Konrad Lorenz

psychoneurologique actuelle[modifier] Cette nouvelle approche du phénomène a été introduite dès 2004 par Jacques Roques dans son premier ouvrage sur l’EMDR [2]. Il en donne deux acceptions : La première est très proche de la notion d’empreinte développée par Konrad Lorenz. Ainsi par exemple une personne peut tomber amoureuse d’un même type d’individu, même si cela lui est nuisible, parce qu'il correspond pour elle à un modèle enregistré durant l’enfance de bon mari. La deuxième est afférente à la psychotraumatologie

simplement regarder le ou les individus, - observation armée : - utilisation d’outils : vidéo… - améliore l’observation, - très courante en éthologie. L’éthologie est l’étude des comportements des animaux dans le milieu naturel. Konrad Lorenz a travaillé sur les phénomènes d’empreinte. 5. / L’expérimentation Expérimenter, c’est agir sur le réel, mesurer les conséquences provoquées. Variables indépendantes : différentes conditions dans lesquelles on va tester. On fait varier

crâne des hominidés passa de 400 à 800 cm3 environ sans pour autant entraîner de modifications de leur culturelle intellectuelle. Contrairement à ce que pensait Darwin, l'acquis est une valeur culturelle. Comme le disait l'éthologiste autrichien Konrad Lorenz : "Il y a toujours un peu d'acquis dans le plus inné des comportements"... L'acquis n'est pas seulement transmis par la biologie mais par l'éducation également. Plus sournoisement, il en découle que les facultés de conception et de transformation

les reconnaissent comme s’ils étaient leurs propres mères ». Ce phénomène, sans doute observé par bien des éleveurs, sera étudié au XXème siècle par le biologiste et grand ornithologue allemand Oskar Heinroth (1871-1945), puis par son élève Konrad Lorenz (1903-1989) – « père fondateur » de l’éthologie - qui verra là une manifestation de ce qu’il désignera sous le nom d’« empreinte sexuelle » (voir Chapitre II de ce cours). On doit un grand nombre d’observations du comportement animal réalisées

zone du doigt stimulé augmente de surface, ainsi que l’activité des neurones des zones  concernées, mettent en évidence la plasticité cérébrale.                  2­2­ La plasticité neuronale chez le jeune    A­Le phénomène d’empreinte  Vers le milieu des années 1930, l’éthologue Konrad Lorenz travaille sur les oies. Il montre que les  oisillons suivent le premier objet mobile de grande taille qu’ils voient et qu’ils entendent les deux  premiers jours après leur éclosion.   Après cette imprégnation, les oiseaux restent attachés à l’objet même à l’âge adulte

nature humaine originelle.L'atavisme.  L’atavisme désigne l’agressivité naturelle. Mais l’atavisme est-il la violence, ou autre chose, une sorte d’agressivité utile à l’espèce ? Telle est la question que se pose Konrad Lorenz dans ce texte. Texte 86. Lorenz, L’homme dans le fleuve du vivantL'AGRESSIVITÉ PROPRIÉTÉ FAVORABLE A LA CONSERVATION DE L'ESPÈCE OU PHÉNOMÈNE PATHOLOGIQUE ? Dans son ouvrage  Les Aventures de Tom Sawyer, il [Mark Twain] décrit

Chapitre 5. Ah ! Dieu que la guerre est jolie « L’homme est un loup pour l’homme » (Lucrèce). Dans ce chapitre Paccalet décrit la guerre de tous contre tous. Pour cela il fait référence à l’éthologie (science des comportements) fondée pour Konrad Lorenz et Nikolaas Tinbergen. Comme tout être vivant, l’homme obéit aux pulsions essentielles: le sexe (la reproduction), le territoire et la hiérarchie. La satisfaction de chacune de ces trois pulsions stimule en nous le circuit du plaisir et nous en

à lui et qu'il est seul à occuper. Ce souci ne semble pas être celui de l'animal qui paraît plutôt chercher à "animaliser" l'homme en l'intégrant dans sa propre hiérarchie et en lui faisant jouer le rôle d'un congénère (cf. le phénomène décrit par Lorenz sous le nom d'"imprinting"[1]). Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'animal n'est pas payé de retour: on ne le grandit que pour mieux rabaisser l'homme, et les arguments dont on se sert alors ne sont jamais que des arguments ad hominem. Moralistes

Freud, sorte de pulsion de mort, la violence humaine est naturelle et tient dans la pulsion de mort Darwin parle d’instinct de vie, de lutte pour la vie: la violence naturelle n’est-elle pas vitale? L’Agression, une histoire naturelle du mal, Konrad Lorenz (1963) qui compare l’agressivité humaine à l’agressivité animale L’être humain comble ses faiblesses naturelles dans l’invention de la technique, éprouve une répugnance à tuer de ses propres mains mais le problème persiste avec invention des

EthologieChapitre 1 : Sensorialité et Cognition (par cœur) Idées de bases : · La base de la cognition est la sensorialité. · Spécificité selon les espèces mais l’animal est un modèle pour nous dans différent domaines. · Le chien remue la queue pour s’auto apaisé, il fait redescendre une trop grande excitation. · Question des comportement conditionnés des chevaux en club· Selon l’espèce l’attachement est plus ou moins rapide. IntroductionDéfinition : L’éthologie