Keynes Contre Monétariste

neutralité de la monnaie affirmée Introduction Le retour de l’inflation au début des années 1970 a exhumé une théorie que Keynes avait contribué à discréditer suite à la crise des années 1930 : la théorie quantitative. Avec une inflation à deux chiffres, la monnaie était de nouveau regardée sous l’angle de la quantité. Il reviendra à Milton Friedman et au courant monétariste de réhabiliter cette théorie vieille de plus de deux siècles, une théorie qui met la monnaie en quarantaine de l’économie.

CROISSANCE CHAPITRE 12 LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE L’ETAT MOTS CLES - Déficit budgétaire - Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F. - Laffer A. - Marchés contestables - Nordhaus R. - Politique budgétaire - Politique fiscale - Politique industrielle - Politique monétaire - Principe d’équivalence (Ricardo-Barro) 380 PLAN I. LES POLITIQUES CONJONCTURELLES

DE LA CROISSANCE CHAPITRE 12 LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE L’ETAT MOTS CLES - Déficit budgétaire - Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F. - Laffer A. - Marchés contestables - Nordhaus R. - Politique budgétaire - Politique fiscale - Politique industrielle - Politique monétaire - Principe d’équivalence (Ricardo-Barro) 380 PLAN I. LES POLITIQUES CONJONCTURELLES A. La

Friedman http://fr.wikipedia.org/wiki/Milton_Friedman La théorie quantitative de la monnaie Friedman est le père du courant « monétariste » et a notamment réactivé la théorie quantitative de la monnaie. Selon celle ci, c’est l’augmentation de la masse monétaire qui est la cause unique de la hausse des prix : « L’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire en ce sens qu’elle est et qu’elle ne peut être générée que par une augmentation de la quantité de monnaie plus rapide que celle

mobilité des facteurs de production + transparence). Lorsque tous les marchés sont en équilibre, le plein emploi de tous les facteurs de production est assuré. Donc aussi le plein emploi de la main d'oeuvre...Ce qui a été vivement critiqué par Keynes!  il crée le concept d' »utilité marginale » et inaugure donc le paradigme du « marginalisme ».   Vilfrido PARETO (1848-1923): « cours d'économie politique »    Connu pour le concept « d'optimum de Pareto »qui correspond en économie

-John Stuart Mill (1806-1873) .Théorie .Accepte une certaine intervention de l’Etat lorsqu’elle permet le progrès social. -Jean Baptiste Say (1767-1832) (Auteur classique français) .Loi des débouchés : selon laquelle les produits s’échangent contre les produits et donc l’offre crée sa propre demande. 1 Les néoclassiques Les néoclassiques sont des économistes libéraux de la seconde moitié du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle. Ils considèrent que si les conditions de la concurrence

manifeste. De la conception étroite des classiques limités aux richesses matériels la sphère de l’économie s’étend progressivement à tout ce qui satisfait un besoin. L’utilité se reconnait au fait que les biens rares sont tous ceux qui s’échange contre de la monnaie ou tout bien de même nature. Cette définition inclus les services et tout ce qui permet d’acquérir des utilités (la monnaie, les titres financiers, les créances, les droits,…) ; le terme économie recouvre deux sens proches : D’après

du capitalisme. Et c’est là où réside l’aspect réactionnaire de sa critique des finances publiques libérales. En effet, dans son esprit, il soutient d’abord que la grande partie des frais de l’établissement social est destinée à défendre le riche contre le pauvre ; il revendique ainsi pour que le riche contribue non seulement en proportion de sa fortune, même au \ delà. Ensuite, il considère l’exonération du minimum vital comme un principe essentiel. Enfin, il critique sévèrement les impôts de

Physiocrates : « laissez faire laissez passer », commerce libre, terre source de richesse, trois classes (Classe productive, classe stérile, et proprio) Classique : valeur travail, qui donne le coût du bien, la monnaie n’est qu’un intermédiaire Keynes : Base sur le plein-emploi des classique => or il n’est pas réalisé donc l’Etat doit intevenir, Etat providence Conception moderne : Science économique (Comportements humains face à la rareté => R. Barre : Besoin illimités/ressources limités), éco

productive, et suit donc l’évolution de l’activité → approches post-keynésienne et institutionnaliste * Exogène : la création monétaire résulte d’une politique extérieure au fonctionnement de l’économie → approche keynésienne et monétariste. | Approche monétariste | Approche post-keynésienne | Lien mathématique | Multiplicateur de crédit | Diviseur de crédit | Raisonnement | La BCE décide de façon exogène, la masse monétaire via le multiplicateur m. | La BCE ne fait que suivre les besoins