Keynes Main Invisible

richesse. - le libéralisme économique est l’état idéal et naturellement favorable à l’augmentation de la richesse produite. L’état doit intervenir aussi peu que possible et faire aucun obstacle à la circulation des marchandises. Parabole de la « main invisible » apologie du marché et du laisser-faire. - Say avec sa « Loi des débouchés », les produits s’échangent contre des produits, « l’offre crée sa propre demande », la monnaie ne peut être thésaurisée pour elle-même. - K. Marx : met en avance

libre, celui si fonctionnera d'une manière optimale car la monnaie n'a aucune rôle à jouer dedans si ce n'est celui de facilité les échanges (théorie de la main invisible de smith) SOURCES Livre : Macroéconomie par Marc Montoussé Cours de Mr Diemer de l'IUFM Auvergne Livre : Histoire de la pensée économique des mercantilistes à Keynes Livre : recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations par Adam Smith

l’Etat ne doit pas influer dans l’économie car le marché s’autorégule (« Théorie de la main invisible » A. Smith). Il n’y a pas de crise de surproduction puisque l’offre créer sa propre demande, toute crise serait donc temporaire et résorbée par la régulation du marché. Ceci fonctionne bien durant les 30 glorieuses, mais la crise de 1929 vient remettre en cause la non intervention de l’Etat dans l’économie. Keynes va ainsi renverser le schéma classique en mettant en avant la notion de demande effective

économique va apparaître comme la solution à la problématique rencontrée dans “La théorie des sentiments moraux”. La recherche par chacun de son intérêt personnel (égoïste) dans un système de libre concurrence va conduire à l’intérêt commun. La main invisible ne permet pas de fixer un prix offre/demande d’équilibre comme l’interprète l’économie contemporaine ; chez Smith, elle renvoi à la répartition des fruits de la croissance. À la fin du 19e siècle, Smith pose la question suivante : comment

en 1874 Puis PARETO 1900 ARROW et DEBREU 1959 (transcription sous forme mathématique) Leur problématique : Comment les décisions de millions d’individus poursuivant chacun leur intérêt propre n’engendre pas du désordre ? (Comment fonctionne la main invisible de SMITH ? :-) Le marché est le lieu ou se résous ce problème. Vont se rencontrer sur ce marché des agents rationnels. L’interaction de l’O et de la D permettent de déterminer les prix et quantité d’équilibre. La quantité demandée de chaque bien

Pour Smith l’ordre naturel en économie est une force qui organise les rapports entre les gens. On peut utiliser la métaphore du boucher: ”ce qui pousse mon boucher à me vendre de la viande c’est par ce qu’il y trouve son interêt” => Il y a une main invisible qui fait marcher l’économie. Le rôle de l’état est de veiller à ce que tout le monde y trouve son interêt dans l’échange (économique) Smith a pri le côté optimiste du libéralisme, l’état doit organiser un minimum et ne doit jamais prendre

un objet social et aussi un objet scientifique. Elle va être étudiée par les théoriciens, les chercheurs. LES PIONNIERS DES THEORIES DES ORGANISATIONS Adam Smith, économiste, « la main invisible » : le marché se régule tout seul (autorégulation), l’Etat ne s’en mêle pas trop. * Interventionnisme, Keynes. * Taylor n’a pas inventé la division des taches. Adam Smith et Karl Marx l’avaient déjà observée. Ni le travail à la chaine qui a été expérimenté dans une usine Ford en 1913. Taylor

classiques sur le rôle de l’état • Courant libéral : Adam Smith « Le laisser faire, le laisser passer », La main invisible de Smith L’état n’intervient que pour financer les fonctions régaliennes Intervention de l’état dans les domaines ou les solutions sont inappropriées Pour un état gendarme -> Le marché s’autorégule donc économie de marché • Courant interventionniste : J.M Keynes L’état doit réguler l’économie, le marché. Car l’économie ne peut fonctionner sans. Pour un état providence

Walras. Cette loi constitue l’une des composantes principales de chacune de ces approches, connue sous le nom de théorie de l’offre. Cette thèse est décriée par Marx et Keynes, et vaut d’ailleurs à Say le qualificatif d’économiste « vulgaire ». En effet, cette théorie de l’offre s’oppose en tous points à celle de la demande prônée par Keynes. De plus, la propriété privée ainsi que l’intervention limitée de l’Etat apparaissent, pour les deux mouvements, comme des conditions nécessaires au bon fonctionnement

marché : il ne doit y avoir aucune entrave tarifaire (protectionnisme), administrative (numerus clausus), technique à l’entrée d’un offreur ou d’un demandeur supplémentaire. la libre circulation des facteurs de production (le capital et le travail) : la main-d’œuvre et les capitaux se dirigent spontanément vers les marchés où la demande est supérieure à l’offre ; il n’y a pas de délai ni de coût dans leur reconversion. Ces deux dernières hypothèses permettent une convergence sur le long terme des taux