Kool Herc

américaine. En réalité, le problème est bien plus complexe qu’une simple imitation ou effet de mode passagers. Invité dans le « borough » du Queens (NYC), en novembre 2007, à un panel sur « Hip Hop and Globalization » avec des heads comme Chuck D, Kool Herc…, j’ai vu que certains panélistes –et ce n’était pas une remarque inédite– avaient déclaré que le hip hop était désormais plus vivant hors des Etats Unis d’Amérique (Afrique, Europe, Japon…) qu’à l’intérieur. De fait, les bboys et bgirls sénégalais

et de rendre plus positive la vie des quartiers qui était à l’époque régie par la violence et les gangs. À cette période, les Djs diffusaient surtout de la musique populaire, et n’avaient pas nécessairement de style particulier. Mais un Dj, Kool Herc, bouleversera de façon radicale la vision du Djing de l’époque, et amorcera les prémices du Turntablism. Sa technique consistait à jouer uniquement les passages les plus énergiques et les plus rythmés d’un morceau, voir d’un album tout entier

York City during the 70's, primarily among African Americans, with some Jamaican immigrant influence. The term rap is often used synonymously with hip hop. A major proponent of the technique was the "godfather" of hip hop, the Jamaican-born DJ Kool Herc. http://en.wikipedia.org/wiki/Hip_Hop_Music   ccl : African-American music is a term given to a range of music and musical genres emerging from or influenced by the culture of African Americans, who have long constituted a large ethnic minority

disques simultanément, en les mélangeant et en les modifiant. Le DJ utilise pour cela des techniques variées comme le scratch, le cutting, le baby scratch ou le crab. Certains DJs du mouvement sont désormais célèbres dans le milieu hip hop comme Kool Herc, Afrika Bambaataa, Dee Nasty (premier DJ français du mouvement hip hop dans les années 1980), et DJ Clue, qui grâce à ses mixtapes fut le premier DJ de la scène hip hop à vendre plus d'un million de disques. Le Rap : Le rap ou MCing est un chant

style de musique commence avec un homme qui vient de la Jamaïque et puis qui s’installe aux États-Unis dans un quartier défavorisé de New York qui est le Bronx. Cette homme s’appelait Clive Campbell de son vrai nom mais était connu sous le nom de Kool Herc qui est le premier « DJ » de l’histoire du hip hop mais est aussi considéré le fondateur du hip hop. Ce style de music influence surtout les deux dernières générations qui l’ont beaucoup écouté à la radio ou à la télé. Dans le style de music hip

dans  un  stade.  Il  faisait  partie  des  rares  DJ  capables  d'assurer  le  rôle  de  DJ  et  de  MC  en  même  temps  sur  scène.    Histoire du Hip-Hop   L'idée  de  «  Culture  hip‐hop  »  a  plusieurs  parrains  (Afrika  Bambaataa,  Kool  Herc,  Grand Master Flash…). Ils ont eu pour point commun d’animer les street‐parties du  Bronx au milieu des années 70 à New York. Il est certain que le terme hip‐hop est né  dans  ces  fêtes  de  quartier,  à  la  fois  des  lieux  de  brassage  musical 

rares  DJ  capables  d'assurer  le  rôle  de  DJ  et  de  MC  en  même  temps  sur  scène.    Histoire du Hip-Hop Le hip-hop, Art total et mouvement de conscience   L'idée  de  «  Culture  hip‐hop  »  a  plusieurs  parrains  (Afrika  Bambaataa,  Kool  Herc,  Grand Master Flash…). Ils ont eu pour point commun d’animer les street‐parties du  Bronx au milieu des années 70 à New York. Il est certain que le terme hip‐hop est né  dans  ces  fêtes  de  quartier,  à  la  fois  des  lieux  de  brassage  musical 

répertoire 8. 1970-80 : influence du disco 9. Fin des années 80 : apparition du hip hop, break dance
 La danse Hip hop
 I.L’émergence d’une nouvelle expression
 1.Le contexte socio-éco Les 70’s à New York avec 3 personnes (Afrika Bambaataa, Kool Herc, Grand Master Flash) à Brooklyn. Avec des sons de Jamaïque, Afrique, disco et funk. On délaisse les emplois industriels pour les délocaliser dans les quartiers du Bronx, de Brooklyn et de Harlem (quartier du Nord). Faussé entre la pop blanche

1970 un DJ d'origine jamaïquaine DJ Kool Herc, qui s'était installé dans le Bronx, invente le « cut », technique consistant à n'écouter que certains passages des disques qu'il passait avec ses platines et à « jongler » d'un disque à un autre sans interruptions. C'est de cette manière qu'il donna au DJ un rôle nouveau qu'il garde désormais : celui d'assembler en live plusieurs extraits de morceaux pour en faire un nouveau. À la fin des années 1970, le style de Herc franchit les frontières du Bronx pour

fois sur le plan de l'équipement sonore et des albums échantillonnés. Alors que le mixage réalisé par les DJ disco et de clubs avait pour but de produire une musique continuelle avec des transitions discrètes entre les morceaux, celui réalisé par Kool DJ Herc a lui donné naissance à une pratique visant à isoler et à étendre les seuls breaks en les mélangeant entre eux avec deux copies du même morceau. À l'origine, les breaks (ou breakbeats) étaient les transitions à l'intérieur d'un morceau, composées