Kurde

population : il n’y a pas d’Etat sans population, cette population ne s’identifie pas forcement à une nation (une nation est une population qui est unie par des liens objectifs ou subjectifs). En effet, il existe des nations sans Etat (la nation Kurde, Palestinienne), des Etats binationaux (le Canada), des Etats multinationaux (l’ancien URSS). Ainsi définie, la nation est condition nécessaire de l’Etat. Un territoire : il n’ya pas d’Etat sans territoire, mais il existe des territoires

population trop importants. Autre idée derrière le GAP : En Anatolie la population kurde est majoritaire. Or les kurdes veulent leur indépendance. Parti kurde : le PKK, qui réclame l’autonomie du Kurdistan. But du GAP : mater cette rébellion kurde par des grands projets d’aménagement. > Déplacement de la population kurde. Pour stabiliser la région et garder la main mise sur l’Anatolie. Bien souvent la population kurde n’a pas été indemnisée, relogée dans des conditions misérables.  Caractère économique

elle les respectera. Les droits de l'homme et l'Etat de droit ? Depuis 2001, Ankara a adopté un train impressionnant de réformes démocratiques : la peine de mort abolie, les prérogatives constitutionnelles de l'armée revues à la baisse, l'identité kurde reconnue... Le génocide arménien ? Les intellectuels turcs, en nombre croissant, invitent le pays à regarder son passé en face, sans encourir les foudres des nationalistes. L'opinion publique semble mûre. Chypre ? (...) Le problème est ailleurs. Il

parlementaire pluraliste et pratiquant l’alternance, mais sous le contrôle d’un « État profond » politico-militaire, des réformes profondes qui n’ont pas éliminé toutes les atteintes aux droits de l’homme, et la persistance de l’épineuse question kurde. - Les craintes économiques: l’accueil dans l’U.E. d’une industrie incomplètement diversifiée, mais modernisée et à bas coûts de main d’oeuvre, et d’une agriculture puissante, en partie méditerranéenne (cf. l’absorption coup sur coup de la Grèce

discriminations en matière d’accès au marché du travail. Le cas particulier des Kurdes, surtout, témoigne du caractère parfois artificiel des découpages géographiques qui ont présidé à la création de certaines nations du Proche-Orient. La communauté Kurde est partagée entre quatre Etats : l’Irak, dont l’ancien dictateur, S.Hussein, vient d’être condamné à mort pour avoir massacré des Kurdes, l’Iran, la Syrie, mais surtout la Turquie, où leur opposition à l’Etat central se manifeste régulièrement par

saoudien et turque. L’Arabie saoudite sunnite craint en cas de départ de Saddam Hussein l’émergence à sa frontière d’un Irak chiite. La Turquie s’inquiète si le dictateur irakien sunnite disparait de la naissance possible au nord de l’Irak d’un Etat kurde indépendant. Enfin laisser au pouvoir à Bagdad un épouvantail affaibli mais qui fait encore très peur aux monarchies du Golfe permettra aux Américains de leur vendre beaucoup d’armes. De 1991 à 2003 l’embargo sur l’Irak est maintenu par l’ONU pour

ville turque d'Adıyaman (ancienne capitale de la Commagène). Enfant, il perd son père lors du génocide arménien de 1915, et sa mère meurt quelque temps après, victime de la famine qui s'ensuivit. Lui-même est sauvé en étant recueilli par une famille kurde (ainsi que son frère Karabet[2]). À la fin de la guerre, il est pris en charge par la communauté arménienne et transféré avec son frère dans un orphelinat de Jounieh en Syrie, passée sous contrôle français en 1918 (mandat de la SDN à partir de 1920)

d'opposition internationale, dérive vers de dangereuses pratiques. Le dictateur massacre les chiites du sud irakien, favorables à leurs coreligionnaires iraniens. Le dimanche 16 mars 1988, il emploie des gaz de combat contre ses propres sujets, dans la ville kurde de Halabja, en violation de toutes les conventions internationales. Cet acte commis avec les armes chimiques fournies par les industriels occidentaux suscite une protestation molle de la part des démocrates. Pour Saddam Hussein, l'horizon se gâte lorsqu'il

unilatéralement Bush déclenche une seconde guerre contre l’Irak qui bouleverse la donne et met en lumière la complexité : - de l’Irak en proie à une guerre civile religieuse attisée par l’Iran chiite voisin - d’autre conflit interne au Liban - du problème Kurde - du terrorisme international d’Al Qaida - des ambitions de la Syrie sur le Liban de l’Iran dans la région - du danger de prolifération nucléaire

de la montagne Kuh-e Rahmat, à environ 70 km au nord-est de la ville de Shiraz, province de Fars, Iran. 2a/ La dynastie kadjar règne sur l'Iran de 1786 à 1925. 2b/ Puissance Grécque ??? 2c/ Le roi Shah Ahmed a été renversé par l'usurpation d'un Kurde, Kerim ou Kerym (1751), qui s'empara de l'autorité, sans prendre le titre de khan, mais, sous celui de wekil, c'est-à-dire régent. Il gouverna avec sagesse et habileté, et mourut en 1779. 3/ Réformes 1963(révolution blanche) la réforme agraire,