Krugman

Reprenant de nombreux travaux sur l'échange international, Paul Krugman qui est un économiste américain, met l'accent sur le fait que la différenciation des produits pourrait expliquer le développement des échanges intrabranche. Le consommateur moderne désire davantage de variété, donc les entreprises diversifient leur production et cherchent ainsi à obtenir une situation de monopole en rendant leurs produits uniques. Pour Krugman, l'échange international permet donc de répondre à cette demande

gouvernement aux Pays-Bas tombe sur ce motif, tandis qu'en France, Marine Le Pen séduit par son discours antieuropéen, et François Hollande par ses propositions qui mêlent relance et austérité différée. Il est le chouchou de l'économiste américain Krugman, qui continue à crier au suicide économique d'une Europe qui prescrit l'austérité comme seul remède. Un suicide qui pourrait aussi être politique. L'Europe doit adopter un cocktail qui permette de doser l'assainissement des finances publiques, de

SUJET : Les effets de la mondialisation économique sur le marché de l’emploi. -1- Recueil des meilleures et moyennes copies des concours d’entrée 2008 Copie notée : 12,5/20 « La mondialisation n’est pas coupable », affirme l’économiste P. Krugman. En effet ce phénomène d’intensification des échanges internationaux de biens et de services a été voulu et encouragé par la plupart des Etats Le GATT (general agreement on tariffs and trade) puis l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ont fixé

demeurent relativement risqués et imposent à ce titre une extrême vigilance, comme le rappelle l’épisode de la crise financière d’octobre 1997. 3 La crise financière d’octobre 1997 : inefficience ou simple correction ? Comme le suggère P. Krugman (1998), surprenante a été la vulnérabilité de certaines des économies d'Asie du Sud-Est à la contagion de la crise. De toute évidence, l’ampleur et la profondeur de la crise s’expliquent par le fait qu’elle n’a pas été anticipée. De plus, elle a plongé

Maroc), la baisse des recettes touristiques, le ralentissement des transferts des MRE, affectés dans leur pays de résidence par le repli de l’activité et par le chômage, la contraction des IDE sous l’effet de la 2 3 Krugmann, www.rationalitelimitee.wordpress.com/un-modele-de-krugman-sur-la-crisefinanciere Commission bancaire française Rapport annuel, 2007 2 montée des incertitudes, des difficultés de financement à l’échelle mondiale et des éventuels reports de projets d’investissements4. La

en France et un autre en Italie est de 13%) L’Allemagne , par sa politique de marché compétitive , a donc entrainé un désquilibre macro-économique qui est en partie une des causes des dettes des pays concernés (Italie, Espagne, Irlande …) Paul Krugman pense également que la compétitivité entre Etats est absurde. Cette thèse est d’autant plus vrai dans une union où les pays partagent une monnaie commune. L’Allemagne s’est donc implanté dans l’Europe comme un leader contesté au vu des déséquilibres

caractéristiques communes : on parle alors de cycle financier. Nombreux sont les économistes qui se sont intéressés aux phénomènes de cycle : John Maynard Keynes, Hyman Minski, John Kenneth Galbraith, Charles Kindleberger ou plus récemment Paul Krugman et Michel Aglietta. Selon ces économistes, il n’y a pas simplement une répétition des crises, mais une répétition de cycles financiers, dont la crise constitue l’un des moments. Charles Kindleberger (1910-2003), historien économique américain  constate 

théorie ricardienne fut affinée, notamment par HOS (Heckscher, Ohlin, Samuelson) pour lesquels les pays doivent se spécialiser dans les produits qui utilisent de façon intensive les facteurs de production qu’ils ont en abondance. Cependant, d’après Krugman : l’ouverture internationale, en accroissant la taille du marché, favorise la spécialisation des économies grâce à l’effet d’apprentissage et aux économies d’échelles. Elle permet également aux consommateurs de bénéficier d’une gamme de produits plus

démographique et ses conséquences, les nouvelles technologies etc…). En conséquence, les taux d’intérêt ne feront que baisser afin de stimuler l’emprunt sans que ceci n’ait vraiment un impact significatif. L’hypothèse de « stagnation séculaire » de Summers, Krugman et Blanchard est avancée et se définit par une faible marge de manœuvre de la politique monétaire avec un environnement déflationniste. Enfin, dans sa dernière partie, l’auteur expose 2 idées proposées par ces 3 économistes ; la première consistant

principale différence entre le modèle de RICARDO et celui d’HECKSCHER-OHLIN. En effet, dans le modèle d’HECKSCHER-OHLIN, le coût d’opportunité d’un produit croît à mesure que la production de ce produit augmente. Dans leur manuel, Economie Internationale, KRUGMAN et OBSTFELD, préfèrent employer la notion équivalente de productivité relative pour mettre en évidence l'avantage comparatif (voir par exemple la huitième édition anglaise, page 28-29). 2 www.economie-cours.fr Glossaire d’économie internationale