L Angoisse Et La Quete De Dieu

« Des expériences de Dieu ? », « Expérience de soi ou expérience transformante dans la foi ») les processus psychologiques et sociaux qui expliqueraient ces expériences dites « religieuses ». En effet, dans sa première partie, l’auteur montre comment l’environnement dans lequel l’être humain naît et grandti le conditionne culturellement. Dans la seconde partie, il est question de la recherche de Dieu par l’expérience et non pas le biais d’institutions religieuses, la quête d’une expérience « privilégiée »

de haut niveau) dont la limite est l’épuisement voire la mort. Recherche du risque à ce haut niveau s’apparente aux conduites ordaliques. Quête de sensations fortes et flirt avec la mort associé à un double plaisir : un inhérent à la méthode (vitesse…) et un dérivé de la proximité même du danger qui donne une impression de contrôle, d’invulnérabilité. Quête du sens de la vie et de soi donc pas une conséquence ou une mise en acte d’un désir d’auto-destruction. Risques juvéniles ++ : TS, alcoolisation

croyant. Une de ces idées est la foi ou plutôt la manière de croire en dieu. Par exemple, malgré cette certitude Kierkegaard mentionne que la foi s’accompagne d’un doute qui amène l’angoisse chez le chrétien. Mais cette angoisse peut être contrôlée par Dieu mais uniquement par lui car il est le seul assez fort pour maitriser le doute. Ce doute est un élément essentiel de la foi car selon le philosophe ne jamais avoir douté en Dieu, en son existence n’est pas une foi véritable. La foi véritable se

d’entreprises dont le but est de faire le maximum de profit et dont le moyen est l’organisation rationnelle du travail et de la production. L’idéal-type de l’éthique protestante : Prédestination Dieu a prédestiné les Hommes au salut ou à la damnation ; rien ne peut le changer. L’individu est angoissé de ne pas savoir quel est son sort (sauvé ou damné) et cherche donc des signes d’élection d’où son surinvestissement dans le travail (où la réussite et la richesse est signe d’élection). Il s’occupe

souvient de son Vallon d’enfance, adieu à l’existence normale, au bonheur entrevu. Le mot qui le rattachera à Sylvie demeure impossible, l’attirance envers Adrienne est plus forte et le poète choisit le monde du rêve ou il se perd ! MOTIF DE LA QUETE : 1. Celle d’un lieu- le Valois, véritable paradis terrestre gardien des valeurs ancestrales, non influencé par le temps ! 2. recherche du temps perdu- il veut échapper au temps ! LE TEMPS : Sous-titre de Sylvie- souvenirs du Valois : en donnant

intolérance vis-à-vis des peuples conquis • Avec la Renaissance, le renouvellement des formes artistiques mais qui sont le reflet d’interrogations spirituelles • Avec la crise religieuse et les réformes protestantes, une nouvelle conception de Dieu qui s’installe dans la guerre • Avec la révolution scientifique, la capacité à mieux comprendre et dominer le monde • Avec l’émergence du roi absolu, la consolidation de l’Etat Problématique : L’entrée dans la modernité a-t-elle été

solitude. En 1837, il remporte le 2e prix des vers latins au Concours général. Le jeune bachelier s'inscrit à la faculté pour faire son droit. Il se mêle aux écrivains, aux poètes, aux peintres, jouant le rôle d'un personnage cynique et désabusé en quête de toutes les provocations. Baudelaire apprend à formuler et à connaître ce Mal intérieur qui le ronge. Il s'embarque en juin 1841 pour Calcutta mais n'ira pas plus loin que l'île Bourbon et sera rentré au bout de six mois. À son retour, il réclame

maltraités et mal payés et leurs enfants, dès l’âge de douze ans, travaillent dans les mines et les usines); les conditions d’hygiène sont effroyables; les épidémies se multiplient… C’est pourquoi, dans cette société qui a tout sacrifié au scientisme — Dieu y compris—, l’homme en vient à se révolter non seulement contre le fantasme de pouvoir et de contrôle de la science, mais également contre l’idéologie même du Progrès en revendiquant le retour du rêve, du mystère, de l’imagination et même… de l’incertitude

Comédie, sans doute parce que le parcours relaté par le poète se termine par la vision de Dieu en qui se dissout toute volonté individuelle. Le poète égaré dans la forêt sauvage du péché, «Au milieu du chemin de notre vie, je me trouvai dans une forêt obscure car j’avais perdu la voie droite;», effectue un voyage imaginaire au travers de l’Enfer, du Purgatoire et du Paradis, jusqu’à la découverte de Dieu. Le poète latin Virgile, qui représente la raison est son guide à travers l'enfer et le purgatoire

se fait synonyme de fête. Chez Pascal, il est entaché d'une connotation extrêmement péjorative : il est ce qui détourne des choses sérieuses, ce qui éloigne l'homme de l'essentiel, c'est-à-dire des problèmes propres à sa condition et, partant, de Dieu. En cela, il rejoint son étymologie : « divertere » en latin signifie « détourner, séparer ». « Divertere » indique un mouvement inverse de « convertere », le divertissement est centrifuge par rapport à ce qui fait la nature seconde de l’homme : la