L Abstention électorale

détient le pouvoir et qui par le vote peut s'exprimer. 2/…. son obligation permettrai de répondre à des problèmes de société… Le vote obligatoire permettra de refléter l'opinion de la population entière. En effet, on observe aujourd'hui une forte abstention dans les milieux défavorisés ou précaires (chômeur, travailleurs les moins qualifiés...). Le principal argument avancé sur ce constat serai le fait que ces personnes ne votent pas parce qu'ils pensent que les politiques ne s'intéressent pas à eux

2ème Partie : L’abstentionnisme électoral , phénomène dangereux ? Introduction : « Voter est un droit, c’est aussi un devoir civique ». Tels sont les mots inscrits sur la carte électorale française, que tout citoyen pourrait ou devrait avoir en sa possession. Or, aujourd’hui, on assiste à un phénomène croissant de non-participation électorale : le phénomène dit d’abstentionnisme électoral. Le problème de l’abstention électoral est que c’est un reflet de la crise des français

POLITIQUE NOUVEAUCrise de la représentationI- Malaise dans la représentation: les limites de la démocratie représentative §1 Les signes d’une crise Forte abstention (croissant) abstentionnisme sociologique abstention stratégique => Abstention délibérer (jeunes surtout)désertisation des partis + ennuyeux qui ne changent pas => Fin gouvernement partisinsatisfaction des politique=>

  Le terme « abstention » désigne la non-participation des citoyens lors de délibérations ou de scrutins dans le cas d’une élection ou d’un référendum. Il faut savoir que les votes blancs et nuls ne font pas partie de l’abstentionnisme bien qu’ils ne soient pas pris en compte dans les résultats des élections. Pour obtenir le nombre d’électeur qui ne participent pas au vote, il faut calculer la différence entre le nombre d’électeurs qui sont inscrits dans la liste électorale et les votants

pour la démocratie ? Document 5 : La participation aux scrutins de 2004: Source : INSEE, Enquête sur la participation électorale, 2004. 2. L’abstentionnisme est majoritaire dans les « classes populaires » Document 6 : Qui s’abstient ? Document 7 : La démocratie de l’abstention Céline Braconnier et Jean-Yves Dormagen ont enquêté cinq ans sur la démobilisation électorale, à Saint-Denis, dans le quartier des Cosmonautes, un quartier populaire. En quoi l’abstention de plus en plus importante

l’assemblée. C’est donc sous l'impulsion des jacobins montagnards dirigés par Maximilien (de) Robespierre que la Convention élabore l'Acte constitutionnel du 24 juin 1793 (§ 1), qui est accepté par référendum public (1 801 918 oui, 11 610 non, abstentions environ 4 000 000). 
Et c'est après le guillotinage de Robespierre, le 28 juillet 1794, que les républicains modérés prennent le pouvoir et font élaborer la constitution de 1795 (§ 2). §1. L'Acte constitutionnel du 24 juin 1793 Précédé par une

d’électeurs appelés aux urnes pour renouveler les 2.026 sièges de conseillers généraux ne se sont pas déplacés. Cependant, ce nouveau record d’abstention en France s’inscrit dans la lignée d’une abstention de plus en plus croissante depuis ces vingt dernières années, avec une baisse de la participation électorale pour les différents scrutins en particulier présidentiels, législatifs, et européens. C’est donc à juste titre que nous pouvons nous interroger sur les causes et les interprétations de l’abstention

ces différents représentant. En France ce droit de vote s’obtient à partir de la majorité c’est-à-dire 18ans. Il y a en France 47.9 millions d’électeurs, hors Nouvelle Calédonie, soit 94 % des Français en âge de voter sont inscrits sur les listes électorales des communes et consulats. Exactement 47947555 inscrits sur 51008037 électeurs potentiels. Les dernières élections françaises au suffrage universel direct sont les élections départementales et régionales qui ont eu lieu les 20 et 27 juin 2021. Les

un droit, c’est aussi un devoir civique ». Tels sont les mots inscrits sur la carte électorale française, que tout citoyen pourrait ou devrait avoir en sa possession. Or, aujourd’hui, on assiste à un phénomène croissant de non-participation électorale : le phénomène dit d’abstentionnisme électoral. On peut noter diverses formes d’abstentionnisme, au-delà des calculs parfois un peu simplistes : une abstention volontaire ou forcée par exemple. Il faut en effet faire la remarque que les taux d’abstention

catholiques conservateurs, militant néo-nazis, nostalgiques du Reich, mais aussi anciens résistants nationalistes. Pourtant, il fait moins de 1% à l’élection présidentielle de 1974, et 0,4% aux législatives de 1981. 1983 : percée du parti sur le plan électoral aux municipales : JM Le Pen obtient 11% dans le 20ème. 1984 : consolidation du succès aux élections européennes : 10,95% alors que la liste PCF tombe à 11,2%. A partir de là tous les intellectuels de France tentent d’expliquer le phénomène,