L Apport De Keynes Par Rapport Aux Néoclassiques

grandes théories économiques 9. 22 Adam Smith et la richesse des nations 22 10. L’analyse économique de Ricardo 24 11. La loi de Say 26 12. Les termes du débat sur les Corn Laws 28 13. L’analyse néoclassique 32 14. L’analyse macroéconomique de Keynes 34 15. Les rigidités de prix 38 16. La courbe de Phillips 42 17. La nouvelle économie classique 46 18. La nouvelle économie keynésienne 48 3. Les grands moments de l’histoire économique 22

éclipsée par la domination des idées de Keynes, l’analyse économique de Schumpeter revient peu à peu au premier plan. Il ne peut pas être considéré comme keynésien ni comme néoclassique. Même s’il était autrichien, il n’a jamais fait partie de l’École autrichienne. Il est donc considéré comme un économiste de l’effervescence, qualifié d’économiste hétérodoxe pour ses théories sur l’évolution du capitalisme dans les différentes démocraties. Schumpeter apporte de nombreuses contributions à la science

l'orthodoxie néo-classique et les autres courants de pensée. Deux remarques préalables : 1) Pour laisser davantage de place aux éléments théoriques contemporains, nous développons moins les théories traditionnelles. 2) Il est souvent difficile de ranger les apports théoriques soit dans le champ de l'orthodoxie néo-classique soit dans celui des hétérodoxies, car de nombreux auteurs participent en fait à des tentatives de synthèse. 2 Première Partie : L'orthodoxie (néo-classique) Première sous-partie :

Economique. I) INTRODUCTION A LA SCIENCE ECONOMIQUE Pour Aristote, il y’a 3 branches : L’étique, l’économie, et la politique. Pour lui, l’étique relève de l’individu. La politique de ce qui conserve la cité. Et l’économie, de ce qui se rapporte à la cellule familiale. Economie budgétaire. Economie (Grec) : Oïkos = Maison et de Nomos = Représente les règles. Soit l’ensemble des règles de conduite des activités domestiques. Aristote ajoute que la science de l’acquisition des richesses

ECONOMIE POLITIQUE INTRODUCTION : Objet et méthode de l’économie politique Le terme d’économie politique apparait au 18ème siècle, c’est-à-dire au moment où l’analyse économique commence à s’autonomiser par rapport aux disciplines dans lesquelles elle était jusqu’alors enchâssée : la philosophie morale et la philosophie politique. Ce terme regroupe ce que les auteurs antiques appelaient « la science de l’économie du ménage », ce que les fondateurs de l’analyse économique appelleront « économie

demande équivalente de marchandises, et à sa conséquence, l'impossibilité de crises généralisées de surproduction. Cette loi a été stigmatisée, en particulier, par Keynes (Théorie générale, 46) qui voyait dans la loi de Say le « postulatum d'Euclide » permettant à la théorie classique (dans laquelle il incluait l'analyse néoclassique) de nier l'existence d'un chômage involontaire. II/LA VISION, PAR SAY, DE LA SOCIÉTÉ ET DE L'ÉCONOMIE A°) L’économie politique, science pratique. L'économie

la production des activités non marchandes, il ne mesure pas l'activité de production domestique (ménage, potagers, etc.). Selon la boutade d'Alfred Sauvy, il suffit de se marier avec sa cuisinière pour faire baisser le PIB. Il ne mesure que les apports de valeur ajoutée dans l'immédiat (sur une année). Les effets de long terme, notamment dans des services tels que l'Education ou la Santé, ne sont pas ou mal comptabilisés à travers leur impact sur la production. Le PIB ne mesure que la Valeur Ajoutée

du produit de lʼindustrie entre les classes qui concourent à sa formation. Vision de Robbins Lʼéconomie est la science qui étudie les comportements humains en tant que relations entre les fins et les moyens rares à usage alternatifs. Vision de Keynes Titre 1 : La science économique et les principes fondamentaux du fonctionnement de l’économie Chapitre 1 : La science économique, définition objet méthode Les sciences économiques sont nées il y a bien longtemps, avec les grands philosophes grecs

approximation de la richesse créée. Il constitue un agrégat essentiel pour apprécier les performances d’une économie. Deux indicateurs doivent plus particulièrement retenir l’attention : le produit global (et sa croissance) ainsi que le produit par tête (PIB rapporté au nombre d’habitants). 1. DÉFINITIONS Le produit intérieur brut constitue une approximation de la richesse créée par les agents éco- nomiques résidant dans un espace donné au cours d’une période de temps (généralement l’année). Le

fournie. A chaque niveau de salaire, les salariés adaptent leur offre de travail : plus le salaire augmente et plus l’offre de travail augmente (graphique 1), jusqu’au seuil où l’utilité marginale du salaire de l’heure supplémentaire travaillée leur apporte moins de satisfaction qu’une heure de loisir (‘désutilité’ du travail, représentée graphique 2). Le salarié s’adapte donc à chaque variation de prix, n’offrant une quantité plus ou moins importante de travail selon sa propre courbe d’indifférence