L'hystérie

mouvement de l'époque les malades hystériques. Dans les années 1860, ils sectorise les malades dans les hôpitaux en fonctions des symptômes. Les crises commenceront a ressembler au crises épileptiques, car les malades transposent ce qu'ils voient. L’hystérie dans l'antiquité était propre à la femme et dû a un dysfonctionnement de l’utérus et surtout chez les jeunes filles et les veuves → l’abstinence sexuelle. Au moyenne âge, on disait qu'elles étaient soit ensorcelés soit qu'elles disposaient d'une

Duchenne de la neurologie moderne, le précurseur de la psychopathologie et l'un des plus grands cliniciens français de la fin du XIXème siècle. Il est également connu comme chef de file de l'École de la Salpêtrière pour ses travaux sur l'hypnose et l'hystérie. De 1862 à 1870 son enseignement à la Salpétrière est consacré aux maladies des vieillards. en 1863 il présente des travaux d'anatomie-pathologique sur la goutte. - en 1865 ce sont des travaux sur la paraplégie douloureuse des cancers, sur l'anatomie

Sigmund Freud Études sur l’hystérie Table des matières Préface 3 Avant-propos de la première édition 4 Avant-propos de la deuxième édition 6 Chapitre I. Le mécanisme psychique de phénomènes hystériques 8 I. 8 II. 12 III. 16 IV. 17 V. 20 Chapitre II. histoires de malades 22 A. Mademoiselle Anna O 22 B. Mme Emmy von N, 40 ans. Livonienne 46 Analyse critique 83 C. Miss Lucy R, 30 ans 103 Analyse critique 116 D. Katharina 119 E. Mademoiselle Elisabeth v. R. 128 Analyse critique


 Le médecin anglais Sydenham marque son désaccord avec la théorie utérine de l’hystérie. => Théorie qui propose que l’hystérie est causée par le fait que l’utérus se détache de son emplacement normal et se déplace dans le corps, causant un problème dans l’endroit ou il se loge. 
 Sydenham élabore une nouvelle doctrine de l’hystérie comme maladie de l’esprit provocant des troubles organiques. 
 Pour lui l’hystérie ne relève plus de l’utérus mais du cerveau et su système nerveux. Sa déduction

* État intrapsychique de l'analyste * Contre-transfert * L'empathie Introduction : Nous commercerons par étudier certains concepts liés aux symptômes du cas Miss Lucy R., Trente ans extrait d' « Études sur l'hystérie » de Freud. Nous développerons, ainsi, la notion d'hypnose, avec un approfondissement de la suggestion, de la crédivité… en passent par un bref historique théorie et des pratiques thérapeutiques. Pour finir, sera exposé certains facteurs intrapsychiques

Bible: Pasteur Isabelle Pierron 10 décembre 2013 – Dieu est Il ou Elle ou....? : Rabbin François Garaï 14 janvier 2014 – Dimensions féminines et maternelles de la présence divine et de son accueil : Soeur Maryline Darbellay 18 mars 2014 – De l’hystérie comme symptôme de l’angoisse masculine ?! : Gérard Manent enseignant et talmudiste 13 mai 2014 – Quelle place pour les femmes aujourd’hui dans les structures sociales et ecclésiales? : Professeur Thomas Metzaros, philosophe 10 juin 2014 – AG

Le mot a désigné une grande variété de troubles spectaculaires, attribués le plus souvent, jusqu'au XIXe siècle, à un dysfonctionnement de l'utérus ( hustera , en grec, désigne l'utérus). Vers 1880, l'hystérie était considérée comme « la reine des névroses ». La description de ses symptômes occupait jusqu'à quarante pages dans des ouvrages médicaux. Les traits les plus caractéristiques étaient des « conversions somatiques » (expressions corporelles de

de Genet. Ses premiers romans paraissent. Censurés, car jugés pornographiques, ils se distribuent sous le manteau. « Le Balcon » fut publié en 1955. Le fantasme et le réel, le sexe et le pouvoir, sont intimement mêlés dans ce grand classique de l’hystérie. Elle s’y faufile partout, mêlant réalité et fiction, jusqu’à égarer les spectateurs ou le lecteur . Dans un avant propos, l’auteur condamne avec violence chaque metteur en scène qui serait tenté d’en appauvrir le sens en le personnalisant à l’extrême

initiales inversées BP/PB Bertha retourna à Vienne en 1935, où elle mourut d'un cancer le 28 mai 1936, Anna O. est le premier cas d'hystérie exposé en 1895 dans les Études sur l'hystérie de Sigmund Freud et Josef Breuer. Un récit de la prise en charge de Bertha Pappenheim fut publié en 1895 dans les Études sur l'hystérie, ouvrage écrit par Breuer et Sigmund Freud et où Bertha est désignée sous le pseudonyme d’Anna O. (formé à partir de la lettre précédant ses initiales: BP/AO). Souffrant de divers

nerveux. On invoque aussi l’émotion-choc qui provoquerait des traumatismes psychiques. Connus sous le nom générique de « shell shock » en Grande-Bretagne, et « obusite, commotion cérébrale, névrose » en France, ces syndromes sont aussi assimilés à l’hystérie, bien que le diagnostic questionne la virilité des soldats et la « force de résistance nerveuse de la race française » mise en avant par l’Académie de médecine. Pour rompre avec les notions confuses attachées à la notion d’hystérie, le neurologue