Keynes Quesnay Marx

l’anticiper. Après cette crise, émergence dans les années 30 de la théorie keynésienne (John Maynard Keynes) et mise en place de ses applications dans cette économie. On voit donc une profonde évolution entre 1615 et 1950 des théories économiques, compréhensible entre autres, par le changement des économies elles-mêmes. 1.Mercantilistes 2.Physiocrates / Classiques (équilibre = stagnation) 2b.Karl Marx (équilibre = fin du capitalisme) 3.Néoclassiques (équilibre = meilleure situation pour tous) 4.Keynésiens

principale, la Richesse des nations, est un des textes fondateurs du libéralisme économique. Professeur de philosophie morale à l’université de Glasgow, il consacre dix années de sa vie à ce texte qui inspire les grands économistes suivants, ceux que Karl Marx appellera les « classiques » et qui poseront les grands principes du libéralisme économique. La plupart des économistes considèrent Smith comme « le père de l’économie politique » ; pourtant certains, comme l’Autrichien Joseph Schumpeter, l’ont

sont autant d'approches doctrinales que les économistes contemporains ont tendance à oublier. Vouloir s'affranchir de toute idéologie aujourd'hui est non sens pour Valier : l'auteur, sans le citer, fait sienne la critique de l'idéologie développée par Marx pour qui l'idéologie se présente comme une vision du monde, c'est-à-dire une construction intellectuelle qui explique et justifie un ordre social existant, voile au devant de la réalité destiné à cacher la poursuite d'intérêts matériels égoïstes en

mais des productions agricoles. Comment naissent et circulent la monnaie ? Il y a d'abord la classe productive qui sont les paysans et qui produise la richesse. Ceux ci vont rémunéré la classe de propriétaires fonciers ( noblesse et clergé). Puis Quesnay rajoute la classe stérile ( artisans et commerçants) qui ne crée pas de richesses mais transforme une richesse préalablement produite. L'économie est un ensemble d'échanges entres différentes catégories ( les acteurs économiques). La classe productive

sociale et économique. (thèse reprise par les philosophes du droit naturel). Plus tard, on dira que personne n'a jamais eu l'idée saugrenue d'inventer la monnaie. Personne ne s'est jamais assis autour d'une table pour dire : inventons la monnaie. Marx, Hayek, Keynes. La monnaie est le produit inintentionnel de ce que nous faisons. C'est dans cette perspective que Smith commence à aborder des questions morales et politiques. Si ce n'est pas la raison qui nous met sur la voie, qu'est-ce ? C'est bien là la

réglementation. Or le point communs à tous les économistes du 19ème siècle, c’est qu’ils ont tous pensé que la rareté allait disparaitre parce qu’ils avaient tous une idée limitée des besoins humains. Chez les classiques, cela s’appelle l’âge d’or. Chez Marx c’est la phase ultime du communiste : à chacun selon ces besoins. Dans les deux cas c’est une illusion car la rareté n’a pas disparu. Il existe encore des besoins non satisfaits. Mais l’erreur est d’avoir cru que la liste des besoins humains est limitée

productions agricoles. Quesnay cherche à comprendre comment naissent et circulent les revenus dans une économie. Il propose en 1758 le premier circuit économique : le tableau économique. La classe productive (les paysans) est celle qui produit les richesses. Elle rémunère la classe des propriétaires fonciers (la noblesse et le haut clergé). La classe stérile (artisans, commerçants) ne crée pas de richesses, mais transforme une richesse préalablement produite. Quesnay est donc le premier à représenter

besoins illimités On définira le besoin économique comme un manque qui peut être satisfait par l’acquisition ou la consommation de biens et de services, sachant que ces mêmes biens et services sont produits en quantités limitées. John Maynard Keynes dans Essai sur la monnaie et l’économie (1930) distingue deux catégories de besoins :  Ceux qui possèdent un caractère absolu que l’on ressent, quelle que soit la situation des autres individus. (chaque individu éprouve des besoins liés a sa survie

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 Adam Smith et la Division du Travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53 ´ Ricardo et la Croissance vers l’Etat Stationnaire . . . . . . . . . . . . . . . 55 Dynamique du Capitalisme chez Karl Marx Marginalisme et Croissance . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 ´ ´ Schumpeter et l’Evolution Economique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Conclusion . . . . . . . . . . . . . .

classique. Les physiocrates ils étaient des économistes français qui ont publié pour l'essentiel leurs œuvres en 1756 - 78 grande époque de l'encyclopédie où Diderot d'Alembert commande des articles aux intellectuels de la cour, notamment F. Quesnay dont le plus connu est le « tableau économique » en 1758. Réflexion de l'économie inspirée de sa pratique de la médecine. Il tente de donner une représentation de l'ensemble de l’économie sous forme d'un circuit avec l'idée que la circulation et