Karl von Frisch

Collège SISMONDI Groupe d’allemand Genève — août 2013 Feuilleté de Grammaire allemande Avant-propos L’inoxydable « Feuilleté de grammaire allemande » a fait peau neuve. Conçu dans les années quatre-vingts par un groupe d’enseignants d’allemand du Collège Sismondi, ce résumé grammatical est né d’une insatisfaction : aucune grammaire disponible sur le marché n’avait trouvé grâce aux yeux de nos collègues de l’époque, car aucune ne correspondait au découpage des programmes, ni à l’approche

associées[modifier] En sémiotique on étudie le langage par le signe, verbal ou non, humain ou non. On le retrouve avec Charles Sanders Peirce et la théorie générale des signes, annonciatrice d'un langage dans la communication animale, de l’abeille (de Karl von Frisch) au zèbre. En linguistique, on étudie les mots parlés et écrits de la langue dans la communication humaine. Il n'y a pas, à l'origine, d'ouverture au langage non verbal. En sociologie, et plus particulièrement dans l'interactionnisme symbolique

communications des signes composés, mais des signaux indécomposables. Alors que le langage humain est un langage de signes, la communication animale est un code de signaux, dont chaque signal renvoie à une seule signification possible. Selon KARL VON FRISCH dans VIE ET MŒURS DES ABEILLES souligne que le langage des animaux est rigide, il est toujours le même de génération en génération «  l’abeille doit donner le message elle ne le choisit pas, cela fait partie de son inné de sa programmation

dans leur communication des signes composés, mais des signaux indécomposables. Alors que le langage humain est un langage de signes, la communication animale est un code de signaux, dont chaque signal renvoie à une seule signification possible. Karl Von Frisch « la danse des abeilles ». Pour communiquer entre elles, les abeilles dansent. La variété des mouvements constitue des signes adressés aux autres abeilles qui apporte certaines informations (ex : trouver le butin). On doit distinguer communication

Oskar Pfungst (1874-1932). Au début du XXème siècle, un ancien prof de math Von Osten affirme avoir découvert un cheval appelé Hans qui quand il est sur scène répond à des questions faisant appel à des mathématiques. Notamment des problèmes d’addition, de soustraction, ainsi que les fractions. Il communique en frappant le sabot jusqu’au bon nombre. Le cheval est capable de donner la solution aussi bien en présence de Von Osten qu’en son absence. Ce cheval est tellement intriguant que la commission

fleur et la machine sont des réalités à travers lesquelles l’homme s’exprime ou transpose une partie de sa pensée ; le soi-disant langage animal est inné, figé, purement instinctif donc soustrait de la variation et de l’évolution. Le zoologiste Karl Von Frisch laisse voir que la danse des abeilles est certes un moyen de communication mais elle est incapable de s’adapter à des situations nouvelles ; elle se réduit en une gestuelle simple, univoque et non dialogique. La ronde exprime une distance inférieure

derrière elle, lui faisant comme une traîne obéissant sans cesse à ses mouvements frénétiques.Question : Quelles sont les significations profondes de cette danse pour les ouvrières ? Moi, j’ai la réponse ! Après Aristote, Unhoch, Maeterlinck et Karl Von Frisch, tous ayant contribué à la découverte du langage dansé des abeilles, il est aujourd’hui acquis qu’il existe deux types de danses. La première, appelée danse en rond, s’effectue lorsqu’une abeille trouve un butin dont la distance par rapport à

fleur et la machine sont des réalités à travers lesquelles l’homme s’exprime ou transpose une partie de sa pensée ; le soi-disant langage animal est inné, figé, purement instinctif donc soustrait de la variation et de l’évolution. Le zoologiste Karl Von Frisch laisse voir que la danse des abeilles est certes un moyen de communication mais elle est incapable de s’adapter à des situations nouvelles ; elle se réduit en une gestuelle simple, univoque et non dialogique. La ronde exprime une distance inférieure

lui « la volonté parle encore, quand la nature se tait ». Le constat que fait ici Rousseau n'a d'ailleurs pas été démenti par les observations ultérieures de la science. Dans son ouvrage célèbre sur les abeilles, le prix Nobel de Médecine 1973 Karl von Frisch apporte la confirmation suivante : 3 Elisabeth de Fontenay, « L’exproprié : comment l’homme s’est exclu de la nature », in Aux origines de l’humanité, Tome 2 : Le propre de l’homme, Fayard, 2001, p. 484. Dans ce passage, E. de Fontenay énumère

le langage en terme de comportement naturel, celui-ci étant la réaction d’un être vivant et d’une stimulation extérieure. Le signal est caractérisé par une adhérence entre le signifiant et le signifié. Le signifié dépend du signifiant Ex : Karl Von Frisch a travaillé sur les abeilles qui possèdent pour communiquer entre elles des figures de danse : Sous la forme de cercle si le pollen est proche (environ 120m) soit en forme de 8 avec l’axe du soleil pour dire que le pollen est au delà. à Langage