L'Amour en fuite

croire Oenone. Pour se défendre Hippolyte dévoile son secret à son père. Il prend ça pour une feinte, et il le maudit de Neptune. Cette situation chamboule Phèdre, elle est alors tentée de dévoiler la vérité, mais lorsque Thésée se met à lui parler de l’amour d’Hippolyte pour Aricie, elle devient enragée. Tellement enragée, qu’elle chasse Oenone en la maudissant. Thésée voulait interroger Oenone, mais il était trop tard, elle était déjà morte.Thésée supplie alors Neptune de ne pas agir, mais il est trop

Ce lien avec la musique caractérisera aussi l'expression des trouvères et troubadours. Au milieu du xvie siècle, Pierre de Ronsard parle de la poésie lyrique, en l'opposant au style haut de la tragédie, de sa « petite lyrique muse » qui chante « l'amour qui (le) point »3. Le terme a dès lors son sens d'aujourd'hui lié à l'expression des sentiments et des sensations intimes. C'est la définition qu'en donne Charles Batteux  en 1755, dans ses Principes de littérature : « Se dit des poésies qui expriment

- Le pont est immuable, solide, inébranlable à l’opposé de son amour perdu. - Le temps passe dans le rythme de l’eau qui coule et, comme, elle, , il ne revient pas ainsi que l’amour heureux. - L’ensemble est composé comme une chanson avec son refrain sur l’amour malheureux et la fuite du temps. ← L’amour coule comme le temps • Le temps, la comparaison de l’eau - Premier et dernier vers sont identiques = ils forment une boucle - Refrain qui se répète après chaque

mystérieux pour les poètes : le temps ne s’arrête jamais de s’écouler. Dans « Le pont Mirabeau », Guillaume Apollinaire compare le temps qui passe, l’amour qui s’en va, à l’eau de la Senne qui coule sous le pont Mirabeau : « L’amour s’en va comme cette eau courante L’amour s’en va Comme la vie

des intrigues secondaires. Dans Phèdre, le personnage d'Aricie est un ajout par rapport à la fable. L'amour des deux jeunes gens, contrarié par la volonté du père (puisqu'Aricie est issue d'une famille ennemie), appartiendrait davantage au registre de la comédie, où les jeunes gens finissent par l'emporter sur les barbons. Cet amour ne pourrait se réaliser qu'en dehors de la scène tragique : la fuite, loin de Trézène, est envisagée à la scène 1 de l'acte V. "Fuyez vos ennemis et suivez votre époux

pas voir été heureux. Et puis, un jour, on ressent quelque chose d'autre, ça nous fait bizarre, seulement parce qu'on n'a pas l'habitude, et c'est à ce moment précis, qu'on se rend compte qu'on est heureux." "Il n'avait aucune envie de refaire l'amour, aucune envie de caresser un autre corps ou d'embrasser un autre visage. Il avait besoin d'être seul. Il cherche personne pour le comprendre, personne pour le consoler." "on joue avec le feu, mais il n'y a plus rien à sauver." "Je ne crois

fait les deux personnages qui sont présents dans l’extrait sont Diane (représentée pour le pronom personnel présent tout au long du texte) et le pholosophe Hèraclite (représenté par l.3): Diane n’est pas en train de parler de sa douleur, mais de la fuite de temps. Voilà donc le premier thème baroque: la brièvetè de la vie et sa transformation. Diane bièn exprime ce thème avec la phrase à la ligne 9: Avec cette réflexion Diane donne une connotation negative au pénsée d’Heraclite: le philosophe avait

jeu : la stabilité, l'indépendance, l'entourage, la vision de l'avenir, la situtaion financière... L'amour serait-il alors condamné de nos jours à suivre les lois du marché? L'amour sincère et désintéressé existe-il encore de nos jours? Avons-nous la même conception de l'amour que nos grands-parents? Tant de questions qui tournent autour d'une seule et unique question : Qu'est ce que l'amour version 2006? 1/ Imaginons, un couple formé par un scientifique et une artiste. Chacun a son domaine

forçant le public au silence. L'intensité prend place, la quête du père disparu est liée à la fuite de deux femmes : Phèdre " la fille de Minos et de Pasiphaé ", dernière épouse de Thésée et véritable marâtre de son beau-fils ; Aricie, le dernier membre, immaculé et innocent, d'une fratrie traîtresse à la famille royale d'Athènes, proscrit de fait et que le jeune héros aime. D'emblée, l'aveuglement de l'amour se fait jour, d'emblée Phèdre et Hippolyte semblent liés dans une incompréhension commune,

est dite « mourante et qui cherche à mourir » (v. 44). Ainsi l’avenir semble-t-il pouvoir être ouvert sur tous les possibles, soit avec la mort de Thésée, soit avec son retour, et les conséquences sur les autres personnages. 2. Un jeune héros en fuite a) On peut relever jusqu’à 10 interrogatives dans les répliques de Théramène : le gouverneur interroge sans cesse Hippolyte, montrant ainsi qu’il n’est pas dupe des prétextes avancés par le jeune homme et le poussant toujours à s’expliquer. Le