L Affirmation De La Souveraineté Au Moyen Age

la société. L'absolutisme monarchique en ce sens n'est pas l'oppression de la société par le roi ; il exprime la volonté sociale. C'est un mandat confié au roi, le moyen d'évincer les seigneurs qui exploitent les roturiers, et de construire un Etat, une administration au service de la grande classe moyenne en formation dès le Moyen Age et qui prendra le pouvoir en 1789. PARAGRAPHE I - LES INSTRUMENTS DE LA MONARCHIE ABSOLUE La monarchie absolue trouve sa justification dans une doctrine formée

sine qua non de l’acquisition de la qualité de citoyen. En outre, la portée politique de la citoyenneté est, dans un premier temps, limitée par la distinction entre citoyens « actifs » (pouvant voter et se présenter aux élections en fonction de leur âge, 25 ans minimum, et du montant de leurs impôts, équivalant à trois journées de travail) et « passifs » (qui disposent de plusieurs droits, mais pas de celui de voter ou d’être élu). Le suffrage est donc dès le départ censitaire. Après une brève application

L’éducation de citoyens est nécessaire pr expliquer et faire comprendre les lois. Renonce au communisme, opte pr une communauté familiale. Platon veut éviter tte indpce de pensée, pas d’originalité pr favoriser ainsi l’unité de la cité. La souveraineté de la loi est un moyen. Ce modèle d’une cité totalitaire a été imité par d’autres auteurs. CCL : la gauche retiendra qu’il a renversé le pvr de l’argent, détruit la famille et la propriété privée. La droite se souviendra souci de construire une aristocratie

anniversaire commémoratif du débarquement militaire argentin aux Malouines, le 2 avril 1982. A cette occasion, la présidente de l’argentine Cristina Kirchner qui faisait partie des pays membres du sommet, n’a pas manqué de réaffirmer le droit de souveraineté de son pays sur les iles Malouines toujours sous contrôle britannique[1]. Le déclenchement de la guerre des Malouines le 2 Avril 1982 avait surpris l’opinion internationale dans la mesure où elle a opposé deux nations appartenant au même bloc

apparences » Platon est encore plus radical : on s'est toujours trompés sur la réalité, ce que nous voyons depuis toujours ce ne sont que des apparences ! Ce que nous prenons pour réalité n'est que semblant de réalité. Notre réalité est une illusion. Affirmation étrange et téméraire. C'est peut-être une erreur de dire : je crois ce que je vois. Si je confonds apparence et réalité c'est parce que : l'on m'a toujours montré du « faux » et je prends le « faux » pour du « vrai ». Nous vivons dans l'illusion

qu'aucun autre auteur ancien ne nous a laissé une œuvre comparable, c'est l'auteur le plus prolixe de l'Antiquité, il a écrit sur tous les sujets, la rhétorique médecine, philosophie, savant qui s'intéressait à toutes les branches du savoir humain. Au moyen-âge, on l'appelait le philosophe par excellence. Il avait un très grand sens de la nuance qui est en l'homme, une partie rationnelle et une partie irrationnelle. Pour Aristote, la raison, l'intelligence, la science ont un rôle essentielle, à approfondir

temporaires mais la charge retombe dans le domaine public. Ces nobles, ces vassaux vont obtenir la propriété de ces terres et il y a possibilité de succéder aux héritiers les terres que le Prince leur a offert. La féodalité va triompher au début du Moyen Age c'est-à-dire que le pouvoir va être progressivement délégué à des représentants locaux qui remplissent une fonction publique mais une fonction qui est exercée par le biais d’une charge qui est elle achetée donc il y a une patrimonialité de la charge

PLAN I/ Constitution et institutions de l’Occident Chapitre 1 : De la fin de l’Antiquité Grecque à l’époque Franque Chapitre 2 : Elément d’unité en Occident à la fin du Moyen âge Chapitre 3 : Les institutions de rassemblements (Eglise, l’Empire, « l’Europe ») II/ Autorité publique dans les institutions Chapitre 1 : Les principes Chapitre 2 : La justification de l’autorité publique Chapitre 3 : L’adoption des principes de l’autorité publique aux diverses formes politiques III/ Les institutions de

l’intérêt général est sa nécessaire imposition qu’on appelle la contrainte légitime. Elle génère l’existence de l’autorité politique de personnes mandatées implicitement ou expressément pour prendre des décisions et les faire appliquer. De ces affirmations découlent deux caractéristiques, l’autorité c’est-à-dire avoir la faculté de décider et qu’on lui obéit. Il est politique, car il a pour fonction de répondre aux besoins de la cité qu’il dirige. Le pouvoir politique est légitime car politiquement

destruction des autres peuples. - La pensée chrétienne qui constitue une révolution morale qui est considérable et par conséquent une révolution politique. La nature des relations entre gouvernants et gouvernés va se trouver bouleversé. Enfin, au Moyen Age, va se dérouler un processus de maturation politique qui va permettre l’émergence de nouveaux courants de pensée politique. Chap. I : La pensée politique grecque Elle est d’autant plus importante du fait qu’on ne parte de rien. Les grecs sont