L Abstention électorale

blancs, reconnaissances, abstention. > http://bit.ly/HzJWwP g inscription sur les listes électorales, non-inscription, mal-inscription : enjeux démocratiques et pistes d’action Note d’analyse 49 – Mars 2007 La non-inscription et la mal-inscription touchent d’abord les milieux populaires. Comment réformer l’inscription électorale pour résorber ce phénomène et encourager le vote du plus grand nombre ? Mots clés : inscription sur les listes électorales, abstention, exclusion, milieux populaires

C'est le Conseil Constitutionnel qui va publié la liste des candidats qui remplissent effectivement la liste des conditions. Les candidats vont devoir respecter des conditions financières qui vont encadrer l'ensemble de la campagne électorale. B) La campagne électorale L'ensemble des candidats vont ouvrir un compte de campagne par une institution indépendants : CNCCFP et toutes les dépenses et recettes perçues par un candidat pour sa campagne vont devoir faire l'objet d'écriture. Ce qu'on appelle

déchu. Trois questions sont posées aux députés. « Louis Capet est-il coupable de conspiration contre la liberté publique et d'attentat contre la sûreté de l'Etat ? » : Sur 749 conventionnels, 31 absents, 691 pour, 27 pouvant être assimilés à une abstention, aucun n'a explicitement voté. « le jugement de la Convention sera-t-il soumis à la ratification du peuple réuni dans les assemblées primaires ? » : une majorité répond négativement. « Quelle peine sera infligée à Louis ? » : Sur 721 présents, 387

terme anglais « POLITICS ». Cette compétition peut prendre différentes formes, elle peut être violente, elle peut passer par des luttes armées ( révolution française ) mais cette compétition peut être aussi pacifique comme le montre les campagnes électorales dans les sociétés démocratiques. Ces deux définitions ne suffisent pas à épuiser le sens du mot politique. En effet, ces deux premières définitions n'indiquent pas qu'elles sont les problèmes que les gouvernants doivent tenter de résoudre. Elles

présenter une critique non seulement constructive et cohérente. L opposition doit constituer pour ses électeurs un éventuel gouvernement de rechange. La finalité première de toute opposition est de conquérir le pouvoir elle doit offrir au corps électoral une conception de politique de rechange, c est a dire un programme cohérent, convaincant. En définitive, l opposition doit offrir une alternative, c est a dire que si les citoyens décident de changer de gouvernement, il faut que l opposition soit

le pouvoir exécutif, exercé par le Président de la République et par le Premier ministre qui dirige l'action du Gouvernement, est donc assuré par deux adversaires politiques, choisis démocratiquement, mais à des moments différents, par le corps électoral. Longtemps inenvisageable, la cohabitation est cependant devenue réalité 28 ans après la promulgation de la Constitution de 1958 et ce, par l'interaction de plusieurs facteurs : • La volonté des électeurs qui, à trois reprises (1986, 1993,

droit de vote? Dans la constitution de 1958, nous avons une disposition de principe qui interdit le droit de vote des étrangers (article 3) qui réserve le droit de vote aux nationaux. Cette interdiction, a un domaine extrêmement large en matière électorale car elle couvre toutes les élections politique au sens que lui a donné le conseil constitutionnel dans une décision du 10 novembre 1982. Les élections politiques sont celles qui mettent en jeu la souveraineté nationale, c'est-à-dire la qualité

travaillé sur la bureaucratie. André Siegfried, a écrit Tableau politique de la France de l'Ouest, est considéré comme le fondateur de la sociologie électorale. Il va montrer que le vote est déterminé par son appartenance à des territoires, il en a déduit que le granit vote à droite et le calcaire vote à gauche, il a crée le terme de géographie électorale (les gens votent comme ils sont socialement). Maurice du Verger a montré les relations entre mode de scrutin et système de partis politiques (nombre

projet de Sieyès. A/ Un critère de distinction économique, le cens Sieyès va avoir recours à un appel historique, il va évoquer la république romaine censitaire. A Rome sous la république tous les citoyens étaient inscrits sur des listes électorales, ils étaient divisés en groupes, des centuries. Ces groupes sont d’inégale importance car les citoyens sont regroupés selon leur richesse. On commence par le groupe le plus riche, certains groupes les moins riches ne votent jamais. Les catégories

députés n’étaient pas précisé par la constitution mais par la loi. Il y avait sur ce point une différence assez importante avec le Sénat. Le Sénat, encore appelé chambre haute fait à lui seul l’objet d’une loi constitutionnelle qui est une loi électorale (loi du 24 février 1875). Cette loi prévoyait pour le Sénat une composition de 300 membres mais cet effectif fût porté à 314 en 1919. 75 d’entre eux (1/4) étaient des sénateurs inamovibles (a vie) élus par l’assemblée nationale, c'est-à-dire la