L Apport De Keynes Par Rapport Aux Néoclassiques

considéré comme normal. Nous allons donc voir que cet aspect peut être contredit. Pour les néoclassiques, notamment Milton Friedman(1912-2006) la spéculation a une fonction stabilisatrice sur le marché. Pour lui, quand le cours de l'actif est inférieur au prix fondamental qu'on peut comparer à celui d'équilibre, les spéculateurs vont donc acheter les titres qui va donc augmenter (la demande va augmenter par rapport à l'offre et donc les prix vont se rééquilibrer). Ce qui va amener le prix au prix fondamental

salaires, et les premières mesures de soutien n’apparaissent qu’en 1932-1933 (New Deal – 1932). On ne peut cependant pas parler d’influence réelle de la nouvelle pensée keynésienne : la théorie générale ne sera publiée qu’en 1936, et la rencontre Keynes-Roosevelt de 1931 se solde par un échec (Roosevelt refuse alors de remettre en cause le dogme de l’équilibre budgétaire). En Europe, le Royaume-Uni se replie sur son empire, et se refuse à tout volontarisme, l’Allemagne applique un « keynésianisme

trop hauts" et "niveau d'équilibre marché travail" Ces termes ne veulent rien dire pour les deux autres. L'entreprise regarde cout d'un travailleur // à ce qu'il rapporte à l'entreprise => il faut baisser les salaires et augmenter le temps de travail pour embaucher. (ex: le smic à 3€ de l'heure augmenterait beaucoup le travail) Keynes => au contraire augmenter les salaires Marx => chômage = hypothèse de l'armée de réserve => Les trois sont vrais / aucun n'a tord   L'économie dépend de nos

économistes ne s'occupent pas de ce premier niveau d'analyse, et le laisse aux sciences humaines, marketing, sociologue, historien Dans le deuxième niveau, on va étudier les variables. C'est a ce niveau que se situe l'avantage des économistes par rapport aux sciences de gestion, pour la simple raison que les économistes utilisent depuis toujours les techniques statistiques. Le troisième niveau, ou l'état abstrait traite de la théorie et de l'interaction entre les relations, dans ce niveau, l'information

de productions :permet de choisir entre different technique de production afin deviter le gaspiallage ds ressource La répartition des revenus doit être égalitaire : le travail manuel ne doit pas être sous-payé par rapport au travail intellectuel, . Enfin, la masse des salaires doit être compatible avec la valeur des biens de consommation produite au cours dune periode. C. La transition vers l’économie de marché : 1. Des Réformes à l’économie de marché - Les

il n’y a qu’un seul acteur qui en bénéficie : le Prince (=souverain). L’actualité du mercantilisme Les politiques de désinflation compétitive menées en Europe dans les 1990’s => néo-mercantilisme. => La compétitivité en Europe se détériore par rapport au reste du monde a la fin des 1980’s. Pour pallier a cela, on va tenter de contenir la progression des couts salariaux (cout salarial = salaire brut + CS patronal), et on va opérer une pression a la baisse des salaires => compétitivité prix. Pour

biens et services. Pour terminer, la troisième grande branche est la macroéconomie qui se définie comme étant l’étude des phénomènes économiques nationaux et globaux, des fluctuations et de la croissance des agrégats économiques ainsi que des effets apportés par les actions gouvernementales exercées sur eux. Ce qui fait de l’économie une science complexe, c’est que ces trois branches peuvent être subdivisées à nouveau en sous-parties. Dans la macroéconomie, il y a différentes écoles de pensées qui se

équilibres au niveau de la nation. Dans ce cadre de politique monétaire est le moyen par lequel les autorités monétaires agissent pour contrôler la masse monétaire, c'est à dire la quantité de monnaie disponible dans l'économie. Ces autorités devront apporter la quantité de monnaie qui puisse assurer ou promouvoir la croissance atteindre. On défini des objectifs finals comme par exemple la maîtrise de l'inflation et pour y arriver on agit sur des objectifs opérationnels par l'intermédiaire d'instruments

ça que va s’ouvrir une période de grande diversité dans l’analyse contemporaine des cycles. Aujourd’hui, alors que les analyse marxistes et néo-schumpétériennes mettent l’accent sur la dimension structurelle de la crise des 1970’s, les auteurs néoclassiques et keynésiens soulignent le rôle joué par les facteurs conjoncturels (facteurs agissant à CT) dans le déclenchement d’une crise. La globalisation financière depuis les 1980’s et la multiplication des crises financières qui a suivi, ont renouvelé

acteurs sont présents : l’Etat, les groupes particuliers comme les organisations professionnelles, les associations,…etc. La régulation du marché par lui-même renvoie à la théorie libérale inspirée par les néoclassiques qui vont s’opposer dans l’histoire aux interventionnistes largement inspirés par Keynes. Les premiers prônent une activité économique entièrement livrée à l'économie de marché dont ils reconnaissent les vertus intrinsèques. Ils incitent aussi à limiter au maximum l'intervention de l'État