L Agonie Du Fils Du Juge Othon

quitte la ville pour se reposer à la montagne. Quoique secondaire, le personnage du vieil Espagnol asthmatique « au visage dur et raviné » (p. 14) réapparaît à plusieurs reprises au cours du roman, en tant que patient régulier du docteur Rieux. Le juge Othon, croisé à la gare, est décrit comme « long et noir, et qui ressemblait moitié à ce qu’on appelait autrefois un homme du monde, moitié à un croque-mort » (p. 15). S’il semble prendre conscience du problème que posent les rats, il se montre hésitant

*la population *Cottard et Tarrou -un violent rappel à la réalité 2.La décision de Rambert p.205-213 -les tourments de Rambert -un être simpliste : la vieille Espagnole -nouvelle conversation avec Rieux 3.La mort de l’enfant Othon p.214-222 -la séparation -la lutte de l’enfant contre la mort -l’attitude de Rieux 4.Le second prêche et la mort de Paneloux p.223-236 -la crédulité des Oranais -le sermon : *la présence du vent *la changement de ton de Paneloux

sérum à partir des cultures du microbe qui infestait la ville, dans l’espoir d’opposer à la maladie un remède spécifique que Rieux, après avoir pratiqué sans succès les interventions classiques, décida d’essayer sur le fils du juge Othon qui fut gravement atteint. Au terme d'une agonie douloureuse et pathétique, il mourut quand même. Rieux cria sa révolte au père Paneloux qui, tout à fait décontenancé devant la mort de cet être innocent, formula dans un second prêche, prononcé à la fin octobre, la nécessité

sérum à partir des cultures du microbe qui infestait la ville, dans l’espoir d’opposer à la maladie un remède spécifique que Rieux, après avoir pratiqué sans succès les interventions classiques, décida d’essayer sur le fils du juge Othon qui fut gravement atteint. Au terme d'une agonie douloureuse et pathétique, il mourut quand même. Rieux cria sa révolte au père Paneloux qui, tout à fait décontenancé devant la mort de cet être innocent, formula dans un second prêche, prononcé à la fin octobre, la nécessité

vu de nouveaux rats. - Ah ! non, dit le concierge, je fais le guet, vous comprenez. Et ces cochons-là n'osent pas. Le télégramme avertissait Rieux de l'arrivée de sa mère pour le lendemain. Elle venait s'occuper de la maison de son fils, en l'absence de la malade. Quand le docteur entra chez lui, la garde était déjà là. Rieux vit sa femme debout, en tailleur, et avec les couleurs du fard. Il lui sourit : - C'est bien, dit-il, très bien. [21] Un moment après, à la gare

demanda s'il avait vu de nouveaux rats. - Ah ! non, dit le concierge, je fais le guet, vous comprenez. Et ces cochons-là n'osent pas. Le télégramme avertissait Rieux de l'arrivée de sa mère pour le lendemain. Elle venait s'occuper de la maison de son fils, en l'absence de la malade. Quand le docteur entra chez lui, la garde était déjà là. Rieux vit sa femme debout, en tailleur, et avec les couleurs du fard. Il lui sourit : - C'est bien, dit-il, très bien. [21] Un moment après, à la gare, il l'installait

demanda s'il avait vu de nouveaux rats. - Ah ! non, dit le concierge, je fais le guet, vous comprenez. Et ces cochons-là n'osent pas. Le télégramme avertissait Rieux de l'arrivée de sa mère pour le lendemain. Elle venait s'occuper de la maison de son fils, en l'absence de la malade. Quand le docteur entra chez lui, la garde était déjà là. Rieux vit sa femme debout, en tailleur, et avec les couleurs du fard. Il lui sourit : - C'est bien, dit-il, très bien. [21] Un moment après, à la gare, il l'installait

s’il avait vu de nouveaux rats. – Ah ! non, dit le concierge, je fais le guet, vous comprenez. Et ces cochons-là n’osent pas. Le télégramme avertissait Rieux de l’arrivée de sa mère pour le lendemain. Elle venait s’occuper de la maison de son fils, en l’absence de la malade. Quand le docteur entra chez lui, – 11 – la garde était déjà là. Rieux vit sa femme debout, en tailleur, avec les couleurs du fard. Il lui sourit : – C’est bien, dit-il, très bien. Un moment après, à la gare, il

demanda s'il avait vu de nouveaux rats. — Ah! non, dit le concierge, je fais le guet, vous comprenez. Et ces cochons-là n'osent pas. Le télégramme avertissait Rieux de l'arrivée de sa mère pour le lendemain. Elle venait s'occuper de la maison de son fils, en l'absence de la malade. Quand le docteur entra chez lui, la garde était déjà là. Rieux vit sa femme debout, en tailleur, avec les couleurs du fard. Il lui sourit : — C'est bien, dit-il, très bien. Un moment après, à la gare, il l'installait

duchesse de Guermantes. Débuts mondains 1898 : 13 janvier : ouverture du procès Esterhazy. 14 janvier : Zola publie « J'accuse ». Première arrestation de Picquart. Du 7 au 13 février : condamnsation de Zola qui fait appel du jugement et sera de nouveau jugé en juillet. Juin : après la mort de la grand-mère, le narrateur doit porter le deuil six mois, et ne reprend sa vie mondaine qu'en décembre. Hiver : il assiste à un dîner chez la duchesse de Guermantes. 1899 : Il est invité à la soirée de la princesse