Kelley Psychologie

Le Dernier Jour d’un condamné Victor Hugo I. Une écriture nouvelle 1°) Les choix de l’auteur - écriture a qq chose qui est ressenti comme neuf et qui inspirera l’écrivain russe Dostoïevski. - recours à la 1° pers. seul roman de Hugo écrit à la 1° pers. L’écrivain affirme d’ailleurs que l’oeuvre est «sans modèle». - le roman donne l’illusion de laisser raconter par le pers. l’attente de son exécution. - >V.H. nous propose un journal intime fictif, genre nouveau en 1828, en tout cas dans cette

narrateur. 2/ La mort de Manon, une nouvelle intervention. Y L'enterrement de Manon. Le récit arbore une remarquable MODÉRATION (3 phrases exclamatives seulement) en contraste avec le reste du roman (peinture d'excès et de dérèglements, psychologie). Par ailleurs, 2 interventions rapprochées > marquent -/' intensité de la douleur. A plusieurs reprises, des Grieux, en racontant son récit, prévient le marquis de Renoncourt par des formules telles que: X "Ceci n'a pas

Un exemple d'intervention sociale d’aide à la personne (ISAP) 1° Le cadre institutionnel La situation de l’adolescente que je vais vous présenter est une Intervention Sociale d’Aide à la Personne (ISAP) que j’ai réalisée lors de mon stage de 2e année, d’une durée de six mois, au sein d’un lycée d’enseignement général. Cet établissement scolaire de l’éducation nationale est rattaché à l’inspection académique d’une région du sud-ouest de la France. Il comporte 1200 élèves âgés de quinze à vingt-trois

CPE2 parcours pilotage OPTION 3 Education Comparée et Interculturalité PROJET CHANTIER BURKINA-FASO [pic] [pic] [pic] Intitulé de l'action : Mise en œuvre d’un chantier à Saponé au Burkina Faso Territoire : Saponé au Burkina Faso Porteur du projet : Habitat jeunes des Hauts de Garonne Genèse et contexte de l'opération : Ma position : Je suis coordinatrice de projet dans un foyer jeunes travailleurs dans la banlieue Bordelaise, nous décidons avec 6 jeunes

pense à Antony. Au voleur dans sa prison. Il regarde la télévision, le programme est sur toutes les chaînes. » ----------------------- [1] Pépin Louise, L’enfant dans le monde actuel : sa psychologie, sa vie, ses problèmes, Bordas Pédagogie, 1977 [2] Pépin Louise, L’enfant dans le monde actuel : sa psychologie, sa vie, ses problèmes, Bordas Pédagogie, 1977, p.146. [3] Samson Barbara, Ibid, p.39, 40. [4] Samson Barbara, On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans, Paris, Livre de Poche, novembre

Apport théorique sur la communication Communication c'est quoi? -C'est l'échange d'informations -C'est un transfert de données -C'est l'expression d'un sentiment, d'une idée -C'est un partage de connaissance Les éléments de communication: Le destinateur/l'émetteur : C'est celui qui est la source du message Le destinataire/le récepteur : c'est celui qui reçoit le message Le contexte : c'est la détermination du lieu, du temps et du comment. Le contexte renvoie à toutes les conditions

6. Les stratégies de résolution, d’arbitrage, de négociation, et de médiation dans les situations conflictuelles 1. Définitions, introduction Définitions • Psychosociologie: étude psychologique des comportements sociaux (phénomènes de groupe) • Psychologie: étude des caractères et des comportements, selon le cas, tester, analyser des situations, repérer des problèmes ou aider à franchir des caps éprouvants. Caractères & comportements  Manifestations visibles dans les comportements  Mentalité, mode

Le fait de passer beaucoup de temps sur l’ordinateur, à construire des relations virtuelles, créé en réalité un véritable état d’isolation sociale dans la vie réelle. En effet, les adolescents étant des personnes fragiles, beaucoup d’entre eux ne supportent pas l’idée d’être évalué de façon permanente, ni la pression du monde extérieur. Un important mal-être social ou encore la pression dû à l’éducation avec les examens, poussent alors les plus délicats à s’isoler. Internet devient alors pour

travailler à résoudre et à harmoniser. De la même façon, la méthode apophatique qui consiste à approcher Dieu par ce qu’Il n’est pas plutôt que par ce qu’Il serait, concourt à ouvrir prodigieusement les horizons de la conscience. Elle induit une psychologie humaine dynamique, fluide, qui amène à adorer Dieu mais à ne pas l’idolâtrer et, par voie de conséquence, à ne pas idolâtrer sa religion, sa culture ou son pays… Cette démarche de [déconditionnement] dégage une grande liberté intérieure. Un autre

doivent se dire « j’ai condamné cet homme à mort, je suis responsable de son trépas, sans moi, il aurait pu continuer à vivre ». Ajoutons également que la peine de mort, c’est favoriser les envies de vengeance au détriment de la raison. Du côté de la psychologie, ça ne va pas fort non plus. Déjà du côté des criminels : l’attente dans les couloirs de la mort, ces prisons pour condamnés à mort sont de la torture pure et simple ! Les prisonniers n’ont rien à faire d’autre que se torturer l’esprit, et compter