L Abstention électorale

septembre 1958, le projet de constitution est approuvé par 80% des suffrages exprimés. Le 4 octobre 1958, le président Coty promulgue la constitution. A la fin du mois de novembre ont lieu les élections législatives qui consacrent une poussée électorale des partisans du Général De Gaulle (UNR : Union pour la Nouvelle République) De Gaulle n’a pas pour autant la majorité à l’AN. Les élections sénatoriales sont organisées au mois d’avril 1959. Le 21 décembre 1958, le Général De Gaulle est élu Président

en compte la référence a l antiquité. On s arrange pour que tout soit détourné pour l homme. Bonaparte c bien que les questions constit échappe a la population. Le vote se fait a découvert. Les chiffres produits montrent qu’il y a énormément d abstentions. Cette pratique c une spécialité de Bonaparte et de son cousin qui vient après. Plébiscite élément important qui montre le lien qu’il l uni avec son peuple on peut qualifier ce lien de passionnelle. Cette pratique a pris le nom de césarisme démocratique

et l'inflation), par la désunion de la droite (les gaullistes emmenés par Jacques Chirac se heurtent aux non gaulliste emmenés par VGE),car la gauche est unie (le PS, le PCF et les radicaux soutiennent François Mitterrand) enfin car la campagne électorale de F. Mitterrand a été bonne (« la force tranquille »). Durant une assez courte période (1981–1982) la gauche entame une politique socialiste en France avec de nombreuses réformes (comme l’abolition de la peine de mort en 1981) et beaucoup de nationalisations

du Gouvernement Provisoire. Nvelle assemblée + tournée vers idées du président : compromis qui préserve prépondérance de l’AN. Octobre 1946 : Le MRP appelle à voter oui pour nveau projet constitutionnel (PC, SFIO aussi) : 53% OUI, mais 30% abstention : pas de large appui populaire. de Gaulle : « Un tiers des Français s’y étaient résignés, un tiers l’avaient repoussée, un tiers l’avaient ignorée » Nomme Paul Ramadier président du Conseil : forme gouv. avec représentants des

macroéconomiques souvent douteuses ou même incorrectes. La solution est, par suite, la libéralisation des marches et l’autogestion des entités économiques. « L’ÉTAT N’EST PAS LA SOLUTION. IL EST LE PROBLEME » disait Reagan pendant sa première campagne électorale contre Jimmy Carter. * L’Etat peut-il être à l’origine des crises ? I L’Etat peut, par son action, être à l’origine des crises 1) Les politiques keynésiennes * De Smith à Hayek, la crise est liée à des phénomènes exogènes, ie du

loi constitutionnelle. Car il faut l'accord des deux assemblées. Ou il existe une deuxième hypothèse : on propose un référendum. Loi peut être adoptée par référendum. La réforme sur le quinquennat a été adopté par un oui à 73% mais il y a eu une abstention massive (+70%). Pendant très longtemps en France la durée du mandat était de 7 ans. Dans les autres pays européens, la durée du mandat était de 4 ou 5 ans. Exigence démocratique aujourd'hui c'est d'aller le plus souvent possible devant les urnes

droit interne, elle renvoie à l’idée d’un pouvoir originel absolu supérieur à toutes les autorités et même source de tous les pouvoirs. Une réflexion sur ce concept doit donc se pencher au plan interne sur les modes de dévolution du pouvoir du corps électoral vers les organes qui le représentent, et au plan externe sur les contraintes internationales, qu’elles soient économiques, politiques ou juridiques (droit d’ingérence, construction communautaire pour les États européens). Dans un État unitaire comme

atténuantes à un dictateur, nostalgique de l’Empire Soviétique, qui a pris délibérément la décision d’envahir un pays frère, ami, européen. Au nom même de la démocratie, nous nous sommes permis de gifler le Président de la République alors en campagne électorale. Au nom de la démocratie, nous nous sommes permis d’affirmer que l’islam, religion pratiquée par des millions de nos compatriotes, n’était pas compatible avec la République. Face à ce constat brutal mais nécessaire, qui nous remet face à nos propres

masculin. Face à cette « anomalie démocratique », le constituant a tenté de réagir en introduisant un principe de parité que l’on retrouve au sein de l’article 1er de la Constitution : « la loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives ». (Dans le même esprit, le gouvernement a justifié la dose de proportionnelle dans le mode de scrutin de l’élection des conseillers territoriaux au nom de la garantie du pluralisme politique et de la parité.) Cependant, Malgré

de l'opposition[modifier] Artur Mas quitte le conseil exécutif le 22 décembre suivant et prend alors la présidence du groupe parlementaire de CiU. Suite à l'adoption d'un décret, remplacé par une loi régionale en 2008, réalisant une promesse électorale de Maragall, il est le premier à accéder au statut officiel de chef de l'opposition en Catalogne (Cap de l'oposició a Catalunya) le 27 mai 2004. Deux ans plus tard, il conclut un accord avec José Luis Rodríguez Zapatero, président du gouvernement