L Animalité

- Un récit qui alterne avec le discours du fabuliste, présent dans sa fable - Les différentes voix des personnages 3. Le procédé de la mise en abyme 4. Le changement de métrique II. La satire du Roi et des courtisans A. Humanité et animalité B. Les défauts du Roi 1. Le Roi apparaît tout d'abord orgueilleux 2. Le Roi apparaît superficiel, il ne semble pas éprouver de sentiments profonds 3. Royauté rime avec cruauté 4. Le Roi apparaît comme impulsif et colérique 5. Le Roi apparaît

aventures. Alors que, chez lui, on le coryait mort, Ulysse renait au travers de son récit. Ainsi, en retrouvant la vie alors qu'il était si près de périr, en prenant un belle apparence (grâce à Athéna) alors qu'on lui avait donné une certaine animalité, et enfin en repprenant possession de son passé en annonçant qu'il était bien vivant, Ulysse reconquiert progressivement son humanité. Source : L'Odysée d'Homère

maternelle ; il n’a jamais reçu d’affection, ne sait donc pas en donner. Ce personnage peut aussi avoir un aspect repoussant pour le lecteur, en premier lieu par son apparence physique : il est décrit comme étant bossu, boiteux…. Mais aussi par son animalité : pour commencer dans son nom, Grenouille. Pourtant une grenouille n’est pas un animal noble, tout comme les autres animaux auxquels il est comparé tout au long du roman : «une araignée » page 25, « une bactérie » page 25, « une tique » pages 25

contraint à « s’éduquer » seul. Alors que les Hommes, on tendance à apprendre avec une image, de l’art. De plus selon HEGEL l’Homme est esprit, c’est-à-dire que l’Homme se définit par la volonté de se démarquer de l’animal, il rejette son animalité. Mais rejeter son animalité c’est dire que je ne suis pas animal, mais dire que je ne suis pas animal est une caractérisation négative de l’esprit. « comme la tendance commune à tous, de prendre plaisir aux représentations ; la preuve en est ce qui se passe dans

L'Evénement, lui, porte sur l'avortement clandestin que l'auteur a subi en 1963 et qui, selon la narratrice, trahit sa classe sociale dominée. Tel le geste du père, cette grossesse non souhaitée est vécue par la jeune fille comme la révélation d'une "animalité" en elle. Malgré ses études et sa fréquentation d'un monde supérieur, la narratrice, qu'elle s'appelle Denise Lesur (Les Armoires vides) ou qu'elle soit anonyme (La Honte, L'Evénement), mais de toute façon toujours do

s'est mis à m'appeler »l.33, « j'ai voulu sortir la tête »l.37, «  je m'étais caché sous la chaise en entendant son pas »l.31-32, «  il m'a vu et m'a fait sortir de dessous la chaise à coups de bâton. »l.40-41. Ainsi, la frontière entre humanité et animalité est brouillée, progressivement l'argumentation à tendance à transiter vers l'animalité. Auxence n'utilise pas ses mains, il sort sa « tête » comme un animal, puis il se cache sous une chaise, or se sont les animaux qui se cachent en entendant le

que fragmentaire et imaginaire. C’est ce qui lie le théâtre et la médecine, par exemple. En effet, l’art et la science se sont, depuis toujours, entre-influencés. Cette corporalité a été longtemps mise de côté par l’Homme théâtral, refusant son animalité. Intéressons-nous, à titre d’exemple, à un chapitre très précis de son étude : « Le corps des passions ». Pradier établit des relations intéressantes entre la pratique théâtrale et le rapport à la médecine à la fin du XVIème siècle. L’Angleterre

cultivé est celui qui possède beaucoup de connaissances, la plupart du temps dans différents domaines sinon sa culture ne serait que spécialisée, plus intuitives que savantes. Se cultiver est un processus de transformation, au moyen duquel on nie son animalité pour parvenir à son humanité. Il y a la culture de la vie, à force d'expériences, ou celle des livres à force d'étude savante. La culture s'oppose alors à l'ignorance, à celui qui n'a pas accès à l'éducation. C'est ce à quoi nous initie l'éducation

la perfection paraît cependant gêné de l’intimité qu’il atteint. Comme si l’on. ne pouvait atteindre ce à quoi l’on aimerait prétendre. Trait de génie qui nous fait vivre l’émotion que cette œuvre suscite et qui nous rappelle, discrètement, notre animalité vaincue.

une habitude mentale de fait qui consiste à se représenter l’inconscient en y voyant seulement ce que Freud y a lui-même cherché, un lieu de conflits psychiques où s'affrontent les puissances du refoulement. L’inconscient est alors assimilé à une animalité primitive présente en l’homme, une sorte de nœud de vipères où se convulsent des instincts censuré. Les caricatures littéraires et cinématographiques renforcent cette image, en présentant l’homme comme divisé en une personnalité consciente et une