L Adjectif Qualificatif

Il ressemble plus à un « Templier », c'est à dire, un moine guerrier. On peut aussi le voir de par les adjectifs qui le décrivent au début de l'extrait : « jeune, vigoureux, gaillard, joyeux, bien adroit, hardi, entreprenant, décidé, grand, maigre, fort en gueule, le nez avantageux, beau débiteur de prières, bel expéditeur de messes [...] ». Dans cette énumération est présent certains adjectifs particulièrement intéressant pour décrire un moine hors du commun, telle que « fort en gueule » qui désigne

diffère. Vers de poésie ≠ vers de terre Natures et fonctions I° Natures ---------------------------------- Invariables Adverbes & locutions adverbiales Interjections & onomatopées 1°Modifie le sens d'un verbe ou d'un adjectif. 1°Exprime un sentiment, un ordre . . . 2°Peut aussi être complément circonstanciel. 2°N'a pas de fonction dans la phrase. Hier, ici, bien, lentement, trop / peut-être, sans doute Chut !, Hélas ! / hi-han, plouf, brrr, bzzz Conjonction

II) …éblouissante 6) La description est-elle objective, péjorative ou méliorative ? (0,5pt) 7) Quel adjectif qualificatif relatif à la taille est employé à plusieurs reprises dans le texte ? A quelle ligne le trouve-t-on au comparatif de supériorité ? A quelle autre le trouve-t-on au comparatif d’égalité ? (1,5pts) 8) «  un tapis très épais » : dans ce GN, l’adjectif qualificatif est-il au superlatif absolu, au superlatif d’infériorité ou au superlatif de supériorité ? (0,5pt) 9) « 

et sa méthode poétique PLAN: I) Confession du poète A) Ses refus(lignes 2-3) -rejet de la peinture et la poésie modernes --> adjectif qualificatif dérisoire, adjectif de jugement -"je me vantais de ...", dénonce son jugement B) Ses goûts(lignes 4 à 7) -généralité à travers l'indéfini --> recours au pluriel -énumération + juxtaposition de groupes nominaux -adjectifs "érotique", "démodée"--> retour aux sources C) Exaltation lyrique(lignes 8 à 10) -verbes modalisateurs -points d'exclamations

mes chères statues. Comme tous ceux de ma famille. Comme leurs semblables, ces voisins, ces inconnus, dénoncés par la dernière syllabe de leurs noms en sky, en thal ou en stein. Je découvrais tous ceux qui me l’avaient dissimulé marqués par cet adjectif si encombrant, si coupable. Louise ne me parlait plus de la foule anonyme des victimes, mais d’elle, de son corps torturé, marqué durant la guerre par une nouvelle singularité : cet insigne, lourd au point d’accentuer sa démarche cahotante. Elle

laquelle, auquel, duquel, etc.) ou renforcées (qui est-ce qui, qu’est-ce que). Ils posent une question sur un être ou sur une chose. Ex : Qui a enterré Polynice ? B.les déterminants Un déterminant se place devant un nom commun ou devant un groupe adjectif/nom, il sert à déterminer ce nom et lui permet d’être utilisé dans une phrase. Il indique le genre et le nombre de celui-ci, ex : le héros (masculin, singulier). Il est indispensable et on ne peut le supprimer. Il forme avec le nom le GN. On distingue

(du singulier ou du pluriel), la deuxième personne (du singulier ou du pluriel) et la troisième personne (du singulier ou du pluriel) 2) Je souligne ou surligne chaque adjectif qualificatif et le relie au nom auquel il se rapporte (je vérifie que j’ai bien accordé l’adjectif qualificatif en genre - masculin ou féminin - et en nombre - singulier ou pluriel , avec le nom qu’il précise) ; 3) Si je ne connais pas l’orthographe d’un mot, je dois :

10, il y a aussi des adjectifs qualificatif « cuivre rouge » l2. Tout les caractéristiques de la description sont réunis on peut donc en conclure qu’E.ZOLA d’écrit l’alambic. De plus il y a de nombreuse personnification comme « sueur d’alcool » l21 « mine sombre » l6. Grace à ces exemples nous pouvons donc conclure que ZOLA décrit l’alambic comme un personnage de cet extrait. Nous allons maintenant montrer que l’alambic est décrit péjorativement. D’autre par, les adjectifs décrivant l’alambic sont

qu’elle poursuit tourments inévitables ! » (v277-278). Phèdre nomme celle qu’elle juge coupable de son mal (hérédité et sa malédiction) : Vénus. Elle craint cette déesse et sa malédiction, elle pointe ses feux redoutables, en employant un adjectif qualificatif négatif « redoutables »ainsi qu’un déterminant possessif « ses » pour la désigner comme pleinement coupable de ses malheurs. Toujours dans le domaine des Dieux Phèdre utilise un champ lexical du culte : « bâtis un temple », « orner », « pris

un pléonasme vers 5 "elle me regarda de ce regard suprême" + champ lexical de la vue : "voir" vers 3, "regarda" vers 5, "regard suprême" vers 5, "vis" vers 14, "yeux" vers 16. d) Les adjectifs qualificatifs mélioratifs qui désignent la jeune femme montrent qu'elle est jolie et attirante. L'adjectif qualificatif "décoiffée" ramène à ses cheveux, qui à l'époque était un signe de sensualité (de même pour "déchaussée") => ces deux extrémités attirent la sensualité de la femme (...) Plan: Introduction