les deux cas c’est une illusion car la rareté n’a pas disparu. Il existe encore des besoins non satisfaits. Mais l’erreur est d’avoir cru que la liste des besoins humains est limitée

responsable de ses actes qui décident de ses actions. La liberté de décision, c’est ce qui tient debout le système capitaliste. On n’est pas inséré dans un déterminisme social. Cette idée de liberté a été critiquée de 3 manières, et notamment par Carl Marx, en disant qu’il faut distinguer entre la liberté réelle et la liberté formelle. Ce que donne le capitalisme, c’est la liberté formelle. Sigmund Freud va dire que comme il y a l’inconscient lorsqu’on fait quelque chose, on n’a jamais vraiment une liberté