L'Ange de l'abîme

et je leur demande de devenir des petites copies de moi : Charité et Rédemption, Amoureux et Victime. Un jour je viendrai, le dernier. Mais seuls ceux dont l’âme aura été purifiée par l’Amour devant leur vie, pourront soutenir sans tomber dans l’abîme, mon visage, mon regard, ma voix dont le tonnerre bouleversera les firmaments et fera trembler les abîmes. Le pain nourrit, le vin fortifie. 102. Bienheureux ceux qui tombent innocents et dont la mort, dénués de rancune, devient belle comme un

L'Homme qui rit, II. 59 [I, m, 8 . I LA COULEUR, LA ? Enfin, les mourir pour de martyr tout à quadrige l r l OMBRE cheveux blonds d'Enjolras, la liberté, qui coup il dressa fait la tète, comme ses cheveux blonds ceux de l'ange sur comme d'étoiles, ce lut le se ren- sombre nue crinière de lion flamboiement d'auréole. Les Misérables, V, 38 (V, Nous Ni uis v va sont une auréole d'apôtre et : versèrent en arrière effarée en CJMI1 Kl .1 1, s). voilà bien loin

l’exil ; la prison ; le tombeau ; le gouffre ; le Purgatoire ; les Enfers) et la chute dans la fragmentation (ou la bien fameuse « fêlure », avec une version dynamique : « l’oscillation » irrésolue entre des extrêmes irréconciliables, comme celle entre l’ange et le démon : soit, cette fois-ci rien qu’en clé amoureuse, entre la mulâtresse Jeanne et la blonde Apollonie). La nostalgie du paradis perdu (troisième terme clé de notre modèle analytique) est aussi une constante aiguë de la situation « démoniaque

9-A tous ceux qui ont la Foi Et qi en Toi se confient, Donne tes sept Dons Sacrés. 10-Donne mérite et vertu, Donne le Salut final, Dans la joie Eternelle. Amen. Ant.- La terre était informe et vide, les ténèbres couvraient l'abîme, et L'ESPRIT de DIEU planait sur les eaux (Gn 1,2). 2- PSAUME 135 1-Rendez grâce au SEIGNEUR ; IL est Bon. Eternel est son Amour ! 2-Rendez grâce au DIEU des dieux, Eternel est son Amour ! 3-Rendez grâce

Mais ce qu’elle déplore Surtout, ce qui la fait frémir jusqu’aux genoux, C’est que demain, hélas ! il faudra vivre encore ! Demain, après-demain et toujours ! – comme nous ! XXI. – Hymne à la Beauté Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme, O Beauté ? ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l’on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont

avaient fait devant vous. Tombeaux Victor Hugo, Toute la lyre (1888) À Théophile Gautier … Je te salue au seuil sévère du tombeau. Va chercher le vrai, toi qui sus trouver le beau. Monte l’âpre escalier. Du haut des sombres marches, Du noir pont de l’abîme on entrevoit les arches ; Va ! Meurs ! La dernière heure est le dernier degré. Pars, aigle, tu vas voir des gouffres à ton gré ; 13 Tu vas voir l’absolu, le réel, le sublime. Tu vas sentir le vent sinistre de la cime Et l’éblouissement du prodige

ce qu’elle déplore Surtout, ce qui la fait frémir jusqu’aux genoux, C’est que demain, hélas ! il faudra vivre encore ! Demain, après-demain et toujours ! – comme nous ! – 38 – XXI. – Hymne à la beauté Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme, Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l’on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un

qu’elle vit ! Mais ce qu’elle déplore Surtout, ce qui la fait frémir jusqu’aux genoux, C’est que demain, hélas ! il faudra vivre encore ! Demain, après-demain et toujours ! – comme nous ! XXI. – Hymne à la beauté Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme, O Beauté ! ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l’on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un

Mais ce qu’elle déplore Surtout, ce qui la fait frémir jusqu’aux genoux, C’est que demain, hélas ! il faudra vivre encore ! Demain, après-demain et toujours ! – comme nous ! – 38 – XXI. – Hymne à la beauté Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme, Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l’on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un

son enlèvement, il avait reçu le témoignage qu'il était agréable à Dieu ". (Heb 11/5)   - Les différents qualificatifs comme le " pleine de grâces " au début du " Je vous salue Marie " qui n’est même pas conforme aux paroles de l’ange Gabriel : [pic]" [...] L'ange entra chez elle, et dit : Je te salue, toi à qui une grâce a été faite ; le Seigneur est avec toi ". (Lu 1/28) en effet, il s’agit d’une grâce qui a été faite à Marie. Les propres paroles de Marie sont sans équivoque puisqu’elle reconnaît