L Agonie Du Fils Du Juge Othon

décide de rester à Oran pour aider, longue agonie et mort du fils Othon. Second prêche du père Paneloux + mort de celui-ci quelques jours après. Conversation entre Tarrou et Rieux : T. déteste la peine de mort. Atmosphère peu festive pour Noël, Grand semble atteint par la peste et demande à ce que son manuscrit soit brûlé mais il ne meurt pas. Premiers signes du recul de la maladie. Cinquième partie – La libération : recul de la maladie + mort du juge Othon. Carnets de Tarrou consacrés à la mère de

La peste sévit depuis pluieurs mois à Oran. Le fils du juge Othon est atteint par la maladie et doit être hospitalisé, selon les règles en vigueur. Le Docteur Rieux et Paneloux assitent à ses derniers instants. Camus évoque cette agonie d'un innocent en jouant sur divers registres : cette agonie présentée de façon réaliste devient un symbole de l'impuissance des hommes et illustre sa philosophie de l'absurde. II- L'AGONIE DE L'ENFANT : A- Une scène réaliste : La description que fait Camus

La Peste, La mort du fils du juge Othon Le XXème siècle est marqué par de nombreux événements historiques comme la seconde guerre mondiale. Camus, journaliste rédacteur en chef de Combat un journal regroupant des résistants est également un écrivain. Il relate dans ses œuvres des situations lui permettant de faire part de ses réflexions. En 1947, La Peste paraît. Dans La Peste, l’auteur nous expose le quotidien des habitants de la ville d’Oran pendant la peste. Dans l’extrait étudié, issu de la

métaphore de l’occupation pendant la seconde guerre mondiale, mais peut être aussi lue comme une simple lutte entre le Bien et le Mal. Dans l’extrait étudié, issu de la quatrième partie, est raconté la mort d’un enfant atteint de la maladie, le fils du juge Othon. Le médecin Rieux et ses alliés lui ont administré un sérum expérimental dans l’espoir de le sauver, mais malheureusement, l’agonie du malade n’est que plus terrible et plus longue. Nous étudierons en quoi cette scène est particulièrement émouvante

confronter sont les thèmes principaux → style monotone et impersonnel / langue sèche et objective. Les personnages qui meurent → cherchent une réponse à la peste // ne veulent pas accepter la condition dans laquelle ils se trouvent. pourquoi le fils de Othon meurt ? → l’absurdité de la vie // peut pas savoir le futur → conditionné par la situation dans laquelle on se trouve. La peste comme malheur ? → La peste est le mythe du mal → le mal de l’homme. Devant la peste tous les hommes sont pareil

L.A. 4 : L’agonie de l’enfant (p. 217-218) Situation du passage A la fin du mois d’octobre, la peste poursuit inlassablement ses ravages. Le docteur Castel a mis au point un sérum qui va être essayé sur le fils du juge Othon dont le cas est jugé désespéré par Rieux. Entouré de tous les personnages importants – Castel, Tarrou, Paneloux, Grand, Rambert et Rieux – l’enfant se livre à une lutte pathétique contre le mal qui l’assaille. Cette scène poignante est l’occasion d’une réflexion morale sur

une satisfaction malsaine dans le malheur de ses concitoyens. Ceux-ci tentent de compasser les difficultés de l’enfermement en s’abandonnant à des plaisirs matériels. Le père Paneloux, dans un prêche, fait de la peste une punition divine. Tarrou, le fils d’un procureur, tient dans ses carnets sa propre chronique de l’épidémie. Il se propose à Rieux pour organiser le service sanitaire. Rambert, qui a essaye de sortir de la ville sans succès, décide de les rejoindre en attendant sa possible évasion.

d’Oran de croire absolument en Dieu, il reconnaît, dans le deuxième prêche, la possibilité de nier Dieu en disant « Tout ou Rien » (p.1403). Ce n’est pas un hasard si juste avant le deuxième prêche, se trouve la scène de la mort dupetit enfant du juge Othon. Dans cette scène, l’adverbe « abstraitement » apparaît d’une manière significative : « Mais jusque-là, du moins, ils se scandalisaient abstraitement, en quelque sorte, parce qu’ils n’avaient jamais regardé en face, si longuement, l’agonie d’un

vient se ranger dans le «cycle de la révolte» de Camus, dans la continuité de l’absurde de son «cycle» précédent. Dans l’extrait étudié, issu de la quatrième partie et donc de l’action, est racontée la mort d’un enfant atteint de la maladie, le fils du juge Othon. Rieux et ses alliés lui ont administré un sérum expérimental dans l’espoir de le sauver, mais malheureusement, l’agonie du malade n’est que plus terrible et plus longue. Au cours de ce texte, on peut lire l’évolution de la souffrance de l’enfant

l’action, est racontée la mort d’un enfant atteint de la maladie, le fils du juge Othon. Rieux et ses alliés lui ont administré un sérum expérimental dans l’espoir de le sauver, mais malheureusement, l’agonie du malade n’est que plus terrible et plus longue. Au cours de ce texte, on peut lire l’évolution de la souffrance de l’enfant ainsi que l’impuissance des adultes. Nous pouvons nous demander quelle est la fonction de cette lente agonie d’un enfant. Dans ce but, nous étudierons comment est décrite la