L Animalité

un objet ou une fin, exprimant ainsi une force, une activité que n'est pas présente dans l'état de besoin. Ainsi L’objection majeure à une telle distinction serait donc de montrer en quoi le rejet du désir comme tel serait réduire l'homme à une animalité certaine. Pour cela, il s'agit dès lors de montrer que si dans le désir il n’y a pas de nécessité naturelle, il peut toutefois y avoir une impérativité (si j’ai un désir amoureux pour Mlle Dupont et qu’elle me rejette, alors dépression). De même

réapprend un savoir-faire. L’aliénation tendrait donc à disparaitre, le travail reprendrait donc le bon chemin après deux siècles de perversion. Nous avons tout d’abord montré le caractère libérateur du travail, hissant l’homme au-dessus de son animalité. Mais ce travail est perverti avec la révolution industrielle, privant l’individu de son humanité. Selon Yann-Arthus Bertrand, « il est trop tard pour être pessimiste » : des solutions existent, des plus utopiques aux plus concrètes, et l’action

le lecteur. En effet, dans Les Caractères de Jean de La Bruyère, le procédé d’animalisation (de l’animal) dont sont victimes les hommes permet de faire rire le lecteur, de par son argumentation habile, comme par exemple le parallélisme humanité/animalité, (l.1) « L’homme est un animal raisonnable ». L’homme admire l’habilité de certains animaux à chasser (exemple : les chats), mais utilise les techniques de ces derniers pour se chasser entre eux, (l.17/18) « ont joué ensemble de la dent et de la

libidinal, la pulsion détournée de son but primaire est désexualisée. La sublimation est essentiellement ce qui détourne le flux libidinal de son cours naturel pour l’ancrer à des points d’attache hors nature, permet à l’homme de s’arracher à son animalité en lui donnant accès à la Kultur. L’Homme est placé au dessus de l’animal, d’autant plus que ce qu’il crée (grds domaines culturels) finit par devenir autonome. Le détournement de la libido contribue au renforcement des liens sociaux (W et associations

savoir s'il n'est pas déjà trop tard pour Victor. Hors du monde humain, hors de l'influence de la culture, l'homme ne développe pas ses facultés propres. Il développe des facultés analogues à celles d'autres animaux et ne s'arrache pas à cette animalité. En d'autres termes, le développement de sa nature suppose l'intervention de l'artifice (de l'éducation). C'est l'art humain (au sens large) qui réalise la nature. Il ne la produit pas, mais sans l'art humain, sans la culture, l'humanité reste

est capable de se prendre comme objet de réflexion. Dans l’expression « animal métaphysique », l’auteur présente toute la dualité de la nature humaine, l’Homme est un animal, mais le terme « métaphysique » s’oppose d’une certaine manière à cette animalité, puisqu’il fait référence à la raison, à la volonté de comprendre le monde. L’Homme est tout et son contraire, c’est un être complexe. Il est conscient de l’existence des objets matériels, ainsi que de sa propre existence, c’est justement ce qui

Genèse biblique, dans laquelle Eve, mordant dans la pomme, condamne l’ensemble de l’humanité à devoir racheter ce péché originel, fondateur de la condition humaine telle que nous la vivons. Cependant, il est également possible d’accepter une certaine animalité dans la nature humaine, laquelle inclut une certaine forme de violence. Dès lors, n’importe quelle « tache de sang » ne devrait pas être considérée comme devant empêcher de valoriser les pulsions artistiques de l’être humain. Nous en voulons pour

pour s’insurger, et se sortir de cette situation, il est prisonnier, enferré. Le « nu la nuit » déplace encore l’image et fait penser à une poésie surréaliste : l’image se surcharge et on peut l’interpréter comme on veut (« nudité » : fragilité, animalité, sexualité ; « la nuit » : couleur noir (en contraste avec la blancheur du coton), un endroit de liberté, de flou, de troubles, de non-droit , « cette heure » et « crépuscule » en début de pièce (temps de leur rencontre, la nuit, alors que les rapports

 en fonction de leurs progrès.  De l27 à l29, Sépulvéda souligne le retard  technologique des indiens.  La nourriture est aussi objet de critique, elle  s’apparente à celle des animaux, ils ingèrent des mets répugnants par Sépulvéda, voilà  qui corrobore leur animalité.  De l30 à l36, Sépulvéda s’attarde sur les  coutumes. Les moeurs des indigènes, il dénonce d’abord l30 à 32, leur rite religieux, leurs  idolâtries, leurs pratiques des sacrifices, tout ces usages semblent confirmer une certaine  barbaries. L33

l68: connotation à la violence/ craquer l68 Omniprésence du bruit: l72 "plus y avait de bruit" l76, l77 "le cor cornait/ les crécelles craquaient" Comparaison aux chevaux l71-73 Action de le pousser dans sa course: mise en avant d'une certaine animalité chez les villageois Parrallelisme l72-73 plus plus: Comme si le bruit excitait les instinct B)la naissance de la cruauté Cruauté: tendance à faire souffrir, désir pour faire souffrir autrui, désir de vengeance L73-75 "on aurait capable