Kulturkampf

fonde la Démocratie Chrétienne (au pvr jusqu’en 1994). e ►Allemagne : posée ds des termes différents, mais résultat assez semblable. 19 s., les catholiques allemands sont minoritaires (se rassemblent pour se protéger de la politique de Bismarck (Kulturkampf) : le parti du centre). 1945-1989, la Démocratie Chrétienne n’existe qu’en RFA (chrétiens sont majoritaires). Ajd, majoritaires ds l’Allemagne réunifiée. C’est un parti de gouvernement, tantôt centre-droit, tantôt centre-gauche. 25 ► France :

II) l’échec du Ralliement et la rupture du Concordat 1) Le Ralliement Le grand événement = le Ralliement = l’acceptation de la république par els catholiques Artisan du Ralliement : pape Léon XIII (pape de 1878 à 1903) L’example allemand du Kulturkampf (combat pour la culture (allemande)) Bismarck a fait une politique anti catholique très dure à partir de 1871 Léon XIII ne veut pas que cela arrive en France, il veut la création en France d’un grand parti conservateur tolérant pour l’église

réformiste a le dessus ! - Il va progresser car il est très organisé, il fait des congrès réguliers et de la propagande à travers les journaux, les tracts et les réunions. Bismarck et les partis politiques : les grandes manœuvres A- Le « Kulturkampf » ou combat pour la civilisation - Lois votées à partir de 1872 contre les catholiques. → Première cause : anti-libéralisme pontificale → Deuxième cause : la proclamation de l’infaillibilité pontificale en 1870, d’où la crainte des libéraux

armée et instaure le service militaire obligatoire. Elle va tenter de casser l'isolement politique dans lequel l'a placé Bismarck. En Allemagne, Bismarck est surnommé le "chancelier de fer". Il décide d'engager un combat pour la civilisation la "Kulturkampf". Il mène ce combat contre les catholiques, accusés d'être obscurantistes, de dépendre d'un souverain étranger (le pape). Il mène ce combat de 1873 à 1878. Des jésuites sont chassés, des couvents sont fermés. Un grand débat entre Bismarck et Guillaume

accomplir leur œuvre, mais ils doivent se débarrasser « pas seulement de dogmes religieux, mais encore d'idées creuses, telles que le « progrès », la « culture générale », le sentiment « national », l'« État moderne », la « lutte pour la culture » ( Kulturkampf). »206. Tous les termes généraux ont quelque chose d'artificiel et d'antinaturel, continue Nietzsche207. Les conditions qui doivent être remplies pour voir la naissance d'un philosophe de génie et éviter que le poids de l'époque ne l'écrase sont

peut entraîner des conflits avec l’Etat. L’anticléricalisme suscité par cet interventionnisme doctrinal et matériel contribua parfois à isoler les catholiques du reste de la société (les catholiques allemands durant la politique bismarckienne du Kulturkampf, les catholiques français de 1905 à 1914, les catholiques italiens de 1870 à 1929). Cette sub-culture produite par l’isolement se manifesta par la prolifération d’institutions scolaires, sociales, mutualistes, dans les pays à forte tradition catholique

l’Allemagne ». Si on essai de le caractériser d’avantage, on peut dire d’abord que c’est un homme dont l’adversité à trempé le caractère. La Rhénanie est au temps de Bismarck un bastion du catholicisme militant en Allemagne au moment du fameux Kulturkampf. C’est la lutte que Bismarck a mené contre l’Eglise catholique et la latinité. Il faut rappeler que dans cette Europe du Nord, évêques et curés ont été emprisonnés, les associations dissoutes, les dotations confisquées, les jésuites chassés, les

pape qui couronne Charlemagne empereur pour empêcher la fusion des empires d'Orient et d'Occident rejoint la forfaiture d'Aetius à Châlonssur-Marne. Cette lutte contre tout pouvoir temporel fort est une constante de la politique pontificale. Le Kulturkampf de Bismarck en est une plus récente illustration, ainsi que cette pertinente remarque de Clémenceau : « Quand l'État faiblit, les jésuites relèvent la tête. ». La sourde lutte de l'Église contre Hitler, Franco, Péron procède du même souci. Par contre

nombreux pamphlets furent publiés contre les financiers juifs. 4. CAPEFIGUE: Histoire des grandes opérations financières, Paris, 1855. 5. Otto GLAGAU: Der Boersen und grundergsschwindel in Berlin, Leipzig, 1876 Les besoins de l'Empire et le nouveau Kulturkampf , Osnabruk, 1879. 6. Dans les dernières années de sa vie, M. Renan avait abandonné la doctrine des races, de leur inégalité et de leur supériorité ou infériorité réciproque. On trouvera ces théories très nettement et clairement exposées dans

attitude de ses coreligionnaires : « 1° leur connaissance incomplète des faits et des opinions dans les pays belligérants et neutres, 2° leur patriotisme, qui ne doit pas s’écarter de l’union qui lie le peuple allemand ; 3° la crainte d’un deuxième Kulturkampf, qui serait doublement dangereux si les catholiques allemands avaient seulement l’apparence d’être d’accord avec la campagne faite en France contre la façon de faire la guerre en Allemagne. » (Lettre publiée par Le Figaro du 17 octobre 1915.) On