L Amour Et L Honneur

appelée (madame) est l’élue du cœur du prince. Elle entre en scène très fâchée, apostrophant Trivelin, valet du maître. Pourquoi ? Parce qu’elle aime Arlequin. Cet amour est réciproque. Trivelin tente en vain de défendre l’amour du prince. Trivelin lui apprend qu’Arlequin va venir au palais. Psychologie de Silvia : Silvia a un amour entier pour Arlequin et prétend qu’il faut aimer quelqu’un pour l’épouser. Elle revendique son rôle de femme. Elle n’a pas envie de saisir la main qu’on lui tend, elle

Pragmatisme, efficacité  Désir d’expansion, patriotisme  Coopération, conscience de groupe MOYEN-AGE HUMANISME CLASSICISME  Epique  Courtois  Mystique  ART ROMAN ART GOTHIQUE M.A. EPIQUE  Héroïsme, force, habileté  Loyauté, honneur M.A. COURTOIS  Amour, fidélité  Dévouement, compassion M.A. MYSTIQUE  Mort, fuite du temps  Religion, croyance, foi  Pléiade  Baroque  RENAISSANCE BAROQUE HUMANISME  Importance de l’Homme  Connaissance, éducation  Utopie sociale  Goût pour le

du prince de Castille, le Comte, père de Chimène, jaloux et déçu, soufflette Don Diègue au cours d’une dispute. Celui-ci, trop vieux pour combattre, demande à son fils de le venger ; mais Rodrigue et Chimène s’aiment. Rodrigue est déchiré entre cet amour et le devoir filial. Rodrigue se questionne sur son choix à prendre dans ce monologue délibératif. Nous allons démontrer que le lyrisme élégiaque est présent dans ce texte : En effet, dès les premiers vers du premier dizain, en se servant d’une hyperbole

• Pourquoi l’amour est-il synonyme de tragédie au VII ?De quelle manière Phèdre apparait-elle à la fois comme une victime est comme une coupable ? • Peut-on échapper à son destin ? • De quelle manière Phèdre choisit –elle de rejeter son amour pour Hippolyte, et donc par ce choix se condamne à son destin tragique ? trop lourd INTRODUCTION Mot de liaison RACINE Phèdre est une pièce de théâtre classique écrite par Racine en 1877. Dans cette pièce est mis en place une situation tragique

l'honneur; la mort de Don Gormas; le combat de Rodrigue contre les Maures duquel il ressort vainqueur (récit uniquement); le procès qu'on veut lui intenter; le duel entre Don Sanche et Rodrigue (récit uniquement); le piège pour faire avouer à Chimène son amour pour Rodrigue; et enfin l’acceptation du mariage par le roi. Il modifiera sa pièce, notamment l'acte 1, en 1648 : il réduisit l'humour, il se concentra sur l'intrigue principale et sur le côté tragique. C'est en 1661 que la version définitive fut

divine (Phèdre expliquant que c’est Vénus qui est responsable de cet amour coupable qu’elle ressent pour Hippolyte), d’une malédiction familiale (Agrippine explique ainsi la cruauté de son fils Néron dans Britannicus de Racine), du poids de l’histoire et des traditions (dans Horace de Corneille, c’est la guerre entre Rome et Albe qui engendre la violence meurtrière au sein des alliances familiales),de la force des passions (amour, haine, désir de pouvoir et ambition : passions qui poussent les hommes

Exposition cdi lycée novembre – décembre 2022 Panneau 2 : Amour courtois et récits héroïques Moyen Age 1. Donnez les caractéristiques de la poésie courtoise. 2. Qui a traduit dès le XIIe siècle les fables d’Esope ? Et qui s’en est inspiré par la suite pour écrire ses propres fables ? 3. Citez le nom de 2 trouvères du Nord. 4. Présentez la Chanson de Roland. 5. Que signifie le terme goupil et expliquez comment ce nom a été abandonné au profit d’un autre. Panneau 3 : Le renouveau

v. 998 : «Et cependant je l’aime, après ce lâche tour jusqu’à ne me pouvoir passer de cet amour. » Alors qu’il ne parlait auparavant que de son honneur à propos de l’idylle ébauchée entre Agnès et Horace (« J’y prends, pour mon honneur, un notable intérêt », Acte II, scène 1), il s’écrie, à la fin du IIIème acte : « Je souffre doublement dans le vol de son cœur (…) Jusqu’à ne me pouvoir passer de cet amour. » Au sens littéral, c’est ici la surprise de l’amour, qui démonte et désoriente ce vieux

Chimène ! Que je sens de rudes combats ! Contre mon propre honneur mon amour s’intéresse : Il faut venger un père, et perdre une maitresse. L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras. Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vire en infâme, Des deux côtés mon mal est infini. Ô Dieu, l’étrange peine ! Faut-il laisser un affront impuni ? Faut-il punir le père de Chimène ? Père, maitresse, honneur, amour, Noble et dure contrainte, aimable tyrannie, Tous mes plaisirs

déchiré à l’unité que procure la présence physique souligné par la conjonction de coordination «mais» de Créuse. Cette apparition dans le dilemme par la beauté montre que le héros est vaincu. La rhétorique galante envahit le monologue, on parle d’un amour constant, «d’avoir osé tenir contre tant de beauté» vers 176. La beauté de Créuse l’aveugle face à la menace et au pouvoir de Médée. D’une certaine manière, ce monologue prépare l’arrivée de Créuse qui va subjuguer le spectateur. 1