Keynes Contre Monétariste

générale : « Carré magique » de Kaldor (faible taux de chômage, croissance soutenue, stabilité des prix, équilibre extérieur). La BC doit privilégier un de ces quatre objectifs. Les débats théoriques sont entre keynésiens et monétaristes. Dans l'UE, on adopte plutôt l'approche monétariste, de ce fait, la communauté se donne pour objectif d'obtenir un niveau d'emploi élevé et une croissance durable et non inflationniste (article 2 du traité sur l'UE). En sachant que l'objectif principal du SEBC est de maintenir

NAIRU = Non Accelerating Inflation Rate of Unemployment. En français, «taux de chômage non accélérateur d'inflation». Un taux qui repose sur deux piliers fondamentaux : la pression sur le marché du travail par le chômage, et la soi-disant lutte contre l'inflation. Son principe actif en est LA PEUR et le chômage n'en est qu'un moyen 4-Le FMI : Est une institution internationale regroupant 185 pays, dont le rôle est de « promouvoir la coopération monétaire internationale, de garantir la stabilité

entre une sphère réelle et sphère monétaire. Dans la sphère monétaire la quantité de monnaie est décidée par la banque centrale et n’influence pas la sphère réelle càd l’activité éco, la p° = thèse de Jean Batiste Say pr qui les produits s’échangent contre des produits, la monnaie joue donc aucun rôle. On retrouve chez Walras (néoclassique) la même idée «  la monnaie est le seul bien où le prix ne reflète pas des fonctions d’utilités car elle ne satisfait aucun besoin par elle-même », la monnaie n’est

emprunts et il constitue son patrimoine en prévision de sa vieillesse. Enfin, au cours de sa vieillesse, le ménage consomme ce qu’il a amassé précédemment. Dans le cas d’un système de retraite par capitalisation les pensions perçues ne sont que la contre partie des cotisations versées durant l’activité. Autrement dit, il s’agit d’une épargne forcée pour nos vieux jours. Dans ces conditions si l’on exclu les héritages l’épargne réalisé à l’âge mure doit exactement composer la désépargne de la jeunesse

égale à celle contre laquelle on a pu se prémunir. Il faut noter que les entreprises sont des débiteurs nets (sauf exception et hors le cas d'entreprises financières), de même les autorités publiques en général, et que les ménages dans leur ensemble sont des prêteurs nets mais avec une proportion qui est débitrice (ex : les acheteurs de logement à crédit pour un montant plus élevé que leur patrimoine initial) 1. elle pénalise o les créditeurs qui n'ont pas réussi à se prémunir contre l'inflation

vivre dans une société infl ationniste ; le Brésil, par exemple, a vécu longtemps avec une hausse moyenne des prix de plus de 35 %. Mais les coûts engendrés par l'inflation n'excèdent-ils pas les coûts qu'engendreraient une politique de lutte efficace contre l'inflation ? 1. Un coût de croissance L'un des arguments principaux, pour les monétar istes en faveur de la stabilité des prix, concerne le (1), coût de croissance qui naît de l'inflation. Plus précisément, les politiques monétaires conjoncturelles

frictionnel c. Le chômage technologique d. Le chômage de segmentation e. Le chômage structurel et la déréglementation du marché du travail Chapitre 02 : L’INFLATION A. Les origines de l’inflation 1. Le rôle de la monnaie et l’explication monétariste 2. L’inflation par la demande ou la théorie keynésienne de l’inflation 3. L’inflation par les coûts 4. L’inflation : phénomène structurel B. Les conséquences de l’inflation 1. Les effets bénéfiques de l’inflation 2. Les effets néfastes de

pays (Louis XIV « l’état c’est moi »  personnalisation du pouvoir). Il n’y a pas de liberté de pensée : la censure, pas de tolérance religieuse,… J. Milton (1608-1674) est connu pour défendre la liberté d’expression, liberté de penser, il s’élève contre la censure. Selon lui, la liberté favorise la stabilité sociale grâce à un mécanisme des compensations humaines. J. Locke (1632- 1704) la pensée libéralise nait en réaction aux gouvernements despotiques et à l’absolutisme (justice arbitraire, esclavage

évolué au cours du temps. Le fondement reste constant tandis que les démonstrations ont évolué. Progressivement, le quantitativisme qui étudiait la relation entre les prix et la production (D. Ricardo, I. Fisher), laisse la place à la formulation monétariste de la demande de monnaie (M. Friedman). L’offre de monnaie est représentée par la quantité de monnaie émise par les agents bancaires (centraux et commerciaux); elle est généralement considérée comme exogène. La demande de monnaie s'appuie sur les

l’ensemble une meilleure situation, également les pays scandinaves ; La Russie a connu une grave récession en 2009 de 5%, mais une reprise est prévue pour 2010 malgré les difficultés internes. L’Asie : La Chine a retrouvé une croissance à plus de 10% contre 6% en 2009. L’éco chinoise est devenue la 2eme éco mondiale devant le Japon depuis le 2ème trimestre 2010. C’est aussi la 1ère exportatrice mondiale devant l’Allemagne. La croissance chinoise est toujours fondée sur l’exportation mais elle se déploie