Karl Marx Et David Ricardo

Economie des inégalités et de l’insertion socialeLes mesures des inégalités économiques L1 Droit 23-24Données empiriques Les inégalités étaient un sujet d’étude important chez les Classiques  Thomas Malthus, David Ricardo et Karl Marx  Données lacunaires et spéculations ++ 2 « Notre grand agronome est fort insatisfait des auberges qu’il traverse et de la tenue des servantes qui lui apportent à manger » Arthur Young, 1787-1788Le XXème Révolution empirique au XXème siècle (Simon Kuznets)  Première

→ Un sens en économie politique, le mot marché désigne l’importance des débouchés ouverts aux produits. II. LE MARCHE, UN CONCEPT MULTIFORME A. Le marché, un lieu d’échanges : Le marché est l’endroit où ont lieu les échanges, Hume, Smith, Ricardo et plus généralement l’Ecole Classique ont longtemps insisté sur la dimension spatiale du marché. Smith identifie la notion de marché à la faculté d’échanger. L’importance prise par la division du travail s’expliquerait par l’étendue du marché Hume

suite de Smith, les économistes de l'École classique développent ses idées et renforcent la présomption que le libre-échange permet à un pays d'obtenir une quantité de biens supérieure à ce qu'il pourrait produire par lui-même8. Robert Torrens et David Ricardo poursuivent le développement de cette théorie en introduisant la notion d'avantage comparatif entre 1815 et 1817, qui permet de démontrer9qu'aucun pays n'a besoin d'être « le meilleur » pour pouvoir obtenir des gains à l'échange. En effet, dans

contrats à terme MONEP (1987) -8- FAC/ cycle des clés pour comprendre la mondialisation II - Mondialisation libre-échange et logiques productives “ La tendance à créer un marché mondial est incluse dans le concept même de capital ”3, écrivait Marx en 1860. Si la mondialisation est inhérente au capitalisme elle a pris successivement des formes différentes précise Charles-Albert Michalet. D’abord celle de la spécialisation, ensuite celle de la multinationalisation, enfin celle de l’intégration

développement du libéralisme économique. Cette école physiocratique annonce l’école classique anglaise. II) Le courant fondateur : L’économie classique Les auteurs les plus connus : A. Smith (1723-1790), J. B. Say (1767-1832), R. Malthus (1766-1834), D. Ricardo 51772-1823). L’école classique anglaise débute avec les travaux d’A. Smith. Cette école est considérée comme fondatrice de la science économique. Elle rassemble les auteurs contemporains de la 1ère Révolution industrielle (1750-1850). Les trois

Maynard Keynes avaient été proposés aux candidats. Alexis de Tocqueville a fait l’objet de plusieurs sujets : en 2007 et en 2006. Il reste donc David Ricardo, qui n'a pas été proposé depuis 2003 alors que les échanges internationaux sont une thématique incontournable dans les programmes et l'actualité... On pourrait imaginer, pour l’ «accompagner », Karl Marx, qui n’a pas été proposé depuis 2005, alors que les conflits sociaux se sont accentués depuis cette date... Leur retour dans les sujets de cette

institutionnel, non plus au rapport entre l’Etat et le type de société. Il envisage l’Etat ……. Au sein de la sociologie et surtout de la SP, la question de la contrainte et de la domination devient une question centrale : deux voix particulières : Karl Marx pense que les outils de domination et de contrainte ne sont en réalité que le reflet d’un rapport particulier à l’économie et, à la distribution de l’économie dans une société donnée. Max Weber pense que le rapport à l’Etat est ambivalent. Il y a

pensées classiques . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2 L’école classique anglaise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 L’école classique française . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 La pensée de Marx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.1 La position de Marx face aux classiques . . . . . . . . . . . . 1.2.2 La théorie de la valeur-travail et la notion d’exploitation . . . 1.2.3 L’inéluctabilité de la crise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Les néoclassiques

(donner un profit) ;  La classe des travailleurs qui fournissent le facteur « travail », perçoit un salaire en contrepartie du facteur de production. 1.2- Les lois économiques : a) b) c) d)  - La loi des avantages comparatifs de David Ricardo (1772-1823) ; La loi des débauchés de Jean Baptiste (1767-1842) ; La loi naturelle de l’évolution de la population de Thomas Robert Malthus (1766-1834) La loi des rendements décroissants. Avoir une division du travail fondée sur l’avantage

nombre des hommes (pour Thomas Malthus), la répartition des revenus (pour David Ricardo) ou l'épuisement du changement technique (pour John Stuart Mill) l'empêcheraient de se poursuivre ; l'état stationnaire était donc inéluctable. Même Alfred Marshall, qui avait pourtant mis le doigt sur l'existence des rendements croissants pour certaines entreprises, n'imaginait pas une société en croissance continue. Finalement, seul Karl Marx, qui faisait de l'accumulation continue "la loi et les prophètes" du capitalisme